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Archive pour le mot-clef ‘dévotion’

La dévotion mariale du Pape François

samedi 25 octobre 2014
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Vierge Marie

Marie tient une place importante dans la vie du pape François.  Son récent voyage en Terre Sainte l’a encore montré : la veille, il a fait un saut à Sainte Marie Majeure, pour le lui confier. Au retour, il y est allé à nouveau, pour la remercier.(…)
La dévotion de ce pape latino américain passe par l’attachement aux lieux et aux images (…). Elle rend le pape proche du peuple de Dieu.
Sa relation avec Marie est filiale. Pour François, Marie est La Mère. Il se comporte avec Elle comme un fils, qui agit avec affection, naturel et simplicité : il va lui rendre visite chez elle (c’est-à-dire dans ses sanctuaires), il lui apporte un petit bouquet (de roses en général), il le lui offre sans cérémonie. Selon Andrea Riccardi, fondateur de la communauté Sant’ Egidio, pour François, Marie est la mère « des moments difficiles ». Il lui confie les grands enjeux, comme la paix, pour laquelle il l’invoque sans relâche ; ou le monde, qu’il lui a consacré, en octobre 2013. Il montre par là combien il lui fait confiance.
Pourquoi cette relation filiale avec Marie ? Peut-être parce que François a eu une sainte maman – et une sainte grand-mère. Quand il dit (souvent) que les mères transmettent la foi, il sait de quoi il parle. François a fait plusieurs fois des confidences à ce sujet. La plus récente concerne son voyage en Terre Sainte : sur le billet qu’il a glissé dans le mur des lamentations, François avait écrit – de sa main – le Notre Père. Il a précisé qu’il l’a fait « dans la langue dans laquelle sa mère le lui avait appris ». De par son histoire personnelle, François a une belle image de la maternité. Aussi, il n’a pas peur de se positionner comme l’enfant de Marie. Il le fait naturellement.
François est fils de Marie comme il est fils de l’Eglise.  Il aime à dire qu’elles sont mères toutes les deux et inséparables. A plusieurs reprises, il a utilisé cette formule pour le signifier : « Tout ce qui peut se dire de l’Eglise peut se dire de Marie et inversement ». Pour lui, il est indispensable d’aimer Marie comme sa mère pour aimer l’Eglise. Et inversement !
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aleteia.org 04/06/2014      http://escapamargue.blogspot.fr

Marie comblée de grâce

mardi 8 octobre 2013

StellaMarisiconbyDrStephaneRenecommEnlevez Marie, que reste-t-il, sinon une profonde obscurité, une ombre de mort…?

S’il est en nous quelque espérance, quelque grâce, quelque gage de salut, reconnaissons que tout cela déborde sur nous de Celle qui est comblée de délices…
Otez ce soleil qui éclaire le monde, c’en est fait du jour. Enlevez Marie, cette étoile de la mer, de notre grande et vaste mer, que reste-t-il, sinon une profonde obscurité, une ombre de mort et d’épaisses ténèbres ?
C’est donc du plus intime de nos cœurs, du fond même de nos entrailles et de tous nos vœux que nous devons honorer la Vierge Marie ; car c’est la volonté de Celui qui a voulu que nous ayons tout par Elle ».
Fort de cette doctrine, nous n’hésitons pas à formuler que l’apôtre quoi qu’il fasse pour son salut et son progrès spirituel et pour la fécondité de son apostolat, risque de ne bâtir que sur du sable, si son activité ne repose pas sur une très spéciale dévotion à Notre Dame.

Dom J.B. Chautard 
Extrait de L’âme de tout apostolat (dernier chapitre), Edition Téqui, Paris 1920

 

 

 

« C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. »

mercredi 26 juin 2013

Mes sœurs, comme il est facile de reconnaître parmi vous celles qui ont le véritable amour du prochain et celles qui l’ont à un degré moindre ! Si vous compreniez bien l’importance de cette vertu, vous n’auriez pas d’autre préoccupation. Quand je vois des personnes tout occupées à examiner leur recueillement et si engoncées en elles-mêmes lorsqu’elles le pratiquent qu’elles n’osent pas bouger pour ne pas en détourner leur pensée, de crainte de perdre un peu du goût et de la dévotion qu’elles y trouvent, je me dis qu’elles comprennent bien peu le chemin qui conduit à l’union. Elles s’imaginent que la perfection consiste en ces façons de faire.

Non, mes sœurs, non. Le Seigneur veut des œuvres. Il veut, par exemple, que si vous voyez une malade que vous pouvez soulager, vous laissiez là vos dévotions pour l’assister, que vous lui témoigniez de la compassion, que sa souffrance soit la vôtre, et que, s’il en est besoin, vous jeûniez pour qu’elle ait la nourriture nécessaire. Et tout cela moins par amour d’elle que parce que c’est la volonté de notre Maître. Voilà la véritable union à sa volonté.

Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582), carmélite, docteur de l’Église
Le Château intérieur, 5ème demeure, 3, 10-11 (trad. OC, Cerf 1995, p. 1052 rev.)

 

 

mercredi 14 septembre 2011

Sacré Coeur de Jésus

lundi 7 juin 2010

Mes enfants, il vous faut prendre le temps de contempler et d’aimer le Cœur Sacré de mon Fils. Au travers de cette vision et de ce ressentiment de souffrance, vous comprendrez le juste chemin de votre vie, vie d’amour et de dévotion pour que ce Cœur sanglant se cicatrise de toutes les peines humaines qui Lui sont infligées.

Marie Mère des hommes – octobre 1999