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Archive pour novembre 2011

NEUVAINE en l’honneur du CHRIST ROI

vendredi 11 novembre 2011
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Cette année 2011, nous prions la neuvaine du 11 au 19 novembre. Fête du Christ, Roi de l’univers, le dimanche 20 novembre 2011.

HISTOIRE :

La fête du Christ Roi de l’univers fut établie par le Pape Pie XI, le 11 décembre 1925. C’est aussi le dernier dimanche du temps ordinaire de l’Eglise. Le dimanche suivant sera le 1er Dimanche de l’Avent.

PAROLE DE DIEU :

« Tout pouvoir m’a été donné au Ciel et sur la terre. Allez donc, de toutes les nations faites des disciples. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin des temps. » (Matthieu 28, 18)

Telles sont les dernières paroles du Christ ressuscité dans l’évangile de saint Mathieu. Elles nous aident à pressentir les dimensions inouïes du mystère que l’Église fête pour couronner l’année liturgique : le mystère du Christ Roi, de la royauté du Christ.

EXPLICATIONS

Le Christ est Roi, c’est affirmer, à un premier niveau, que le Christ a pouvoir non seulement sur la terre, mais sur le cosmos tout entier.

C’est proclamer aussi qu’il est le maître de l’histoire pour tous les peuples et dans tous les temps, et qu’il mène souverainement le destin de chaque homme, de chaque couple, de chaque famille, de chaque communauté…

Prier le Christ Roi, c’est reconnaître que l’amour du Christ lui donne tous les droits; c’est reconnaître que le Christ a le droit de nous aimer comme il veut, autant qu’il veut.

Celui que fêtons comme notre Roi, c’est le Fils de Dieu qui est aussi le fils de Marie. Le maître du monde et de l’histoire a dit « maman » à une femme de la terre, et c’est ce même Jésus Christ qui a tout pouvoir dans le ciel.

Bien des gens, il est vrai, même parmi les chrétiens, pourraient s’offusquer de cette fête du Christ Roi, en disant : cette seigneurie du Christ sur l’histoire n’est vraiment pas évidente ! » Mais Jésus nous a prévenus d’avance, lorsqu’il a répondu à Pilate : « Ma royauté n’est pas de ce monde. » (Jean 18, 37)

La fête du Christ Roi ne célèbre par le triomphe de l’Église, mais bien plutôt l’entrée de l’Église dans l’œuvre universelle du Christ miséricordieux. Mais dans ce Seigneur si proche de nous, nous reconnaissons avec allégresse, avec enthousiasme, le maître du monde et de l’histoire, « afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre, et dans le monde des morts, et que toute langue proclame : « Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.  »

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PRIONS AINSI CHAQUE JOUR DE LA NEUVAINE :

* Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen !

* Faire un petit chant au Saint-Esprit de votre connaissance.

* Prière de la Neuvaine

Seigneur, en ce jour où nous magnifions ta grandeur, où nous sommes tellement heureux de dire notre action de grâce, donne-nous d’abandonner toutes nos vérités, mesquines et tristes, pour embrasser La Vérité, l’unique, la tienne. Viens régner dans nos cœurs, viens y fonder la paix que toi seul peux donner.

Donne nous de vivre selon la loi de ton royaume, accueille-nous dans ta miséricorde, grave-la en nos coeurs par le feu de ton Esprit. Apprends-nous à ne rien retenir pour nous-mêmes, que Dieu puisse prendre toute la place en nos âmes.

Nous t’acclamons et nous te choisissons, toi notre sauveur, toi « l’alpha et l’oméga, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. » Toi seul peux combler nos cœurs, toi seul, Seigneur donnes un sens à nos vies, tu es Jésus, Christ et Seigneur !

Tous sur la terre, nous avons besoin de toi.

A toi, l’Agneau de Dieu avec le Père et le Saint-Esprit soient le règne la puissance et la Gloire, pour les siècles et les siècles. Amen !

* Chantez un chant de louange de votre connaissance à la Gloire de Jésus-Christ.

* Prendre un temps de silence et d’action de grâce.

* Priez un Notre-Père et un je Vous Salue Marie

* Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen !

* QUE LE CHRIST ROI NOUS BENISSE !

 

Chrysanthème

jeudi 10 novembre 2011

Le chrysanthème est très connu pour orner les tombes, mais c’est aussi une magnifique plante pour fleurir nos jardins et terrasses.

Le mot Chrysanthème vient du grec « khrusas » qui signifie or et « anthemon » qui veut dire fleur. L’appellation « Fleur d’or » fait référence à la couleur des fleurs des premiers chrysanthèmes.

Bien qu’originaire de Corée, il est aujourd’hui une plante culte au Japon où il est devenu la fleur préférée des japonais.

“Si vous voulez être heureux pour une vie, cultivez des Chrysanthèmes”. (philosophe Chinois) Le Chrysanthème était aussi cultivé en Chine en temps qu’herbe floral et est décrite dans des textes remontant au XVème siècle avant JC. En fait leurs poteries en disent plus longs que leurs textes. Comme herbe elle était sensée détenir l’énergie de la vie. Les Chinois utilisaient les racines bouillies pour soigner les maux de tête et mangeaient les pétales en salade. Autour du VIIIème siècle après JC, le Chrysanthème chinois apparut au Japon. Les espèces japonaises de chrysanthèmes ont de jolies mais petites fleurs. Mais l’introduction des espèces chinoises en fit la fleur la plus admirée du Japon, elle devint même le symbole de l’empereur. Le kikumon, symbole du chrysanthème à seize pétales, est le kamon de l’Empereur du Japon depuis le XIIIème siècle, lorsque le Ten’no Gotoba, qui aimait beaucoup cette fleur, l’introduit sur ses vêtements et ses biens.

Elle est appelée là-bas la fleur d’automne et elle est le symbole du plaisir et du bonheur.

Il existe une très grande variété de chrysanthèmes.

Ils sont connus pour leurs teintes roses, rouges, oranges, jaunes ou encore blanches.

Ils ont l’avantage de fleurir tardivement, jusqu’au mois de novembre, et de venir ainsi garnir avantageusement nos jardins lorsque les fleurs commencent à se faire rares.

On les plante également en pot pour fleurir balcons et terrasses.

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Prière des âmes

mercredi 9 novembre 2011

Chers enfants,

Il est un long fleuve tranquille où repose un pétale de rose blanche, ce pétale est une nouvelle âme venue rejoindre l’éden. Cette âme rappelée par le Père Céleste doit être une joie pour vous tous, elle est dans la Lumière et l’Allégresse de sa nouvelle vie. Vie qui confirmera son amour terrestre et l’enseignement sur la vraie vérité, c’est une nouvelle joie indescriptible pour vous mais réelle à son égard et son entendement.

D’autres pétales la rejoignent au fur et à mesure et ce sont des retrouvailles célestes grandioses. Il n’est de mot terrestre au panorama des cieux et à son enchantement.

Mes enfants, il faut prier pour toutes ces âmes qui montent auprès de nous. Mais il faut prier encore plus pour les âmes terrestres perdues dans un océan assourdissant de guerres, de chagrin et de peines en tout genre.

Marie Mère des hommes – septembre 2011

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Prose

mardi 8 novembre 2011

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…À celle qui intercède.
La seule qui puisse parler de l’autorité d’une mère.
S’adresser hardiment à celle qui est infiniment pure.
Parce qu’aussi elle est infiniment douce…
À celle qui est infiniment riche.
Parce qu’aussi elle est infiniment pauvre.
À celle qui est infiniment haute.
Parce qu’aussi elle est infiniment descendante.
À celle qui est infiniment grande.
Parce qu’aussi elle est infiniment petite.
Infiniment humble.
Une jeune mère.
À celle qui est infiniment jeune.
Parce qu’aussi elle est infiniment mère…
À celle qui est infiniment joyeuse.
Parce qu’aussi elle est infiniment douloureuse…
À celle qui est infiniment touchante.
Parce qu’aussi elle est infiniment touchée.
À celle qui est toute Grandeur et toute Foi.
Parce qu’aussi elle est toute Charité…
À celle qui est Marie.
Parce qu’elle est pleine de grâce.
À celle qui est pleine de grâce.
Parce qu’elle est avec nous.
À celle qui est avec nous.
Parce que le Seigneur est avec elle.

Charles Péguy

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« Tu lui pardonneras. »

lundi 7 novembre 2011

« Bienheureux les miséricordieux : ils trouveront miséricorde » (Mt 5,7). De la miséricorde, on dit qu’en Dieu elle surpasse toutes ses œuvres ; et c’est pourquoi un homme miséricordieux est un homme véritablement divin, car la miséricorde naît de la charité et de la bonté. Et c’est pour cette raison que les vrais amis de Dieu sont très miséricordieux et sont plus accueillants aux pécheurs et à ceux qui souffrent que d’autres qui n’ont pas cette charité. Et comme la miséricorde naît de la charité que nous devons avoir les uns envers les autres…, si nous ne l’exerçons pas, notre Seigneur nous en demandera un compte particulier au jour du jugement…

Cette miséricorde ne consiste pas seulement en dons, mais elle s’exerce aussi à l’égard de toutes les souffrances qui peuvent fondre sur ton prochain. Celui qui voit cela sans témoigner à ses frères une véritable charité et une réelle sympathie dans toutes ses souffrances et qui ne ferme pas l’œil sur leurs fautes, dans un sentiment de miséricorde, cet homme-là a sujet de craindre que Dieu ne lui refuse sa miséricorde, car « à la mesure dont tu auras mesuré, à la même mesure on te mesurera à ton tour » (Mt 7,2).

Jean Tauler (v. 1300-1361), dominicain à Strasbourg
Sermon 71, pour la Toussaint (trad. Cerf 1991, p. 580 rev.)

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Tenir la lampe allumée

dimanche 6 novembre 2011

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Elles ont leurs lampes allumées. A la fois pour honorer l’Époux et pour se guider en chemin. Comme elle est brillante la foi et quelle douce amie elle est ! Elle donne une flamme qui rayonne comme une étoile, une flamme qui rit car elle est tranquille dans sa certitude, une flamme qui rend lumineux même l’instrument qui la porte. Même la chair de l’homme que nourrit la foi semble, dès cette terre, devenir plus lumineuse et plus spirituelle, exempte d’un vieillissement précoce. Car celui qui croit se laisse guider par les paroles et les commandements de Dieu pour arriver à posséder Dieu, sa fin, et par conséquent il fuit toute corruption, il n’a pas de troubles, de peurs, de remords, il n’est pas obligé de faire des efforts pour se rappeler ses mensonges ou pour cacher ses mauvaises actions, et il se conserve beau et jeune de la belle incorruptibilité des saints. Une chair et un sang, un esprit et un cœur nets de toute luxure pour conserver l’huile de la foi, pour donner une lumière sans fumée. Une volonté constante pour nourrir toujours cette lumière. La vie de chaque jour avec ses déceptions, ses constatations, ses contacts, ses tentations, ses frictions, tend à diminuer la foi. Non ! Cela ne doit pas arriver. Allez chaque jour aux sources de l’huile suave, de l’huile de la sagesse, de l’huile de Dieu.

Une lampe peu alimentée peut s’éteindre au moindre vent, peut être éteinte par la lourde rosée de la nuit. La nuit… L’heure des ténèbres, du péché, de la tentation vient pour tous. C’est la nuit de l’âme. Mais si elle se remplit, elle-même, de foi, sa flamme ne peut être éteinte par le vent du monde ni par le brouillard de la sensualité.

Pour conclure, vigilance, vigilance, vigilance. L’imprudent qui ose dire : « Oh ! Dieu viendra à un moment où j’aurai encore la lumière en moi », qui se met à dormir au lieu de veiller, à dormir dépourvu de ce qu’il faut pour se lever promptement au premier appel, qui attend le dernier moment pour se procurer l’huile de la foi ou la mèche résistante de la bonne volonté, court le risque de rester dehors à l’arrivée de l’Époux. Veillez donc avec prudence, avec constance, avec pureté, avec confiance pour être toujours prêts à l’appel de Dieu car en réalité vous ne savez pas quand Il viendra.

Mes chers disciples, je ne veux pas vous amener à avoir peur de Dieu, mais plutôt à avoir foi en sa bonté. Aussi bien vous qui restez que vous qui partez, pensez que, si vous faites ce que firent les vierges sages, vous serez appelés non seulement à escorter l’Époux mais, comme pour la jeune Esther, devenue épouse à la place de Vasti, vous serez choisis et élus comme épouses car l’Époux aura « trouvé en vous toute grâce et toute faveur, au-dessus de tout autre ». Je vous bénis, vous qui partez. Portez en vous et apportez à vos compagnons ces paroles que je vous ai adressées. La paix du Seigneur soit toujours avec vous. »

De « L’Evangile tel qu’il m’a été révélé. » de Maria Valtorta (398)

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samedi 5 novembre 2011

vendredi 4 novembre 2011

Mes enfants, prenez le temps d’écouter mes paroles diffusées aux quatre coins de ce monde et sachez que Dieu seul autorise cette marque d’amour.

Vivez en chaque jour les prières incessantes transmises par mon Fils et Son Père. Ne soyez point sourds à ces appels, car le temps viendra où vous n’entendrez plus et ne verrez plus ; seule la foi vous sauvera des tribulations de Satan. Lui seul en ces jours s’expose pour être admiré et vénéré, mais son temps touche à sa fin et tous ceux qui l’auront accompagné seront abandonnés dans l’abîme des ténèbres avec lui. Le temps n’est pas aux pleurs et à la peur, mais au renouveau de l’Amour et la Paix.

Mes enfants, que la Bénédiction du Père Eternel repose sur vos têtes afin que vous puissiez aller de l’avant. Mes enfants, tous les Saints sont à vos côtés pour vous faire persévérer dans l’affirmation en Dieu le Père et pour une osmose éternelle avec le Très Haut.

Ne rejetez point la parole de tous ces Saints ; par leurs exemples agencez votre vie afin de vous rapprocher toujours plus de vos frères.

 

Marie Mère des hommes – avril 1998

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« Il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit. »

jeudi 3 novembre 2011

La conduite que Jésus Christ tenait pendant sa vie mortelle nous montre la grandeur de sa miséricorde pour les pécheurs. Nous voyons qu’ils viennent tous lui tenir compagnie ; et lui, bien loin de les rebuter ou du moins de s’éloigner d’eux, au contraire, il prend tous les moyens possibles pour se trouver parmi eux, afin de les attirer à son Père. Il va les chercher par les remords de conscience ; il les ramène par sa grâce et les gagne par ses manières amoureuses. Il les traite avec tant de bonté, qu’il prend même leur défense contre les scribes et les pharisiens qui veulent les blâmer, et qui semblent ne pas vouloir les souffrir auprès de Jésus Christ.

Il va encore plus loin : il veut se justifier de la conduite qu’il tient à leur égard par une parabole qui leur dépeint, comme l’on ne peut pas mieux, la grandeur de son amour pour les pécheurs, en leur disant : « Un bon pasteur qui avait cent brebis, en ayant perdu une, laisse toutes les autres pour courir après celle qui s’est égarée, et, l’ayant retrouvée, il la met sur ses épaules pour lui éviter la peine du chemin. Puis, l’ayant rapportée à son bercail, il invite tous ses amis à se réjouir avec lui d’avoir retrouvé la brebis qu’il croyait perdue. » Il ajoute encore cette parabole d’une femme qui, ayant dix drachmes et en ayant perdu une, allume sa lampe pour la chercher dans tous les coins de sa maison, et l’ayant retrouvée, elle invite toutes ses amies pour s’en réjouir. « C’est ainsi, leur dit-il, que tout le ciel se réjouit du retour d’un pécheur qui se convertit et qui fait pénitence. Je ne suis pas venu pour les justes, mais pour les pécheurs ; ceux qui sont en santé n’ont pas besoin de médecin, mais ceux qui sont malades » (Lc 5,31-32).

Nous voyons que Jésus Christ s’applique à lui-même ces vives images de la grandeur de sa miséricorde envers les pécheurs. Quel bonheur pour nous de savoir que la miséricorde de Dieu est infinie ! Quel violent désir ne devons-nous pas sentir naître en nous d’aller nous jeter aux pieds d’un Dieu qui nous recevra avec tant de joie !

Saint Jean-Marie Vianney (1786-1859), prêtre, curé d’Ars
Sermon pour le 3ème dimanche après Pentecôte, 1er sur la miséricorde

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Défunts

mercredi 2 novembre 2011

Mes enfants, je voulais vous dire aussi que cette belle rivière que vous appelez d’éden, où toutes ces fleurs passent, qu’elles soient blanches, qu’elles soient rouges, qu’elles soient jaunes, sont toutes des fleurs du Ciel. Toutes ces fleurs montent progressivement à nous. Ce sont les âmes de vos fidèles, de vos familles. Ceux qui sont partis parmi vous ont été reçus. Car sachez une chose, Jésus reçoit et Marie reçoit. Bientôt, Jésus va recevoir quelqu’un d’entre vous. Mais il faut savoir une chose, c’est que tous ces êtres humains qui partent demandent à ce qu’on ne pleure pas pour eux. Parce que, eux, sont dans le bonheur et la paix. Ils souffrent de vous voir souffrir. Mais en fin de compte, ils voudraient que vous soyez heureux, dans leur véritable situation de bonheur. Il y a beaucoup d’incertitudes dans ce monde. Ces incertitudes, il faut que vous m’en parliez car je peux vous donner les réponses.

Mes enfants, il n’est pas lieu de pleurer. Les pleurs ne sont que révélation d’une faiblesse du cœur. Soyez forts, soyez sensibles, mais ne soyez pas hypersensibles. La vie d’un être humain au départ de sa vie est un chagrin mais soyez sûrs que là où il est, il est plus heureux que vous sur terre. Ne soyez pas prêts à mourir pour le rejoindre, ce qui serait une faute néfaste pour vous.

Marie Mère des hommes – octobre 2011

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