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Archive pour le mot-clef ‘Espérance’

Jésus vint à leur rencontre et leur dit : « Réjouissez-vous ! »

lundi 21 avril 2014

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« Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur. Paix dans le ciel et gloire au plus haut des cieux » (Lc 19,38)… C’est un climat de joie que l’on respire. Jésus a réveillé dans le cœur tant d’espérances surtout chez les gens humbles, simples, pauvres, oubliés, ceux qui ne comptent pas aux yeux du monde. Lui a su comprendre les misères humaines, il a montré le visage de miséricorde de Dieu, il s’est baissé pour guérir le corps et l’âme. Ça, c’est Jésus. Ça, c’est son cœur qui nous regarde tous, qui regarde nos maladies, nos péchés. L’amour de Jésus est grand. Jésus est Dieu, mais il s’est abaissé pour marcher avec nous ; il est notre ami, notre frère…

Et c’est la première parole que je voudrais vous dire : joie ! Ne soyez jamais des hommes et des femmes tristes : un chrétien ne peut jamais l’être ! Ne vous laissez jamais prendre par le découragement ! Notre joie n’est pas une joie qui naît du fait de posséder de nombreuses choses, mais elle naît du fait d’avoir rencontré une personne : Jésus, qui est parmi nous. Elle naît du fait de savoir qu’avec lui nous ne sommes jamais seuls, même dans les moments difficiles, même quand le chemin de la vie se heurte à des problèmes et à des obstacles qui semblent insurmontables, et il y en a tant ! Et à ce moment-là vient l’ennemi, vient le diable, si souvent déguisé en ange (2Co 11,14), et insidieusement nous dit sa parole. Ne l’écoutez pas ! Suivons Jésus ! Nous accompagnons, nous suivons Jésus, mais surtout nous savons que lui nous accompagne et nous met sur ses épaules (Lc 15,5). Ici se trouve notre joie, l’espérance que nous devons porter vers notre monde. S’il vous plaît !, ne vous laissez pas voler l’espérance ! Ne vous laissez pas voler l’espérance ! Celle que Jésus nous donne.

Pape François
Homélie du 24/03/2013 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

 

 

 

 

« Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : ‘ Mon fils, tes péchés sont pardonnés ’. »

vendredi 17 janvier 2014

Ste SophieLa souffrance nous rappelle que le service rendu par la foi au bien commun est toujours service d’espérance, qui regarde en avant, sachant que c’est seulement de Dieu, de l’avenir qui vient de Jésus ressuscité, que notre société peut trouver ses fondements solides et durables. En ce sens, la foi est reliée à l’espérance parce que, « même si notre demeure terrestre, notre corps, vient à être détruite », nous avons « une demeure éternelle » que Dieu a désormais inaugurée dans le Christ, dans son corps (2Co 4,16s). Le dynamisme de la foi, de l’espérance et de la charité nous fait ainsi embrasser les préoccupations de tous les hommes, dans notre marche vers « cette ville, dont Dieu est l’architecte et le bâtisseur » (He 11,10), parce que « l’espérance ne déçoit pas » ( Rm 5,5).

Dans l’unité avec la foi et la charité, l’espérance nous projette vers un avenir certain, qui se situe dans une perspective différente des propositions illusoires des idoles du monde, mais qui donne un nouvel élan et de nouvelles forces à la vie quotidienne. Ne nous faisons pas voler l’espérance, ne permettons pas qu’elle soit rendue vaine par des solutions et des propositions immédiates qui nous arrêtent sur le chemin, qui « fragmentent » le temps, le transformant en moments ; c’est le temps qui gouverne les moments, qui les éclaire et les transforme en maillons d’une chaîne, d’un processus. L’espace fossilise le cours des choses, le temps projette au contraire vers l’avenir et incite à marcher avec espérance.

Pape François
Encyclique « Lumen fidei / La Lumière de la foi », § 57 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)

 

 

 

 

« Sors de cet homme ! »

mardi 3 septembre 2013

Les-Tentations

Les tentations ne doivent pas t’effrayer ; par elles Dieu veut éprouver et fortifier ton âme, et il te donne en même temps la force de les vaincre. Jusqu’ici ta vie a été celle d’un enfant ; désormais le Seigneur veut te traiter en adulte. Or les épreuves de l’adulte sont bien supérieures à celles de l’enfant, et cela explique pourquoi tu es, au début, toute troublée. Mais la vie de ton âme retrouvera vite son calme, cela ne tardera pas. Aie encore un peu de patience, et tout ira pour le mieux.

Laisse donc tomber ces vaines appréhensions. Souviens-toi que ce n’est pas la suggestion du Malin qui fait la faute, mais plutôt le consentement donné à ces suggestions. Seule une volonté libre est capable de bien et de mal. Mais lorsque la volonté gémit sous l’épreuve infligée par le Tentateur, et quand elle ne veut pas ce qu’il lui propose, non seulement ce n’est pas une faute, mais c’est de la vertu.

Garde-toi de tomber dans l’agitation en luttant contre tes tentations, car cela ne ferait que les fortifier. Il faut les traiter par le mépris et ne pas t’en occuper. Tourne ta pensée vers Jésus crucifié, son corps déposé entre tes bras et dis : « Voilà mon espérance, la source de ma joie ! Je m’attache à toi de tout mon être, et je ne te lâcherai pas avant que tu m’aies mise en sécurité. »

Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
Ep 3, 626 et 570 ; CE 34 (trad. Une pensée, Mediaspaul 1991, p. 40)

 

 

 

 

Guérisons

mercredi 24 juillet 2013
Jésus Christ
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L’un de vous m’a demandé: « Mais comment je guérirai en ton nom? » Guérissez d’abord l’esprit. Promettez aux infirmes le Royaume de Dieu s’ils savent croire en Moi et, après avoir vu en eux la foi, commandez à la maladie de s’en aller, et elle s’en ira. Et agissez ainsi pour ceux qui ont l’esprit malade. Allumez tout d’abord la Foi. Par une parole assurée communiquez l’Espérance. Je viendrai à mon tour mettre en eux la divine Charité, comme je l’ai mise dans votre cœur après que vous avez cru en Moi et espéré en ma Miséricorde. Et n’ayez peur ni des hommes ni du démon. Ils ne vous feront pas de mal. Les seules choses que vous devez craindre, ce sont la sensualité, l’orgueil, la cupidité. Par elles, vous pourriez vous livrer à Satan et aux hommes-satans, qui existent aussi. Allez donc en me précédant sur les routes du Jourdain. Arrivés à Jérusalem, allez rejoindre les bergers dans la vallée de Bethléem, et venez me trouver avec eux à l’endroit que vous savez. Ensemble, nous célébrerons la fête sainte en revenant ensuite plus affermis que jamais à notre ministère. Allez avec la paix. Je vous bénis au Nom Saint du Seigneur.”
Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro Editoriale Valtortiano, Italie http://www.mariavaltorta.com/

 

« Tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux. »

mardi 25 juin 2013

Celui qui tue par des actes terroristes nourrit des sentiments de mépris envers l’humanité, faisant preuve de désespérance face à la vie et à l’avenir : dans cette perspective, tout peut être haï et détruit. Le terroriste pense que la vérité à laquelle il croit ou la souffrance endurée sont tellement absolues qu’il lui est légitime de réagir en détruisant même des vies humaines innocentes… La violence terroriste…est totalement contraire à la foi dans le Christ Seigneur, qui a montré à ses disciples comment prier : « Remets-nous nos dettes, comme nous les avons remises nous-mêmes à ceux qui nous devaient » (Mt 6,12)…

En réalité, le pardon est avant tout un choix personnel, une option du cœur qui va contre l’instinct spontané de rendre le mal pour le mal. Cette option trouve son élément de comparaison dans l’amour de Dieu, qui nous accueille malgré nos péchés, et son modèle suprême est le pardon du Christ qui a prié ainsi sur la croix : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font » (Lc 23,34).

Le pardon a donc une racine et une mesure divines. Mais cela n’exclut pas que l’on puisse aussi en saisir la valeur à la lumière de considérations fondées sur le bon sens humain. La première de ces considérations concerne l’expérience vécue intérieurement par tout être humain quand il commet le mal. Il se rend compte alors de sa fragilité et il désire que les autres soient indulgents avec lui. Pourquoi donc ne pas agir envers les autres comme chacun voudrait que l’on agisse envers lui-même ? Tout être humain nourrit en lui-même l’espérance de pouvoir recommencer une période de sa vie, et de ne pas demeurer à jamais prisonnier de ses erreurs et de ses fautes. Il rêve de pouvoir à nouveau lever les yeux vers l’avenir, pour découvrir qu’il a encore la possibilité de faire confiance et de s’engager.

Bienheureux Jean-Paul II (1920-2005), pape
Message pour la Journée mondiale de la Paix 2002, § 6-8 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

 

 

 

 

mardi 26 février 2013

« Plus je pense aux souffrances humaines de ce monde et à mon désir de les soulager, plus je prends conscience à quel point il est important de ne pas me laisser paralyser par des sentiments d’impuissance et de culpabilité.

Il me faut plus que jamais être fidèle à ma vocation : je suis appelé à bien faire les petites choses qui me sont confiées et à goûter la joie et la paix qu’elles m’apportent.

Je dois résister à la tentation de laisser les forces des ténèbres m’entraîner vers le désespoir et faire de moi une autre de leurs nombreuses victimes. Je dois garder mon regard fixé sur Jésus et sur ceux qui l’ont suivi, confiant que je saurai suivre pleinement ma mission : être dans le monde un signe d’espérance. »

 

Henri Nouwen in « Vivre sa foi au quotidien »

Zaïn

samedi 30 juillet 2011

Souviens-toi de la parole donnée à ton serviteur, Sur laquelle tu as fondé mon espérance.
C’est ici ma consolation dans mon affliction, Que ta parole me rende la vie.
Des orgueilleux me couvrent de railleries ; Je ne me détourne point de ta loi.
Je me souviens de tes jugements d’autrefois, Eternel, Et j’en suis consolé.
Une colère ardente me saisit à la vue des méchants, Qui abandonnent ta loi.
Tes statuts sont mes cantiques Dans la maison où je séjourne comme un passant.
Je me souviens la nuit de ton nom, ô Eternel, Et je garde ta loi.
C’est là ma part, D’observer tes commandements.

Psaume 119

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Zayin est une lettre de puissance et de discernement, le pouvoir du libre-arbitre accordant le choix de faire ou de ne pas faire. Zayin force à s’assumer, à se prendre en charge, il symbolise le combat intérieur, le choc des oppositions, le but à atteindre et la forteresse à conquérir. Il est la tension constante entretenu entre l’homme et ses valeurs.
Par sa septième place dans l’alphabet, il évoque le Chabbat.

Le nombre 7 que représente Zayin, est aussi dans la Bible :
• 7 jours de la Création
• 7 jours de la semaine
• 7 terres
• 7 mers
• 7 cieux
• 7 Palais célestes
• le jubilée après 7 fois 7 ans
• les 7 branches de la Ménorah
• 7 les Patriarches d’Israël (Abraham, Isaac, Jacob, Moïse, Aaron, Joseph, David).
Le 7 est le nombre de l’accomplissement de l’espace et du temps et de la réflexion après un cycle accompli.

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Ruisseau d’amour

mardi 29 mars 2011

Je suis votre Mère à tous, celle qui vous apporte les joies d’une mère aimante. Je fais couler devant vous le ruisseau d’amour, cette eau fraîche, cette eau qui vous lave de tous pêchés. Suivez ce ruisseau, allez jusqu’au lac, ce fameux lac où mon Fils sera pour vous recevoir, et vous bénir au travers de cette eau sacrée, l’eau de l’Espérance, celle qui apporte l’Amour et la Paix. Venez à cette cascade de l’Intelligence Divine, celle qui fera couler sur votre corps les gouttelettes de l’Amour, ces gouttes savoureuses de l’Espérance. Tout sera odoriférant, tout autour de vous ne sera qu’Amour et Paix.

Marie Mère des hommes – août 2008

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Deuxième jour

samedi 12 mars 2011

2ème jour : Saint Joseph, modèle d’espérance.


Avec Joseph, modèle d’espérance, Seigneur, nous t’en prions : laisse éclater en nous ta force et nous irons, comme Joseph, là où tu le désires, bâtir avec nos frères une cité plus humaine, et façonner le Royaume où règne ta justice.

Ô Saint Joseph, puissions-nous apprendre de toi à espérer, et que cette espérance puisse nous transformer et nous donner le goût du combat et de l’action !

Notre Père…?Je vous salue Marie…?Gloire au Père…

Ô Joseph, père virginal de Jésus, très pur époux ?de la Vierge Marie, chaque jour, prie pour nous Jésus ?lui-même, le Fils de Dieu, afin que, fortifié par sa grâce,? nous puissions lutter comme il convient dans la vie, et ?être couronnés par lui dans la mort.

Jésus, Marie, Joseph, je vous confie mon cœur et? mon âme ! ?Jésus, Marie, Joseph, assistez-moi jusqu’à mon dernier ?soupir !? Jésus, Marie, Joseph, que mon âme puisse partir en paix ?vers vous !

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Espérance

mercredi 15 décembre 2010

Mes enfants, dans l’espérance de chaque jour, soyez à l’écoute de tous, ayez un regard d’Amour envers tous, faites ceci en ayant Dieu le Père au plus profond de vous, dans chaque parcelle infime de votre corps, pour obtempérer à la volonté Divine pour l’osmose du peuple Divin.

Mes enfants, unissez-vous pour alimenter la Lumière Divine, par votre reconnaissance et votre ouverture en la Parole Divine et dans sa réalisation terrestre. Il vous faut mettre en pratique l’enseignement Divin dans l’acceptation de Sa Sainte miséricorde et de Sa reconnaissance éternelle.

Vous devez être dans l’acceptation que Dieu soit en vous afin d’insuffler en vous le chemin de la Vérité, de l’Amour et de l’Union de tous. La béatitude reste dans l’une des finalités de l’acceptation de votre assentiment en la volonté Divine. Dieu le Père ne désire vous offrir que Son Amour éternel comme le père terrestre envers son enfant.

Marie Mère des hommes – mars 2005