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Archive pour le mot-clef ‘Padre Pio’

Sacré-Coeur de Jésus, solennité

vendredi 12 juin 2015

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Le Christ révèle à sainte Marguerite-Marie Alacoque, le 27 décembre 1673, que « Mon divin Cœur est si passionné d’amour pour les hommes, et pour toi en particulier que, ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu’il les répande par ton moyen, et qu’il se manifeste à eux pour les enrichir de ses précieux trésors que je te découvre… »

En juin 1675, Il s’adresse à elle en ces termes : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu’il n’a rien épargné, jusqu’à s’épuiser et se consommer, pour leur témoigner son amour.
Je te demande que le premier vendredi d’après l’octave du Saint-Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon Cœur, en communiant ce jour là, et en lui faisant réparation d’honneur par une amende honorable, pour réparer les indignités qu’il a reçues pendant le temps qu’il a été exposé sur les autels.

Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera, pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur, et qui procureront qu’il lui soit rendu…
Fais savoir au fils ainé de mon Sacré-Cœur (le roi Louis XIV) que, comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma sainte enfance, de même il obtiendra sa naissance de gloire éternelle par sa consécration à mon Cœur adorable. Mon Cœur veut régner dans son palais, être peint sur ses étendards et gravé dans ses armes pour les rendre victorieuses de tous ses ennemis et de tous ceux de la sainte Église.

Mon Père veut se servir du roi pour l’exécution de son dessein, qui est la construction d’un édifice public où serait placé le tableau de mon Cœur pour y recevoir les hommages de toute la France »

Il faudra attendre 1870 : la guerre éclate entre la France et l’Allemagne ; la défaite militaire française ne tarde pas, suivie de l’occupation d’une partie du pays par les troupes allemandes. Alexandre Legentil, député sous Louis-Philippe, et son beau-frère, Hubert Rohault de Fleury, font vœu de construire une église consacrée au Cœur du Christ, en réparation et pénitence pour les fautes commises par les Français : « Pour faire amende honorable de nos péchés et obtenir de l’infinie miséricorde du Sacré-Cœur de Notre Seigneur Jésus-Christ le pardon de nos fautes, ainsi que les secours extraordinaires qui peuvent seuls délivrer le Souverain Pontife de sa captivité et faire cesser les malheurs de la France, nous promettons de contribuer à l’érection, à Paris, d’un sanctuaire dédié au Sacré-Cœur de Jésus. » Pendant la première guerre mondiale, en réponse à la demande adressée par sainte Marguerite Marie, en 1675, plus de douze millions de drapeaux et fanions français ornés du Sacré Cœur de Jésus furent portés par les soldats, les régiments, etc. En 1917, la République a interdit la consécration individuelle des soldats au Sacré Cœur et le port du Sacré Cœur. Dans une lettre aux pèlerins de Paray, en 1999, Jean Paul II « invite tous les fidèles à poursuivre avec piété leur dévotion au culte du Sacré-Cœur de Jésus, en l’adaptant à notre temps, pour qu’ils ne cessent d’accueillir ses insondables richesses, qu’ils y répondent avec joie en aimant Dieu et leurs frères, trouvant ainsi la paix, entrant dans une démarche de réconciliation et affermissant leur espérance de vivre un jour en plénitude auprès de Dieu, dans la compagnie de tous les saints. »

Coeur Sacre de Jesus

Neuvaine au Cœur Sacré de Jésus

Padre Pio disait chaque jour cette neuvaine pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières :

I – Ô Jésus, qui avez dit : « En vérité, je vous le dis, demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira ! » voici que je frappe, je cherche et je demande la grâce…
Pater, Ave, Gloria

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

II – Ô Jésus, qui avez dit : « En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, il vous l’accordera ! » voici qu’en votre Nom je demande la grâce…

Pater, Ave, Gloria

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

III – Ô Jésus, qui avez dit : « En vérité, je vous le dis, le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point ! » voici qu’en m’appuyant sur l’infaillibilité de vos saintes paroles je demande la grâce…

Pater, Ave, Gloria

Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

Prière – Ô Cœur Sacré de Jésus, à qui il est impossible de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres pécheurs, et accordez-nous la grâce que nous vous demandons, par l’intercession du Cœur Immaculé de Marie, notre tendre Mère.

Saint Joseph, père adoptif du Sacré-Cœur de Jésus, priez pour nous.

Salve Regina

Pour un approfondissement :

>>> La dévotion au Sacré-Cœur

 

 

 

 

St Pio de Petrelcina, prêtre o.f.m. cap. (mémoire obligatoire)

lundi 23 septembre 2013

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P

io, au siècle Francesco Forgione, naît le 25 mai 1887 à Pietrelcina, en Italie du Sud, entre Naples et Foggia (Campanie). Quatrième des sept enfants d’un couple de paysans, il entre à 16 ans chez les capucins et prend le nom de frère Pio. De santé fragile, il retourne pour de longs séjours dans son village. Ses frères capucins témoigneront que le démon venait lui rendre visite dans sa chambre. Fra Pio a alors vécu dans une « nuit obscure » qui rappelle celle des mystiques comme Jean de la Croix ou de sa contemporaine, Thérèse de Lisieux. Il confie : « Le doute qui m’assaille toujours et me persécute partout est d’ignorer si ce que je fais reçoit ou non l’approbation de Dieu. »

Ordonné prêtre le 10 août 1910, il est affecté, six ans après, au couvent de San Giovanni Rotondo, dans les Pouilles. Il y demeurera jusqu’à sa mort, le 23 septembre 1968, à 81 ans. Le rayonnement spirituel du Padre Pio a donné naissance à deux œuvres importantes : l’hôpital Casa Sollievo della Sofferenza (maison pour le soulagement de la souffrance) et les groupes de prière. Par deux fois, le Padre Pio a dû subir des mesures disciplinaires et des restrictions dans l’exercice de son ministère.

Le 20 septembre 1918, Francesco Forgione (qu’on n’appelle pas encore padre Pio) vient de dire la messe au couvent de San Giovanni Rotondo. Ce jeune capucin de 31 ans s’agenouille devant un crucifix. « Une quiétude indescriptible » s’empare de lui, racontera-t-il plus tard. Apparaît soudain un personnage mystérieux, aux mains, pieds et flanc ruisselant de sang. Puis la vision disparaît. Au sortir de ce qu’il nomme une extase, le religieux s’aperçoit alors que ses propres mains, ses pieds et son flanc saignent aussi. À la vue de ces stigmates, le calme se change en un trouble profond : le religieux tente de refermer ses plaies ; rien n’y fait ; elles ne cicatrisent pas. Jusqu’à sa mort, en 1968 – jamais cicatrisées, ses plaies disparaîtront le 20 septembre 1968, trois jours avant sa mort – padre Pio portera ce mystère avec lui. Il recouvre ses mains de mitaines pour dissimuler ses plaies ; il est soumis à une série d’examens scientifiques, ainsi qu’à un contrôle rigoureux : le Vatican suit l’affaire d’un mauvais œil. La nouvelle se propage et les médecins font un double constat, sans explication : padre Pio n’est pas un affabulateur mais rien n’explique ces plaies qui évoquent la passion du Christ. Son évêque, une partie du clergé local, des responsables du Vatican s’irritent de la renommée grandissante de ce religieux qui, vite, attire des foules. D’autant que l’on parle de guérisons et de clairvoyance spirituelle. Durant toute sa vie, il est l’objet de calomnies, de mensonges et même de plusieurs condamnations du Saint-Office. Rome, d’abord, lui interdit toute relation épistolaire puis, pendant deux ans, de confesser. En 1933, le pape Pie XI (Ambrogio Damiano Ratti, 1922-1939) le libère de ces restrictions, mais certains de ses frères capucins se liguent contre lui…

La dévotion populaire accompagne l’humble capucin. Il incarnait la simplicité franciscaine, le courage devant la souffrance, la charité envers les malades. On lui attribue, au fil des ans, de nombreuses guérisons. Parmi de multiples prodiges, il avait, dit-on, le don de la bilocation, autrement dit, d’être à la fois ici (recueilli en prière, comme absent) et là (au secours d’une âme en peine ou en danger). On frôle même l’émeute, en 1923, lorsque Rome veut empêcher le padre de célébrer la messe. Et on ira jusqu’à installer des micros dans sa cellule et son confessional ! Pressions et inquisitions romaines ne cessent que dans les années soixante, grâce au Vénérable  Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978). Toute l’Italie vénère alors le prêtre aux stigmates, qui fit construire, en 1956, à San Giovanni Rotondo, un hôpital grâce aux dons des fidèles.

On lui attribue de nombreux miracles. Dans les années soixante, alors simple évêque auxiliaire de Cracovie, Karol Wojtyla envoya à padre Pio une lettre d’intercession pour une amie polonaise gravement atteinte d’un cancer. Onze jours plus tard, elle était guérie.

Padre Pio est un peu un saint « médiéval », héritier de la tradition franciscaine, stigmatisé comme saint François, pauvre lui-même et attentif aux souffrances ; et surtout un mystique entouré de prodiges et de miracles.

L’œuvre de Padre Pio : des conversions en grand nombre, des groupes de prière (2.200 dans le monde dont 1.800 en Italie) et, depuis 1956, à San Giovanni Rotondo, une clinique pour les « esprits et les corps épuisés ». L’intuition de Padre Pio fut de faire de cette maison, la Casa Sollievo della Sofferenza, un centre d’études international et un lieu où devait être privilégié le confort des malades. Une volonté bien paradoxale de la part de celui qui avait supporté tant de souffrances et de pauvreté…

Le Bx Jean-Paul II (Karol Józef Wojty?a, 1978-2005)a donné saint Pio de Pietrelcina comme saint de la Miséricorde et modèle à imiter par tous les fidèles. Le pape a voulu que sa fête liturgique soit immédiatement inscrite au calendrier romain général – et non local – le 23 septembre, « jour de sa naissance au ciel », et en tant que « mémoire obligatoire» – et non facultative – pour l’Église universelle.

Pour un approfondissement biographique :
>>> Pio de Pietrelcina
[AllemandAnglaisEspagnolFrançaisItalien]

Sources principales :  martyretsaint.com/; vatican.va (« Rév. x gpm »).

 

 

 

 

« Sors de cet homme ! »

mardi 3 septembre 2013

Les-Tentations

Les tentations ne doivent pas t’effrayer ; par elles Dieu veut éprouver et fortifier ton âme, et il te donne en même temps la force de les vaincre. Jusqu’ici ta vie a été celle d’un enfant ; désormais le Seigneur veut te traiter en adulte. Or les épreuves de l’adulte sont bien supérieures à celles de l’enfant, et cela explique pourquoi tu es, au début, toute troublée. Mais la vie de ton âme retrouvera vite son calme, cela ne tardera pas. Aie encore un peu de patience, et tout ira pour le mieux.

Laisse donc tomber ces vaines appréhensions. Souviens-toi que ce n’est pas la suggestion du Malin qui fait la faute, mais plutôt le consentement donné à ces suggestions. Seule une volonté libre est capable de bien et de mal. Mais lorsque la volonté gémit sous l’épreuve infligée par le Tentateur, et quand elle ne veut pas ce qu’il lui propose, non seulement ce n’est pas une faute, mais c’est de la vertu.

Garde-toi de tomber dans l’agitation en luttant contre tes tentations, car cela ne ferait que les fortifier. Il faut les traiter par le mépris et ne pas t’en occuper. Tourne ta pensée vers Jésus crucifié, son corps déposé entre tes bras et dis : « Voilà mon espérance, la source de ma joie ! Je m’attache à toi de tout mon être, et je ne te lâcherai pas avant que tu m’aies mise en sécurité. »

Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
Ep 3, 626 et 570 ; CE 34 (trad. Une pensée, Mediaspaul 1991, p. 40)

 

 

 

 

« Que votre oui soit oui ! » (Jc 5,12)

samedi 15 juin 2013

Tu ne sais pas ce que l’obéissance est capable de produire : par un oui, par un seul oui — « Qu’il me soit fait selon ta parole » — Marie devient la mère du Très-Haut. Ce faisant elle se déclarait sa servante (Lc 1,38) mais gardait intacte sa virginité qui était si chère à Dieu et à ses propres yeux. Par ce oui de Marie le monde obtient le salut, l’humanité est rachetée. Alors, tâchons nous aussi de faire la volonté de Dieu et de toujours dire oui au Seigneur…

Que Marie fasse fleurir en ton âme des vertus toujours nouvelles et qu’elle veille sur toi. Elle est la mer qu’il faut traverser pour parvenir aux rivages des splendeurs de l’aurore éternelle ; reste donc toujours près d’elle…

Prends appui sur la croix du Christ, à l’exemple de Marie. Tu y trouveras un grand réconfort. Marie est restée, debout, aux pieds de son fils crucifié (Jn 19,25). Jamais Jésus ne l’a autant aimée qu’en ce moment de souffrance inexprimable.

Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
FSI 32, FM 167, Ep 3, 564 (trad. Une pensée, Médiaspaul, p. 51-52)

 

 

 

Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus

jeudi 30 mai 2013

Padre Pio disait chaque jour cette neuvaine pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières :

I – Ô Jésus, qui avez dit :  » En vérité, je vous le dis, demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira !  » voici que je frappe, je cherche et je demande à votre Père en votre nom la grâce ……
Pater, Ave, Gloria,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

II – Ô Jésus, qui avez dit :  » En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, il vous l’accordera !  » voici qu’en votre Nom je demande à votre Père en votre nom la grâce ….
Pater, Ave, Gloria,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

III – Ô Jésus, qui avez dit :  » En vérité, je vous le dis, le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point !  » voici qu’en m’appuyant sur l’infaillibilité de vos saintes paroles je demande à votre Père en votre nom la grâce …
Pater, Ave, Gloria,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

Prière – Ô Cœur Sacré de Jésus, à qui il est impossible de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres pécheurs, et accordez-nous la grâce que nous vous demandons, par l’intercession du Cœur Immaculé de Marie, votre et notre tendre Mère.
Saint Joseph, père adoptif du Sacré-Cœur de Jésus, priez pour nous.
Salve Regina

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« C’est ma paix que je vous donne. »

mardi 30 avril 2013

L’Esprit de Dieu est esprit de paix ; même lors de nos manquements les plus graves, il nous fait ressentir une douleur tranquille, humble et confiante, due précisément à sa miséricorde. Au contraire, l’esprit du mal excite, exaspère, et nous fait éprouver, lors de nos manquements, une sorte de colère contre nous ; et pourtant c’est bien envers nous-mêmes que nous devrions exercer la première des charités. Donc, quand tu es tourmentée par certaines pensées, cette agitation ne provient jamais de Dieu, mais du démon ; car Dieu étant esprit de paix, c’est la sérénité qu’il te donne.

Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
Lettre AdFP, 549 (trad. Une pensée, Mediaspaul 1991, p. 103)

 

 

 

2013

jeudi 10 janvier 2013

« Mes frères, nous n’avons encore rien fait jusqu’à maintenant : commençons donc dès aujourd’hui. »

C’est à lui-même que St François adressait cette exhortation, humblement : en ce début d’année, faisons-la nôtre. C’est vrai, nous n’avons encore rien fait, ou si peu ! Les années se sont succédé sans que nous ne nous soyons demandé ce que nous avons pu en faire ; n’y avait-il donc rien à modifier, à ajouter ou à retrancher dans notre conduite ?

Nous avons vécu avec insouciance, comme si le jour ne devait jamais venir où le Juge éternel nous rappellera à Lui, et où nous devrons rendre compte de nos actions et de ce que nous aurons fait de notre temps.

Et pourtant, c’est de chaque minute qu’il nous faudra très précisément rendre compte, de chaque grâce, de chaque inspiration de l’Esprit, de chaque occasion de faire le bien qui se sera présentée. La plus légère transgression de la Loi divine sera prise en considération !

Padre Pio da Pietrelcina, Tempo natalizio

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Bulletin n°45

mardi 20 mars 2012

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Message du 15 mars 2012

Neuvaine au Padre Pio

mardi 20 mars 2012

Toi, qui as touché la sensibilité et la réflexion humaines par ton chemin de croix terrestre, adresse à notre Père Céleste les suppliques de ses serviteurs aveuglés et sourds à la passion du Fils Notre Seigneur. Que le sang qui fut versé par ton corps serve à notre éducation et notre évolution pour la gloire de Marie Mère des hommes et pour que sa Demeure soit le dôme de la nouvelle chrétienté. Par ton intercession, permets que nous soyons emplis d’Amour et de Paix, et que soit libéré de nos cœurs l’ostracisme séculier. Fais que dans tout notre être circule la douce chaleur de la compréhension pascale. Que notre cause soit entendue et sanctifiée par votre intercession et permette l’affranchissement de ce monde au saint enseignement de la Parole Divine ; qu’elle soit entendue et vécue par les serviteurs de Dieu pour la réalisation de la Maison Mariale.

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Neuvaine au Sacré Coeur de Jésus

jeudi 23 juin 2011

Padre Pio disait chaque jour cette neuvaine pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières :

I – Ô Jésus, qui avez dit :  » En vérité, je vous le dis, demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira !  » voici que je frappe, je cherche et je demande à votre Père en votre nom la grâce ……
Pater, Ave, Gloria,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

II – Ô Jésus, qui avez dit :  » En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, il vous l’accordera !  » voici qu’en votre Nom je demande à votre Père en votre nom la grâce ….
Pater, Ave, Gloria,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

III – Ô Jésus, qui avez dit :  » En vérité, je vous le dis, le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point !  » voici qu’en m’appuyant sur l’infaillibilité de vos saintes paroles je demande à votre Père en votre nom la grâce …
Pater, Ave, Gloria,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance et j’espère en vous.

Prière – Ô Cœur Sacré de Jésus, à qui il est impossible de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres pécheurs, et accordez-nous la grâce que nous vous demandons, par l’intercession du Cœur Immaculé de Marie, votre et notre tendre Mère.
Saint Joseph, père adoptif du Sacré-Cœur de Jésus, priez pour nous.
Salve Regina

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