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Archive pour janvier 2011

Neuvaine à Ste Thérèse

lundi 31 janvier 2011

Après la neuvaine à St Joseph, pour Ardouane, nous nous tournons vers la petite Sainte, grande par son Amour et sa tendresse, afin de garder cette demeure en l’Esprit de Marie.

Cette prière de la petite Thérèse nous rappelle, en outre, la fête de Ste Véronique le 4 février.

Enseignement Divin

dimanche 30 janvier 2011

Mes enfants, unissez-vous pour alimenter la Lumière Divine, par votre reconnaissance et votre ouverture en la Parole Divine et dans sa réalisation terrestre. Il vous faut mettre en pratique l’enseignement Divin dans l’acceptation de Sa sainte Miséricorde et de Sa Reconnaissance éternelle.

Vous devez être dans l’acceptation que Dieu soit en vous afin d’insuffler en vous le chemin de la Vérité, de l’Amour et de l’Union de tous. La béatitude reste dans l’une des finalités de l’acceptation de votre assentiment en la volonté Divine. Dieu le Père ne désire vous offrir que Son Amour éternel comme le père terrestre envers son enfant.

Mes enfants, je vous demande de faire réflexion sur toutes paroles venant de Dieu le Père afin d’accomplir votre chemin en toute sérénité.

Mes enfants, je suis Marie Mère des hommes, présente en vous pour vous transmettre et vous accompagner dans l’Enseignement Divin.

Marie Mère des hommes – mars 2005

Heureux ….

dimanche 30 janvier 2011

Armes de Paix

samedi 29 janvier 2011

N’oubliez jamais le cierge, c’est la lumière, la bible, votre livre de chevet, ce livre qui contient toute la volonté et l’enseignement de Dieu le Père par le Fils. N’oubliez pas le chapelet, il est l’élément de la prière qui égrène en chaque jour l’Amour et la Paix auprès de vos frères.

Marie Mère des hommes – octobre 2007

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Enseignement

vendredi 28 janvier 2011

Matériel

jeudi 27 janvier 2011

Votre vie sur terre n’est qu’un passage d’évolution pour accéder auprès du Père Eternel. Tout ce que vous touchez matériellement sur terre n’est qu’un artifice aux yeux du Père Eternel, il n’existe pas de confort que le seul qui se trouve dans le Cœur Sacré de mon Fils et de Dieu le Père. Il n’est que dans l’Amour où vous trouverez le confort, la sérénité, l’Amour et la Paix. Ce n’est pas dans un objet que vous trouverez les sensations de cet Amour.

Marie Mère des hommes – octobre 2005

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Notre chemin de Damas…

mercredi 26 janvier 2011

Sur le chemin de Damas, Paul rencontre le Christ. Nous avons chacun et chacune nos chemins de Damas où Dieu nous met à terre parce que nous avons besoin d’être secoués pour sortir de nos idées toutes faites, de nos habitudes, de notre train-train quotidien, et alors entendre ce que Dieu a à nous dire.

Mais qu’est-ce que la conversion de Paul, sinon la manifestation que tout ce qui touche l’homme touche Dieu en Jésus Christ. Jésus ne dit pas « Pourquoi persécutes-tu mes frères, mes amis, mes disciples ? » mais il dit « Pourquoi ME persécutes-tu ? » Ainsi Jésus fait de la communauté chrétienne naissante une part de lui-même, son extension, sa présence dans le temps, son « corps » comme le dira plus tard Paul lui-même.

Et si toute persécution contre la communauté chrétienne est une persécution contre le Christ, sans doute cela est-il  vrai de toute persécution, même quand elle ne touche pas directement la communauté des croyants.

La conversion de Paul est une conversion de son image de Dieu, de son image de l’Eglise, de son image des autres, de sa propre image de soi. C’est le modèle de toutes les conversions véritables. Le livre des Actes rapporte qu’il lui tomba des yeux « comme des écailles » (Actes 9, 18).

Une conversion de l’image de Dieu… Paul quitte l’image de Dieu dont il a hérité du monde pharisien. Un Dieu dont on défend l’idée à coup de lapidation, d’inquisition, de chasse à l’homme. Il découvre un Dieu désarmé. Derrière le « Pourquoi me persécutes-tu ? » nous pouvons entendre une suite : « Moi qui n’ai rien fait contre toi ». Il découvre un Dieu qui ne prend pas le chemin que l’autorité religieuse avait tracé.

Un conversion de l’image de l’Eglise… Jésus ne prend pas ici la mesure de savoir si les croyants que Paul persécute sont de bons croyants, moralement acceptables. Nous sommes loin de l’épisode de l’Ancien Testament où Abraham tente sans réussite d’intercéder pour Sodome « Vas-tu vraiment supprimer le juste avec le pécheur ? » (Genèse 18, 23). Ici, à cause d’un seul juste, le Christ lui-même, le pécheur doit être sauvé. Cette fête de la conversion de saint Paul clôture la semaine de prière pour l’unité des chrétiens. Et en la clôturant, elle nous dit quelque chose de ce qu’est l’Eglise.

Une conversion de l’image des autres… Ceux que Paul persécutait, il doit apprendre à les recevoir comme des frères. Jésus l’envoie auprès d’Ananie et ce dernier averti en songe éprouve quelques craintes à rencontrer le persécuteur. Mais confiant Ananie va à la recherche de Paul, lui impose les mains et lui dit : « Saul, mon frère, celui qui m’envoie c’est le Seigneur » (Actes 9, 17). Mon frère… Les ennemis sont devenus des frères.

Une conversion de l’image de soi… La rencontre de Dieu ne laisse pas indemne. Il n’est plus possible à Paul de reprendre sa vie normale. La rencontre de Dieu s’épanouit dans un changement de vie. Voici que le persécuteur devient apôtre, celui qui voulait faire taire les chrétiens, devient le porteur de la parole de Jésus.

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Fête de la conversion de Saint Paul

mardi 25 janvier 2011

Si le christianisme est devenu une grande religion universelle, c’est aussi à saint Paul qu’il le doit.

Le futur propagandiste de la foi chrétienne est un citoyen romain d’origine juive et de langue grecque né à Tarse, en Anatolie, vers l’an 9. Son nom est Saül.

Il fait de solides études hébraïques puis, devenu rabbin, il enseigne les Écritures juives à Jérusalem.

C’est l’époque où les disciples de Jésus commencent à prêcher la doctrine chrétienne. Saül prend violemment parti contre eux. Il approuve même la condamnation du diacre Étienne et assiste à son martyre.

Il obtient du Sanhédrin, le tribunal juif qui siège au Temple, la mission de pourchasser les chrétiens de Syrie.

Mais sur le chemin de Damas, il est terrassé par une force surnaturelle. Une voix lui crie : «Saül, Saül, pourquoi me persécutes-tu ?» L’événement se déroule vers l’an 42, soit quelques années après la crucifixion du Christ. L’Église a choisi de le commémorer tous les 25 janvier.

La conversion de Paul sur le chemin de Damas en Syrie, par le peintre Luca Giordano

Saül se convertit peu après. Il prend le nom de Paul, traduction latine de Saül, pour se faire mieux accepter dans le monde gréco-romain, puis effectue au total trois grands voyages d’évangélisation en Asie mineure, en Grèce et jusqu’à Rome, multipliant partout les conversions.

En l’an 48, se tient à Jérusalem ce qu’il est convenu d’appeler le premier concile ou le concile des Apôtres. À cette occasion, Paul plaide avec succès l’abandon des rituels juifs comme la circoncision. Le message chrétien s’adresse à tous les hommes et non pas seulement aux juifs, affirme-t-il.

En butte à l’hostilité des juifs, il est arrêté. Mais il fait valoir sa qualité de citoyen romain et ce statut privilégié lui vaut d’être jugé à Rome… et acquitté. Il rencontre néanmoins le martyre à Rome après quinze ans d’apostolat. Il est décapité et enseveli en un lieu où s’élève aujourd’hui la superbe basilique de Saint-Paul-hors-les-murs.

C’est à Paul que la religion chrétienne doit sa séparation d’avec le judaïsme et sa vocation à l’universalité.

Appelé l’«Apôtre des Gentils», c’est à dire des non-juifs, il est considéré comme le deuxième fondateur du christianisme, après le Christ lui-même. Ses quatorze lettres ou épîtres sont un élément central du Nouveau Testament, aux côtés des Quatre Évangiles.

THÈME DE LA SEMAINE DE PRIÈRE POUR L’UNITÉ CHRÉTIENNE 2011

lundi 24 janvier 2011

UNIS DANS L’ENSEIGNEMENT DES APÔTRES, LA COMMUNION FRATERNELLE, LA FRACTION DU PAIN ET LA PRIÈRE


C’est de Jérusalem que l’appel à l’unité parvient cette année aux Églises du monde entier. Les Églises présentes dans la Ville sainte aujourd’hui appellent tous les chrétiens à redécouvrir les valeurs qui constituaient l’unité de la première communauté chrétienne, lorsqu’elle était assidue à l’enseignement des apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières (Actes 2, 42-47).

Cette communauté primitive, que l’on dit idéalisée dans les textes du livre des Actes des Apôtres, vient pourtant interroger sérieusement toute communauté ecclésiale sur sa propre fidélité à l’enseignement des apôtres, à la communion fraternelle, à la fraction du pain et à la prière. Et la semaine de prière pour l’unité chrétienne vient redoubler la question sur cette fidélité à vivre ensemble et sur la persévérance dans la prière pour l’unité telle que le Christ la veut, par les moyens qu’Il veut.

Les prières de ces huit jours nous font tenir ensemble plusieurs réalités : la première communauté à Jérusalem, les Églises aujourd’hui dans la Ville sainte et l’intercession des Églises du monde entier pour l’unité. Les chrétiens de Jérusalem appellent leurs frères et sœurs à renouveler leur engagement œcuménique en l’enracinant dans l’expérience de l’Église primitive. Ils les pressent également de prier avec eux et pour eux dans leur aspiration à la liberté, à la dignité, à la justice et à la paix pour tous les peuples de cette terre.

« Venez derrière moi, et je vous ferai pêcheur d’hommes. »

dimanche 23 janvier 2011

Quelle pêche admirable du Sauveur ! Admirez la foi et l’obéissance des disciples. La pêche, vous le savez, demande une attention ininterrompue. Or, au beau milieu de leur travail, ils entendent l’appel de Jésus et ils n’hésitent pas un instant ; ils ne disent pas : « Laisse-nous rentrer à la maison pour parler à nos proches ». Non, ils quittent tout et ils le suivent, comme Élisée a fait avec Élie (1R 19,20). Telle est l’obéissance que le Christ nous demande, sans la moindre hésitation, même si des nécessités apparemment plus urgentes nous pressent. C’est pourquoi, quand un jeune homme qui voulait le suivre a demandé s’il pouvait aller ensevelir son père, même cela, il ne le lui a pas laissé faire (Mt 8,21). Suivre Jésus, obéir à sa parole, est un devoir qui devance tous les autres.

Tu me diras peut-être que la promesse qu’il leur faisait était très grande ? Voilà pourquoi je les admire tellement : alors qu’ils n’avaient vu encore aucun miracle, ils ont cru à une si grande promesse et ont renoncé à tout pour le suivre ! C’est parce qu’ils ont cru qu’avec les mêmes paroles par lesquelles ils avaient été pris comme à la pêche, ils pourraient en pêcher d’autres.

Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), prêtre à Antioche puis évêque de Constantinople, docteur de l’Église
Homélies sur l’évangile de Matthieu, n°14, 2

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