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Archive pour octobre 2013

Engourdir l’esprit

lundi 14 octobre 2013

materialismeMes enfants,

Je vous remercie de m’accorder votre temps et votre réflexion à l’enseignement de mon Fils.

Vous devez sans cesse vous remettre en question et demander à l’Esprit Saint de vous conforter dans le droit chemin et de prier avec toute la puissance de votre cœur. Celui-ci ne doit subir de contrainte ou être exposé à la tentation. Sous toute forme, le Malin peut exiger de vous votre soumission au matérialisme sous couverture de l’Eden terrestre. Nous retrouvons là l’expansion de sa nocivité. La Trinité et moi-même sommes soucieux de préserver votre foi et votre Amour pour l’avenir. Et en ce point, vous devez éviter toute critique et pensées négatives envers les êtres qui vous entourent. Vous devez être unis en toute occasion pour votre bien et celui de cette mission bien réelle.

Voici, mes enfants, un piège où vous ne devez point tomber. Ce serait l’engourdissement de votre esprit et une lenteur profonde à l’évolution de vos connaissances. Restez soudés dans l’adversité et ne laissez pas votre esprit vagabonder au détour du chemin de votre avenir. Priez, priez, priez en gardant une confiance exemplaire en mon Fils qui vous guide et vous conseille judicieusement à l’avancée de votre âme.

Extrait du message de Marie Mère des hommes – septembre 2013

 

 

 

 

 

Consécration du monde

dimanche 13 octobre 2013

Voici la prière de consécration au Coeur immaculé de Marie prononcée par le pape François à la fin de la messe de ce dimanche 13 octobre 2013, devant la Vierge de Fatima, place Saint-Pierre, au terme de la messe.

Le pape a clôturé les deux « Journées mariales » vécues les 12 et 13 octobre autour de la statue de Notre-Dame de Fatima, apportée du Portugal pour l’occasion, dans le cadre des célébrations de l’Année de la foi.

Voici notre traduction du texte original en italien.

Prière de consécration au Coeur immaculé de Marie

fatima_2Bienheureuse Vierge Marie de Fatima, avec une reconnaissance renouvelée pour ta présence maternelle, nous unissons notre voix à celle de toutes les générations qui te disent bienheureuse.

Nous célébrons en toi les grandes œuvres de Dieu, qui jamais ne se lasse de se pencher avec miséricorde sur l’humanité, affligée par le mal et blessée par le péché, pour la guérir et pour la sauver. Accueille avec ta bienveillance de Mère l’acte de confiance qu’aujourd’hui nous faisons avec foi, devant ta statue qui nous est si chère.

Nous sommes certains que chacun de nous est précieux à tes yeux et que rien de ce qui habite nos cœurs ne t’est étranger. Nous nous laissons toucher par ton regard très doux et nous recevons la caresse consolante de ton sourire.

Garde notre vie entre tes bras ; bénis et renforce tout désir de bien ; ravive et nourris la foi ; soutiens et éclaire l’espérance ; suscite et anime la charité ; guide-nous tous sur le chemin de la sainteté.

Enseigne-nous ton amour de prédilection pour les petits et les pauvres, pour les exclus et les souffrants, pour les pécheurs et ceux qui sont égarés dans leur cœur : rassemble tous sous ta protection et remets-nous tous à ton Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus.

Amen.

Traduction de l’italien:  Zenit, Anne Kurian

Notre-Dame de Fatima (fin des apparitions)

dimanche 13 octobre 2013

Beata_Vergine_Maria_di_FatimaLe pape Benoît XV organisait une croisade de prières à Marie Médiatrice de toutes grâces, en vue de sauver le monde alors dévasté par la première Guerre Mondiale. Une semaine plus tard, son appel angoissé recevait une réponse des lèvres mêmes de la divine Médiatrice.

Un dimanche, 13 mai 1917, trois enfants gardent leurs brebis sur les collines de Fatima, au Portugal. Lucie, âgée de dix ans et ses cousins François et Jacinthe âgés respectivement de neuf et sept ans sont les heureux choisis de la Vierge.

En entendant sonner midi au loin, ils s’agenouillent et récitent le chapelet. Leur prière est interrompue par la vue d’un éclair, puis d’un second plus brillant que le premier. Le ciel est cependant sans nuages. Ô merveille ! À quelques pas, sur les branches d’un chêne vert, ils aperçoivent une belle Dame plus étincelante que le soleil. Éblouis autant que terrifiés, les trois enfants veulent s’enfuir, mais la mystérieuse apparition les rassure par un geste de maternelle bonté et leur dit « N’ayez pas peur, je ne vous ferai pas de mal. »

Après quelques minutes d’un silence extatique, Lucie ose demander : « Qui êtes-vous? “Je suis du ciel, répond la céleste vision, je suis descendue pour vous demander de venir ici, six mois de suite, le treize de chaque mois.”» La Vierge leur recommande de réciter souvent le chapelet. « Vous ajouterez cette prière après le Gloria Patri : Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, et conduisez au ciel toutes les âmes, spécialement celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde. » Puis, Elle se tait et s’éloigne doucement, comme poussée par un zéphyr et disparaît dans la lumière du soleil.

À tous les 13 des cinq mois suivants, les enfants ont la joie insigne de revoir la belle Dame. La nouvelle des apparitions se répand rapidement dans la région. Le 13 juillet, la foule des curieux atteint cinq mille et en août, elle se chiffre à près de vingt mille. Enfin, le 13 octobre, environ soixante-dix mille personnes accourent malgré la pluie.

Tout à coup, le ciel s’éclaircit, le soleil tremble… se secoue… et se met à tourner sur lui-même à une vitesse vertigineuse, lançant d’énormes faisceaux lumineux et multicolores. Les nuages, les arbres, les rochers prennent les teintes les plus variées. Pendant que la foule haletante contemple ce saisissant spectacle, les trois enfants voient la Très Sainte Vierge accompagnée cette fois de Jésus et de saint Joseph. Ce prodige inouï dura une douzaine de minutes et fut aperçu distinctement à plus de quatre milles à la ronde.

Ce miracle se réalisait exactement au jour, à l’heure et à l’endroit annoncés, pour exciter les hommes à croire à la réalité des apparitions et à obéir au message que la Très Sainte Vierge apportait du Ciel. À Fatima comme à Lourdes, Notre-Dame recommandait la pénitence et la récitation du rosaire. « Si l’on répond à ma demande de faire pénitence et de prier, la Russie se convertira et vous aurez la paix » a promis la Vierge Marie. « … Sinon, elle répandra ses erreurs dans le monde, suscitant des guerres et des persécutions à l’Église. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, plusieurs nations seront anéanties. » Mais n’oublions pas que Notre-Dame de Fatima a ajouté : « À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. »

Pour un approfondissement :
>>> Notre Dame de Fatima

Source principale : viechretienne.catholique.org/ (« Rév. x gpm »).

 

 

 

 

 

 

Prochaine rencontre

samedi 12 octobre 2013

Marie d'ArdouaneDimanche 20 octobre :

En Ardouane

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Messe à Lamalou-les-Bains à 10h30. Pensez aux pliants… 

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Je reviens le mois prochain et vous convie à obtenir certaines réponses que vous espérez. Nous nous retrouverons en ma Maison prochaine. Et je vous demande de reprendre votre soutien à l’Afrique profonde et croyante.

Mes enfants, je suis digne de vous quand vous m’accordez votre faveur et vos prières. Soyez dignes en ces instants d’osmose et de connaissance.

Je suis Marie mère des hommes, pour vous insuffler la pensée positive de l’Amour et de la Paix. Je suis servante auprès du Seigneur et je vous ferai sentir l’odeur des roses célestes à notre prochaine rencontre.

Marie Mère des hommes – septembre 2013

 

 

 

 

 

Le doigt de Dieu

vendredi 11 octobre 2013

le doigt de Dieu

Le nom, les appellations et les symboles de l’Esprit Saint : « Saint Esprit », tel est le nom propre de celui que nous adorons et glorifions avec le Père et le Fils. L’Église l’a reçu du Seigneur et le professe dans le baptême de ses nouveaux enfants (Mt 28,19). Le terme « Esprit » traduit le terme hébreu « ruah » qui, dans son sens premier, signifie souffle, air, vent. Jésus utilise justement l’image sensible du vent pour suggérer à Nicodème la nouveauté transcendante de celui qui est personnellement le Souffle de Dieu, l’Esprit divin (Jn 3,5-8). D’autre part, Esprit et Saint sont des attributs divins communs aux Trois Personnes divines…

Jésus, lorsqu’il annonce et promet la venue de l’Esprit Saint, le nomme le « Paraclet », littéralement : « celui qui est appelé auprès ». « Paraclet » est traduit habituellement par « Consolateur », Jésus étant le premier consolateur. Le Seigneur lui-même appelle l’Esprit Saint « l’Esprit de Vérité »… On trouve chez saint Paul les appellations : l’Esprit de la promesse, l’Esprit d’adoption, l’Esprit du Christ, l’Esprit du Seigneur, l’Esprit de Dieu, et chez saint Pierre, l’Esprit de gloire.

Les symboles de l’Esprit Saint : [L’eau. L’onction. Le feu. La nuée et la lumière. Le sceau. La colombe.]

La main. C’est en imposant les mains que Jésus guérit les malades et bénit les petits enfants. En son nom, les apôtres feront de même. Mieux encore, c’est par l’imposition des mains des apôtres que l’Esprit Saint est donné. L’Épître aux Hébreux met l’imposition des mains au nombre des articles fondamentaux de son enseignement. Ce signe de l’effusion toute-puissante de l’Esprit Saint, l’Église l’a gardé dans ses épiclèses sacramentelles.

Le doigt. « C’est par le doigt de Dieu que [Jésus] expulse les démons ». Si la Loi de Dieu a été écrite sur des tables de pierre « par le doigt de Dieu » (Ex 31,18), « la lettre du Christ », remise aux soins des apôtres, « est écrite avec l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cœurs » (2Co 3,3). L’hymne « Veni, Creator Spiritus » invoque l’Esprit Saint comme « le doigt de la droite du Père ».

Catéchisme de l’Église catholique
§ 691-693 ; 699-700

 

 

 

 

 

Le Père céleste nous donne l’Esprit Saint, qui apporte la nouveauté

jeudi 10 octobre 2013

Le Renouveau

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La nouveauté nous fait toujours un peu peur, parce que nous nous sentons plus rassurés si nous avons tout sous contrôle, si c’est nous-mêmes qui construisons, programmons, faisons des projets pour notre vie selon nos plans, nos sécurités, nos goûts. Et cela arrive aussi avec Dieu. Souvent, nous le suivons, nous l’accueillons, mais jusqu’à un certain point : il nous est difficile de nous abandonner à lui avec pleine confiance, laissant l’Esprit Saint être l’âme, le guide de notre vie dans tous les choix. Nous avons peur que Dieu nous fasse parcourir des chemins nouveaux, nous fasse sortir de notre horizon souvent limité, fermé, égoïste, pour nous ouvrir à ses horizons.

Mais, dans toute l’histoire du salut, quand Dieu se révèle, il apporte la nouveauté ; Dieu apporte toujours la nouveauté ; il transforme et demande de se confier totalement à lui. Noé construit une arche, raillé par tous, et il est sauvé (Gn 6-8) ; Abraham laisse sa terre avec seulement une promesse en main (Gn 12) ; Moïse affronte la puissance du pharaon et guide le peuple vers la liberté (Ex 3-14) ; les apôtres, craintifs et enfermés dans le cénacle, sortent avec courage pour annoncer l’Évangile (Ac 2).

Ce n’est pas la nouveauté pour la nouveauté, la recherche du nouveau pour dépasser l’ennui, comme il arrive souvent de nos jours. La nouveauté que Dieu apporte dans notre vie est ce qui vraiment nous réalise, ce qui nous donne la vraie joie, la vraie sérénité, parce que Dieu nous aime et veut seulement notre bien. Demandons-nous aujourd’hui : sommes-nous ouverts aux « surprises de Dieu » ? Ou bien nous fermons-nous, avec peur, à la nouveauté de l’Esprit Saint ? Sommes-nous courageux pour aller par les nouveaux chemins que la nouveauté de Dieu nous offre ou bien nous défendons-nous, enfermés dans des structures caduques qui ont perdu la capacité d’accueil ?

Pape François
Homélie du 19/05/2013, pour la Pentecôte (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

 

 

 

 

Révélation sur la prière

mercredi 9 octobre 2013

croix2

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Notre Seigneur m’a fait une révélation sur la prière.

J’ai vu qu’elle repose sur deux conditions : la rectitude et une confiance ferme.
Très souvent, notre confiance n’est pas totale. Nous ne sommes pas sûrs que Dieu nous écoute, car nous pensons que nous en sommes indignes et d’ailleurs nous ne ressentons rien.
Nous sommes souvent aussi secs et stériles après notre prière qu’avant.
Notre faiblesse vient de ce sentiment de notre sottise, comme je l’ai moi-même éprouvé.
Tout cela, notre Seigneur me l’a présenté soudain à l’esprit et m’a dit : « Je suis l’origine de ta supplication. D’abord, c’est moi qui veux te faire ce don, puis je fais en sorte que toi tu le veuilles aussi. Je t’incite à implorer, et tu implores : comment alors serait-il possible que tu n’obtiennes pas ce que tu demandes ? »
Notre bon Seigneur m’a donné ainsi un grand réconfort… Lorsqu’il a dit : « Et tu implores », il m’a montré le grand plaisir que lui cause notre supplication et la récompense infinie qu’il nous accordera en réponse à notre prière.
Quand il a déclaré : « Comment serait-il possible que tu n’obtiennes pas ? », il en parle comme d’une impossibilité, car il est complètement impossible que nous ne recevions pas la grâce et la miséricorde lorsque nous les demandons.
En effet, tout ce que notre Seigneur nous fait implorer, il l’a ordonné pour nous de toute éternité. Par là, nous pouvons voir que ce n’est pas notre supplication qui est la cause de la bonté qu’il nous témoigne… : « J’en suis l’origine »
… La prière est un acte délibéré, vrai et persévérant de notre âme, qui s’unit et s’attache à la volonté de notre Seigneur, par l’opération douce et secrète du Saint Esprit.
Notre Seigneur lui-même reçoit d’abord notre prière, me semble-t-il ; il la prend avec une grande reconnaissance et une grande joie, et il l’emporte en plein ciel et la dépose dans un trésor où elle ne périra jamais.
Elle est là devant Dieu et tous ses saints, continuellement reçue, continuellement nous aidant dans nos besoins.
Et quand nous entrerons dans la béatitude, elle nous sera rendue, contribuant à notre joie, avec des remerciements infinis et glorieux de la part de Dieu.
Julienne de Norwich (1342-après 1416), recluse anglaise
Révélations de l’amour divin, ch. 41

Marie comblée de grâce

mardi 8 octobre 2013

StellaMarisiconbyDrStephaneRenecommEnlevez Marie, que reste-t-il, sinon une profonde obscurité, une ombre de mort…?

S’il est en nous quelque espérance, quelque grâce, quelque gage de salut, reconnaissons que tout cela déborde sur nous de Celle qui est comblée de délices…
Otez ce soleil qui éclaire le monde, c’en est fait du jour. Enlevez Marie, cette étoile de la mer, de notre grande et vaste mer, que reste-t-il, sinon une profonde obscurité, une ombre de mort et d’épaisses ténèbres ?
C’est donc du plus intime de nos cœurs, du fond même de nos entrailles et de tous nos vœux que nous devons honorer la Vierge Marie ; car c’est la volonté de Celui qui a voulu que nous ayons tout par Elle ».
Fort de cette doctrine, nous n’hésitons pas à formuler que l’apôtre quoi qu’il fasse pour son salut et son progrès spirituel et pour la fécondité de son apostolat, risque de ne bâtir que sur du sable, si son activité ne repose pas sur une très spéciale dévotion à Notre Dame.

Dom J.B. Chautard 
Extrait de L’âme de tout apostolat (dernier chapitre), Edition Téqui, Paris 1920

 

 

 

Bonjour tout le monde !

lundi 7 octobre 2013

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Notre-Dame du Rosaire

lundi 7 octobre 2013

Beata_Vergine_Maria_del_Rosario_I

Le Rosaire avait été institué par saint Dominique au commencement du XIIIe siècle. Par le zèle des papes, et aussi par les fruits abondants qu’il produisait dans l’Église, il devenait de plus en plus populaire. Au XVe siècle, le bienheureux Alain de La Roche, dominicain, fut suscité par Marie pour raviver cette dévotion si excellente.

La fête de Notre-Dame du Rosaire se célébrait déjà, en 1547, à Tortosa (Espagne), le troisième dimanche d’avril, quand fut instituée par Pie V la fête de Notre-Dame de la Victoire (1572) au premier dimanche d’octobre, en action de grâces pour la victoire de Lépante

Plus tard, dans les premières années du XVIIIe siècle, parut un homme extraordinaire appelé à bon droit le Dominique des temps modernes, et qui fut le grand propagateur, l’apôtre de la dévotion au saint Rosaire ; c’est saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Depuis saint Dominique, il n’y a pas eu d’homme plus zélé que ce grand missionnaire pour l’établissement de la confrérie du Rosaire : il l’érigeait dans tous les lieux où elle ne l’était pas ; c’est le moyen qu’il jugeait le plus puissant pour établir le règne de Dieu dans les âmes. Il composa lui-même une méthode de réciter le Rosaire, facile à retenir, instructive et pieuse. L’Apôtre de l’Ouest récitait tous les jours son Rosaire en entier, suivant sa méthode, et le faisait de même réciter publiquement tous les jours dans ses missions, et il a fait un point de règle à ses disciples de suivre son exemple.

Par son Rosaire quotidien, Montfort convertissait les plus grands pécheurs et les faisait persévérer dans la grâce et la ferveur de leur conversion ; il pouvait dire : « Personne ne m’a résisté une fois que j’ai pu lui mettre la main au collet avec mon Rosaire ! » Il avait mille industries pour propager et faire aimer le Rosaire : là, c’étaient des bannières représentant les mystères du Rosaire ; ailleurs, d’immenses Rosaires qu’on récitait en marchant, dans les églises ou autour des églises, à la manière du chemin de la Croix. Il exaltait le Rosaire dans ses cantiques ; un tonnerre de voix répondait à la sienne, et tous les échos répétaient, de colline en colline, les gloires de cette dévotion bénie.
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