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Archive pour le mot-clef ‘Royaume’

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samedi 3 décembre 2011

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 9,35-38.10,1.6-8.
Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages, enseignant dans leurs synagogues, proclamant la Bonne Nouvelle du Royaume et guérissant toute maladie et toute infirmité.
Voyant les foules, il eut pitié d’elles parce qu’elles étaient fatiguées et abattues comme des brebis sans berger.
Il dit alors à ses disciples : « La moisson est abondante, et les ouvriers sont peu nombreux.
Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. »
Alors Jésus appela ses douze disciples et leur donna le pouvoir d’expulser les esprits mauvais et de guérir toute maladie et toute infirmité.
Allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël.
Sur votre route, proclamez que le Royaume des cieux est tout proche.
Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement.

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Neuvième jour de la neuvaine au Christ Roi

samedi 19 novembre 2011

« Recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde »

« Le Christ remettra le Royaume à son Père » dit saint Paul (1Co 15,28), non pas en ce sens qu’il renoncerait à sa puissance en lui remettant son Royaume, mais parce que c’est nous qui serons le Royaume de Dieu, lorsque nous aurons été rendus conformes à la gloire de son corps… C’est nous qu’il remettra à Dieu, après nous avoir constitués « Royaume de Dieu » par la glorification de son corps. C’est nous qu’il remettra au Père, en tant que Royaume, selon ce qui est dit dans l’Évangile : « Venez, les bénis de mon Père, prenez possession du Royaume qui vous a été préparé dès la création du monde ».

« Les justes brilleront alors comme le soleil dans le Royaume de leur Père » (Mt 13,43). Car le Fils livrera à Dieu comme étant son Royaume ceux qu’il a conviés à son Royaume, ceux à qui il a promis la béatitude propre à ce mystère par ces mots : « Bienheureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5,8)… Le Christ livre à Dieu le Royaume, et voici que ceux qu’il remet à son Père comme étant son Royaume voient Dieu. Le Seigneur lui-même a déclaré à ses apôtres en quoi consiste ce Royaume : « Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous » (Lc 17,21).

Et si quelqu’un cherche à savoir qui est celui qui remet le Royaume, qu’il écoute : « Le Christ est ressuscité d’entre les morts, pour être parmi les morts le premier ressuscité. Car la mort étant venue par un homme, c’est par un homme aussi que vient la résurrection » (1Co 15,20-21). Tout cela concerne le mystère du Corps, car le Christ est le premier ressuscité d’entre les morts… C’est donc pour le progrès de l’humanité assumée par le Christ que « Dieu sera tout en tous » (1Co 15,28).

Saint Hilaire (v. 315-367), évêque de Poitiers et docteur de l’Église
La Trinité, 11, 38-39 (trad. Brésard, 2000 ans A, p. 268)

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Deuxième jour

samedi 12 mars 2011

2ème jour : Saint Joseph, modèle d’espérance.


Avec Joseph, modèle d’espérance, Seigneur, nous t’en prions : laisse éclater en nous ta force et nous irons, comme Joseph, là où tu le désires, bâtir avec nos frères une cité plus humaine, et façonner le Royaume où règne ta justice.

Ô Saint Joseph, puissions-nous apprendre de toi à espérer, et que cette espérance puisse nous transformer et nous donner le goût du combat et de l’action !

Notre Père…?Je vous salue Marie…?Gloire au Père…

Ô Joseph, père virginal de Jésus, très pur époux ?de la Vierge Marie, chaque jour, prie pour nous Jésus ?lui-même, le Fils de Dieu, afin que, fortifié par sa grâce,? nous puissions lutter comme il convient dans la vie, et ?être couronnés par lui dans la mort.

Jésus, Marie, Joseph, je vous confie mon cœur et? mon âme ! ?Jésus, Marie, Joseph, assistez-moi jusqu’à mon dernier ?soupir !? Jésus, Marie, Joseph, que mon âme puisse partir en paix ?vers vous !

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Cherchez d’abord son Royaume et sa justice

dimanche 27 février 2011

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 6,24-34.
Comme les disciples s’étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Aucun homme ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’Argent.
C’est pourquoi je vous dis : Ne vous faites pas tant de souci pour votre vie, au sujet de la nourriture, ni pour votre corps, au sujet des vêtements. La vie ne vaut-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que les vêtements ?
Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils ne font pas de réserves dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ?
D’ailleurs, qui d’entre vous, à force de souci, peut prolonger tant soit peu son existence ?
Et au sujet des vêtements, pourquoi se faire tant de souci ? Observez comment poussent les lis des champs : ils ne travaillent pas, ils ne filent pas.
Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’était pas habillé comme l’un d’eux.
Si Dieu habille ainsi l’herbe des champs, qui est là aujourd’hui, et qui demain sera jetée au feu, ne fera-t-il pas bien davantage pour vous, hommes de peu de foi ?
Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : ‘Qu’allons-nous manger ? ‘ ou bien : ‘Qu’allons-nous boire ? ‘ ou encore : ‘Avec quoi nous habiller ? ‘
Tout cela, les païens le recherchent. Mais votre Père céleste sait que vous en avez besoin.
Cherchez d’abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus le marché.
Ne vous faites pas tant de souci pour demain : demain se souciera de lui-même ; à chaque jour suffit sa peine.

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris

Deuxième dimanche de l’Avent

dimanche 5 décembre 2010

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 3,1-12.
En ces jours-là, paraît Jean le Baptiste, qui proclame dans le désert de Judée :
« Convertissez-vous, car le Royaume des cieux est tout proche. »
Jean est celui que désignait la parole transmise par le prophète Isaïe : A travers le désert, une voix crie : Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route.
Jean portait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins ; il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.
Alors Jérusalem, toute la Judée et toute la région du Jourdain venaient à lui,
et ils se faisaient baptiser par lui dans le Jourdain en reconnaissant leurs péchés.
Voyant des pharisiens et des sadducéens venir en grand nombre à ce baptême, il leur dit : « Engeance de vipères ! Qui vous a appris à fuir la colère qui vient ?
Produisez donc un fruit qui exprime votre conversion,
et n’allez pas dire en vous-mêmes : ‘Nous avons Abraham pour père’ ; car, je vous le dis : avec les pierres que voici, Dieu peut faire surgir des enfants à Abraham.
Déjà la cognée se trouve à la racine des arbres : tout arbre qui ne produit pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu.
Moi, je vous baptise dans l’eau, pour vous amener à la conversion. Mais celui qui vient derrière moi est plus fort que moi, et je ne suis pas digne de lui retirer ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et dans le feu ;
il tient la pelle à vanner dans sa main, il va nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier. Quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s’éteint pas. »

Nouvelle Jérusalem

dimanche 14 novembre 2010

“Il en est ainsi. Que les ennemis détruisent donc le vrai Temple. En trois jours je le ferai surgir à nouveau, et il ne connaîtra plus d’embûches en s’élevant là où l’homme ne peut lui nuire. En ce qui concerne le Royaume de Dieu, il est en vous et partout où il y a des hommes qui croient en Moi. Éparpillé pour le moment, se répandant sur la Terre au cours des siècles. Puis éternel, uni, parfait dans le ciel. C’est là, dans le Royaume de Dieu, que sera édifié le nouveau Temple, c’est-à-dire là où sont les esprits qui acceptent ma doctrine, la doctrine du Royaume de Dieu, et en pratiquent les préceptes. Comment sera-t-il édifié si vous êtes pauvres et peu nombreux? Oh! en vérité, il n’est pas besoin d’argent ni de puissances pour construire l’édifice de la nouvelle demeure de Dieu, individuelle ou collective. Le Royaume de Dieu est en vous, et l’union de tous ceux qui auront en eux le Royaume de Dieu, de tous ceux qui auront Dieu en eux, Dieu: la Grâce; Dieu: la Vie; Dieu: la Lumière; Dieu: la Charité, constituera le grand Royaume de Dieu sur la Terre, la nouvelle Jérusalem qui arrivera à s’étendre jusqu’aux confins du monde et qui, complète et parfaite, sans imperfections, sans ombres, vivra éternellement au Ciel. Comment ferez-vous pour édifier Temple et cité? Oh! ce n’est pas vous, mais Dieu qui édifiera ces nouveaux lieux. Vous devrez seulement Lui donner votre bonne volonté. C’est bonne volonté que de rester en Moi. Vivre ma doctrine, c’est bonne volonté. Rester unis, c’est la bonne volonté. Unis à Moi jusqu’à faire un seul corps nourri dans toutes ses parties, même les plus petites, par une humeur unique. Un unique édifice reposant sur une base unique et tenu uni par une mystique cohésion. Mais puisque sans l’aide du Père, que je vous ai enseigné à prier et que je prierai pour vous avant de mourir, vous ne pourriez, être dans la Charité, dans la Vérité, dans la Vie, c’est-à-dire encore en Moi et avec Moi en Dieu Père et en Dieu Amour, car Nous sommes une unique Divinité, pour ce motif je vous dis d’avoir Dieu en vous pour pouvoir être: le Temple qui ne connaîtra pas de fin. De vous-mêmes, vous ne pourriez faire. Si ce n’est pas Dieu qui édifie, et Il ne peut édifier où Il ne peut prendre sa demeure, c’est inutilement que les hommes s’agitent pour édifier ou réédifier. Le Temple nouveau, mon Église, s’élèvera seulement quand votre cœur sera la demeure de Dieu et c’est Lui, avec vous, pierres vivantes, qui édifiera son Église.”

Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro Editoriale Valtortiano, Italie.

Les fils du Royaume

mardi 27 juillet 2010

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 13,36-43.

Laissant la foule, Jésus vint à la maison. Ses disciples s’approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. »
Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ;
le champ, c’est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais.
L’ennemi qui l’a semée, c’est le démon ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.
De même que l’on enlève l’ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-t-il à la fin du monde.
Le Fils de l’homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume tous ceux qui font tomber les autres et ceux qui commettent le mal,
et ils les jetteront dans la fournaise : là il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris

Parabole du semeur

vendredi 23 juillet 2010

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (13,18-23)

Jésus disait à ses disciples : « Écoutez ce que veut dire la parabole du semeur.
Quand l’homme entend la parole du Royaume sans la comprendre, le Mauvais survient et s’empare de ce qui est semé dans son coeur : cet homme, c’est le terrain ensemencé au bord du chemin.
Celui qui a reçu la semence sur un sol pierreux, c’est l’homme qui entend la Parole et la reçoit aussitôt avec joie ;
mais il n’a pas de racines en lui, il est l’homme d’un moment : quand vient la détresse ou la persécution à cause de la Parole, il tombe aussitôt.
Celui qui a reçu la semence dans les ronces, c’est l’homme qui entend la Parole ; mais les soucis du monde et les séductions de la richesse étouffent la Parole, et il ne donne pas de fruit.
Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c’est l’homme qui entend la Parole et la comprend ; il porte du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un. »