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Archive pour mai 2011

Neuvième jour : la Visitation

mardi 31 mai 2011

Cliquez sur l'image pour accéder à l'Evangile selon Maria Valtorta

« Bénie es-tu parmi toutes les femmes ! Béni le Fruit de ton sein ! (elle prononce ainsi deux phrases bien détachées). Comment ai-je mérité que vienne à moi, ta servante, la Mère de mon Seigneur ? Voilà qu’au son de ta voix l’enfant a bondi de joie dans mon sein, et lorsque je t’ai embrassée, l’Esprit du Seigneur m’a dit les très hautes vérités dans les profondeurs de mon cœur. Bienheureuse es-tu d’avoir cru qu’à Dieu serait possible même ce qui ne semble pas possible à l’esprit humain ! Bénie es-tu parce que, grâce à ta foi, tu feras accomplir les choses qui t’ont été prédites par le Seigneur et les prophéties des Prophètes pour ce temps-ci ! Bénie es-tu pour le Salut que tu as engendré pour la descendance de Jacob ! Bénie es-tu pour avoir apporté la Sainteté à mon fils qui, je le sens, bondit comme une jeune chevrette pour la joie qu’il éprouve, en mon sein ! C’est qu’il se sent délivré du poids de la faute, appelé à être le Précurseur, sanctifié avant la Rédemption par le Saint qui croît en toi ! »

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Intentions de prières de Benoît 16

lundi 30 mai 2011

JUIN
Universelle – Les prêtres.
Pour que les prêtres, unis au Coeur du Christ, soient toujours de vrais témoins de l’amour prévenant et miséricordieux de Dieu.

Missionnaire – Vocations missionnaires.
Pour que le Saint-Esprit fasse surgir de nos communautés de nombreuses vocations missionnaires, disposées à se consacrer pleinement à la diffusion du Règne de Dieu.

Ste Jeanne d’Arc, vierge (+1431) – Mémoire en France où elle est patronne secondaire

lundi 30 mai 2011

L’étendard franc est souillé de l’allégeance des régnants du Royaume de France  au commerce. A force de guerroyer pour l’argent et la dote du pouvoir, vous avez mis ma bannière en lambeau. L’acte franc est de venir au devant de l’autel et un genou en terre supplier les bonnes grâces de la Mère éternelle et la grande Miséricorde de Dieu. La Terre va s’emplir de boue couleur de sang. Les montagnes tomberont et les vagues de 25 à 30 mètres de haut noieront les rivages. Quelques coudées du pays intérieur et des rives de la mer seront protégées par la Mère divine. Je viens vous rappeler que nous sommes tous vassal de notre Dieu. Le Roi détrôné reviendra un jour après des nuits et des jours de violence de la terre et des hommes. Aujourd’hui encore, je viens sauver la France, pays chéri de la Mère des hommes afin que son étendard brille à jamais dans le cœur des hommes.

Encore une fois, je viens guerroyer à vos côtés afin que l’emblème du lys de la France soit le lys de la blancheur, de la pureté des cœurs des français. Mes frères et sœurs, suivez ma bannière. La France est au roi, le roi est à Dieu. Le chemin sera rude, la prière inévitable en tous lieux. Suivez ma bannière. Et pour toute précision pour votre histoire, je n’ai jamais été la pucelle, je ne suis que Jeanne de Domrémi. Je suis au devant de vous et je vous prie de me suivre. Et je prie en chaque jour que la victoire de Dieu fasse éclater la lumière du soleil sur le monde entier. Les sous de votre bourse ne sont que ferraille, même les chevaux n’osent même plus les piétiner. C’est le cœur en avant, le courage associé qui vous fera vaincre de l’ignominie des hommes entre eux. Marie aime la France, aimez Marie. Merci. Je suis Jeanne et je prie pour vous.

Message du 15 mai 2011

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Fête des mères

dimanche 29 mai 2011

Mes enfants, vous êtes dans le mois du renouveau et de l’ouverture de la nature, accordez-vous le temps de vous reposer sur elle et de vous ouvrir entièrement à l’Amour et la Paix. La nature est un bienfait de Dieu le Père, mais c’est aussi le reflet de l’homme dans son évolution. Mais aujourd’hui, il sacrifie cette aire de repos et de contemplation en un décor burlesque pour assouvir son besoin de suprématie sur tout. Les fleurs, reflet du sentiment humain d’amour, parfum de l’espérance et de la joie de vivre, cherchent avec souffrance leur lieu d’éclosion. C’est une souffrance infligée au Cœur Sacré de mon Fils et Il vous demande plus de soins et de respect envers la nature qui vous entoure.

Mes enfants, les temps sont durs pour l’homme et surtout les plus fragiles. Priez, priez, priez pour soulager la souffrance des hommes dans la perte d’êtres chers. Que  d’avertissements sont donnés et bien peu écoutés. La surdité et l’aveuglement font partie des maux humains ; votre Médecin, vous Le connaissez et vous ne L’appelez pas.

Mes enfants, soyez attentifs aux mères, car beaucoup d’entre elles sont déchirées dans leur cœur par la perte d’un enfant ou de plusieurs. Soyez protecteurs des mères, accompagnez-les et préservez-les car elles sont l’avenir des hommes, actrices en premier lieu dans la souffrance et l’immense joie de procréer.

Mes enfants, priez pour tous et ouvrez-vous à l’attente de Mon Fils pour les hommes. Priez pour l’union des hommes en Dieu le Père.

Marie Mère des hommes – mai 2008

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Septième jour de la neuvaine

dimanche 29 mai 2011

Apocalypse 12,1-18 : La Femme et le Dragon.

1 Un signe grandiose apparut au ciel : une Femme ! le soleil l’enveloppe, la lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnent sa tête ; 2 elle est enceinte et crie dans les douleurs et le travail de l’enfantement. 3 Puis un second signe apparut au ciel : un énorme Dragon rouge-feu, à sept tête et dix cornes, chaque tête surmontée d’un diadème. 4 Sa queue balaie le tiers  des étoiles du ciel et les précipite sur la terre. En arrêt devant la femme en travail, le Dragon s’apprête à dévorer son enfant aussitôt né. 5 Or la femme mit au monde un enfant mâle, celui qui doit mener toutes les nations avec un sceptre de fer 6 et son enfant lui fut enlevé jusqu’auprès de Dieu et de son trône, tandis que la Femme s’enfuyait au désert, où Dieu lui a ménagé un refuge pour qu’elle y soit nourrie mille deux cent soixante jours.

7 Alors, il y eut une bataille dans le ciel : Michel et ses Anges combattirent le Dragon. Et le Dragon riposta, avec ses Anges, 8 mais ils eurent le dessous et furent chassés du ciel. 9 On le jeta donc, l’énorme Dragon, l’antique Serpent, le Diable ou le Satan, comme on l’appelle, le séducteur du monde entier, on le jeta sur la terre et ses Anges furent jetés avec lui. 10 Et j’entendis une voix clamer dans le ciel : « Désormais, la victoire, la puissance et la royauté sont acquises à notre Dieu, et la domination à son Christ, puisqu’on a jeté bas l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait jour et nuit devant notre Dieu. 11 Mais eux l’ont vaincu par le sang de l’Agneau et par la parole dont ils ont témoigné, car ils ont méprisé leur vie jusqu’à mourir. 12 Soyez donc dans la joie, vous, les cieux et leurs habitants, car le Diable est descendu chez vous, frémissant de colère et sachant que ses jours sont comptés. »

13 Se voyant rejeté sur la terre, le Dragon se lança à la poursuite de la Femme, la mère de l’Enfant mâle. 14 Mais elle reçut les deux ailes du grand aigle pour voler au désert jusqu’au refuge où, loin du Serpent, elle doit être nourrie un temps et des temps et la moitié d’un temps15 Le Serpent vomit alors de sa gueule comme un fleuve d’eau derrière la Femme pour l’entraîner dans ses flots. 16 Mais la terre vint au secours de la Femme : ouvrant la bouche, elle engloutit le fleuve vomi par la gueule du Dragon. 17 Alors, furieux contre la Femme, le Dragon s’en alla guerroyer contre le reste de ses enfants, ceux qui gardent les commandements de Dieu et possèdent le témoignage de Jésus.

18 Et je me tins sur la grève de la mer.

 

Sixième jour de neuvaine

samedi 28 mai 2011

Mes enfants, unissez-vous et assemblez-vous en prières afin de soulager vos frères et motiver les conversions. Je suis le trait d’union avec la Sainte Trinité. Venez vous blottir contre mon Cœur, je vous préserverai et demanderai toute l’attention de mon Fils pour la réalisation de vos demandes pour autrui et vous-mêmes.

Comme une mère, je ne vous laisserai pas seuls et égarés, sauf si vous refusez mon secours et mes mains tendues. Tous les enfants sont appelés et j’offre ma place de mère pour vous guider et vous amener à mon Fils.

Mon amour est celui d’une mère de tendresse et d’amour et mes larmes coulent quand votre désarroi vous amène à la tentation du Malin.

Mes enfants, venez contre mon Cœur et les battements de celui-ci vous subjugueront vers le bien être et l’accompagnement dans le Message du Divin Père pour l’union de tous dans la Vérité et l’Amour.

Nous sommes dans une écoute permanente de vos questions, de vos désarrois, de vos recherches et de vos attentes. Soyez attentifs à Notre réponse permanente symbolisée par des signes dans votre vie de tous les jours.

Mes enfants, priez, priez, priez en chaque jour et avec votre cœur, venez parler à mon Fils pour qu’Il vous accompagne sur le chemin de la Vérité.

Marie Mère des hommes – mai 2005

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Cinquième jour de la neuvaine à Marie

vendredi 27 mai 2011

Quatrième jour de la neuvaine

jeudi 26 mai 2011

Mes enfants, prenez le temps de vous recueillir et d’affermir votre foi. Priez, Priez, Priez et laissez-Nous agir pour votre bien. Laissez-Nous vous bercer de notre tendresse et amour, comme les branches des arbres sont bercées par le vent.

N’incitez jamais à l’erreur et recherchez en vous la sagesse, afin de ne pas fouler la terre d’autrui sans son consentement. Ne soyez pas triste d’un refus, mais acceptez cette épreuve comme preuve de votre évolution. Mes enfants viendront toujours plus, avec foi et amour. La sagesse fera bénéficier certains d’une Evolution Divine importante et ils seront les premiers à prendre la tête du Pèlerinage Divin.

Marie Mère des hommes – février 1995

 

Troisième jour de la neuvaine

mercredi 25 mai 2011

Origines de cette dévotion

Fondement théologique

Si l’on veut remonter à l’origine première de cette dévotion, à la fois simple et sublime, des Trois Ave Maria, il faut pénétrer jusques dans les profondeurs du mystère de l’adorable Trinité. C’est de toute éternité que les trois Personnes divines se sont complu à prédestiner Marie, leur chef-d’œuvre de prédilection. Un pieux auteur nous représente ces trois Personnes adorables saluant, tour à tour, la divine Marie. Il s’exprime ainsi : « Ave, c’est le mot de Dieu le Père, étonné, pour ainsi dire, et ravi de la beauté de son ouvrage… — Ave, c’est le mot de Dieu le Fils, du Verbe éternel, sagesse et intelligence du Père, miroir parfait de sa parfaite beauté, splendeur éternelle de son éter nelle lumière… Ave, c’est le mot de Dieu le Saint-Esprit : Ave, mon Epouse incomparable, mon unique, ma belle, choisie entre toutes les filles de l’homme, sanctifiée dans les desseins de l’éternelle miséricorde, préservée par la divine attention du Père et du Fils, et par mes jalouses préférences… » Puis, le même auteur nous montre les choeurs angéliques faisant écho à cette triple et divine salutation : « Et cet Ave parlé, modulé, chanté dans le sein de l’adorable et indivisible Trinité, a débordé de son sein, dans le ciel, comme les eaux surabondantes de Dieu, et tous les échos du paradis le répètent. » Des hauteurs du ciel, ce triple Ave descend sur la terre, apporté par l’archange Gabriel, à la plus humble et à la plus parfaite des créatures. Saint Gabriel se présente à Marie comme l’ambassadeur, « l’envoyé de Dieu, missus a Deo ». Il parle donc au nom de Dieu, c’est-à-dire au nom des trois Personnes divines : Père, Fils et Saint-Esprit. Son salut, son Ave, équivaut ainsi à une triple salutation, à un triple Ave. De plus, en étudiant la Salutation angélique, nous y trouvons une triple louange en l’honneur de Marie. Le céleste ambassadeur s’exprime en ces termes : « Je vous salue, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes: Ave, gratia plena, Dominus tecum, benedicta tu in mulieribus. » Dans chacune de ces trois louanges, nous pouvons découvrir un rapport plus spécial, plus immédiat, avec chacune des Personnes divines : avec Dieu le Père, qui a comblé sa Fille bien-aimée, de toutes grâces, dès l’instant de sa Conception Immaculée — avec Dieu le Fils, dont elle allait devenir la Mère : Dominus tecum ; — avec Dieu le Saint-Esprit, qui a enrichi sa divine Epouse des plus abondantes bénédictions, par lesquelles Marie est élevée au-dessus de toutes les femmes et de toutes les autres pures créatures. On peut donc dire que l’Ave de Gabriel équivaut à trois, puisqu’il le prononça au nom de chacune des trois Personnes divines. Voilà une des origines et un des premiers fondements de notre sainte pratique des Trois Ave Maria, qui nous montre la divine Marie dans ses rapports intimes avec chacune des trois Personnes de l’adorable Trinité.

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Fête de Marie Auxiliatrice

mardi 24 mai 2011
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Le 24 mai est un jour important dans la famille salésienne car c’est la fête de Marie auxiliatrice. En effet, Marie tenait une place privilégiée dans la vie de Don Bosco.
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Marie auxiliatrice, une présence active
« Il ne faut pas faire attention aux rêves » réplique la grand-mère à Jean qui vient de lui raconter son rêve de la nuit passée. Il a neuf ans. Dans ce rêve, Marie, bergère d’un troupeau, lui demande de conduire ses enfants égarés. Rêve d’un instant…
Et pourtant, l’épisode revient dans la vie de Jean Bosco, à la façon d’un feuilleton aux multiples facettes. Au fil du temps, ces songes apparaissent comme des rendez-vous fixés par la Dame. À trois reprises, elle lui indique le lieu de sa mission : un quartier mal famé où seront construites trois églises de tailles différentes. Un peu plus tard, elle lui transmet un ruban où est écrit le mot « obéissance ». Face aux départs de prêtres qui venaient l’aider, Marie lui conseille de créer une congrégation. Pour la fondation de l’Institut des Salésiennes, Marie doit insister, car Don Bosco rétorque aux jeunes filles aspirant à une telle création : « Je n’ai pas le temps, je ne peux rien pour vous. » Alors la Dame renouvelle sa requête. Jean Bosco se laisse finalement bousculer par la volonté de Marie.
Jean Bosco fera ainsi connaître la Dame à ses jeunes et les invitera à lui faire confiance. Marie n’est pas éloignée de leurs préoccupations. Une présence active sur la cour de récréation, dans leurs études, les moments de fête et les temps difficiles. Le souci de Jean Bosco est de leur montrer que la Vierge Marie n’est pas uniquement celle que l’on exalte en récitant le Magnificat. Elle accompagne les évolutions de chacun, permettant aux « petits », à ceux qui sont mis à l’écart, de prendre toute leur place. C’est de cette façon qu’est lancée la Compagnie de l’Immaculée dont fait partie Dominique Savio. Ce petit groupe se retrouve à la fois pour des temps de prière et pour suivre des jeunes en difficulté au sein du Valdocco.
Au terme de sa vie, Jean Bosco dira de la Dame : « C’est elle qui a tout fait.»

Marie dans nos vies…
À travers l’Histoire, Marie est invoquée sous le nom d’Avocate, d’Auxiliatrice, d’Aide et de Médiatrice, Secours des Chrétiens, Immaculée… Que de titres n’a-t-elle pas reçu ! Pourtant elle n’attendait qu’une seule chose : la venue du Messie, celui qui allait libérer le peuple d’Israël. Tout au long de sa vie, elle aura accompagné son fils durant son éducation puis sur le chemin de sa mission. Elle ne l’aura pas toujours compris et pourtant elle portait tous les événements passés dans la prière.
Nos vies sont marquées par des situations qui nous dépassent. La mort, la souffrance, la maladie… sont souvent vécues comme une non-action de Dieu : « Que fait donc le bon Dieu ? Pourquoi croire s’il ne fait rien ? »

À son époque, Jésus n’a pas éliminé les mille et une détresses auxquelles il était confronté. Il faisait un bout de chemin avec les gens. Il importait pour lui de se mettre à leur écoute, le temps d’une rencontre, courte mais essentielle, pour remettre les personnes en marche, redonner un sens à leur vie.
Au pied de la croix, Marie accueille les dernières paroles de Jésus : « Femme, voilà ton fils. » Puis il dit au disciple qu’il aimait : « Voilà ta mère. » Alors qu’elle vit le drame de la mort de son fils, celui-ci l’invite à dépasser cette épreuve en accueillant une nouvelle mission : devenir la mère de toute l’humanité.
Comme une mère attentive à tous ses enfants, Marie se fait éducatrice. Elle nous invite à accueillir les imprévus de la vie, à nous laisser bousculer, à avancer dans notre pèlerinage terrestre. Elle nous demande de faire fructifier nos talents et de les mettre au service de nos frères. Ainsi, serons-nous signes de la construction du Royaume de Dieu, présent au cœur de nos vies. Laissons résonner en nous ces paroles qu’elle adresse aux serviteurs des noces de Cana : « Faites tout ce qu’il vous dira ! » Sans cesse, Marie nous renvoie à Celui qu’elle a suivi tout au long de sa vie ; un Dieu qui nous libère du chacun-pour-soi pour être solidaire de ceux qui nous entourent.

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