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Archive pour le mot-clef ‘larmes’

Les larmes et le désir

samedi 10 mars 2018

Ô âme qui pleurez vos péchés, craignez les jugements divins, qui sont un abîme profond. Craignez, dis-je, craignez vivement, bien que vous soyez déjà quelque peu pénitente, de déplaire encore à Dieu. Craignez plus encore, même maintenant, d’offenser Dieu à nouveau. Craignez par dessus tout d’être finalement séparée de Dieu, privée pour toujours de lumière, toujours brûlée par le feu et rongée par le ver qui ne périra point. Craignez tout cela, si une pénitence vraie ne vous obtient de mourir dans la grâce finale, et chantez avec le Prophète : « Transpercez ma chair par votre crainte. Je redoute vos jugements. » (Cf. Ps 118, 120)

Néanmoins, désirez les dons célestes. Élevez-vous par la flamme du divin amour jusqu’en Dieu, qui vous a si patiemment supportée dans le péché, vous a attendue avec tant de longanimité, et ramenée à la pénitence avec tant de miséricorde, par le pardon, l’infusion de la grâce et la promesse de la couronne éternelle. Il vous demande seulement de Lui offrir, ou plutôt de recevoir de Lui-même pour le Lui offrir, « le sacrifice d’un esprit accablé, d’un cœur contrit et humilié » (Ps 50, 19) par une amère componction, par une confession sincère et une juste satisfaction.

Désirez avec ardeur que Dieu vous prouve son amour par une large communication du Saint-Esprit. Désirez avec plus d’ardeur de Lui être conforme par une fidèle imitation de Jésus crucifié. Mais, par-dessus tout, désirez de posséder Dieu dans la claire vision du Père Éternel afin que, en toute vérité, vous puissiez chanter avec le prophète : « Mon âme a soif du Dieu fort et vivant ; quand viendrai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu ? » (Ps 41, 3)

Saint Bonaventure (1221-1274), franciscain, docteur de l’Église
Du gouvernement de l’âme (Œuvres spirituelles de Saint Bonaventure, tome II, De la vie parfaite, Société S. François d’Assise, Paris, 1931) (rev.)

 

 

 

Citation

mercredi 30 mars 2016

CitationMMDHavril99

Mes enfants, mes mots ne se tariront jamais ; que votre foi en soit ainsi pour l’avenir de l’humanité.

Si mes larmes étaient un océan, vous seriez immergés. Mon amour est un îlot de verdure et de bonté, venez vous reposer et prier pour mon Fils à l’ombre de mon amour.

Mes enfants, merci de me lire. Mais priez, priez, priez pour l’humanité. Je ne suis que la servante du Seigneur pour que règne l’Amour entre les hommes. Ecoutez dans le monde entier, car ma parole est unique et glorieuse
.

Merci.

Marie Mère des hommes – avril 1999

 

 

 

Carême 2016 – jour 28

samedi 12 mars 2016

Marie

Mes enfants, je suis là pour que votre chemin soit soulagé des embûches des hommes, confiez-vous à moi et je vous guiderai toujours plus profondément dans le Tabernacle de l’Amour Divin. Ne soyez plus sourds et aveugles à côté de vos frères, mais venez au contraire les soulager et les guider vers mon Eglise où je les présenterai à mon Fils pour l’éternité. Mes enfants, le temps manque, mais les signes arrivent, sachez les percevoir et en rendre grâce au Père Eternel. Mes enfants, priez, priez, priez, les temps sont comptés où beaucoup disparaîtront sans connaître l’Amour du Père. Suivez l’enseignement de mon Fils et faites-en profiter tous ceux qui attendent de connaître.
Mes enfants, je suis Marie Mère des hommes et je vous demande de soutenir mon Fils en ces temps par la prière et le recueillement.
Les plaies de mon Fils se sont réouvertes, Son Cœur saigne et mes larmes sont de sang. Dieu le Père en ce message vous accorde Sa Bénédiction : « Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. »

Je vous remercie de me lire et de venir me connaître pour aider les hommes.

Mars 1997

 

 

Citation

mercredi 4 mars 2015

Citation

« Ta foi t’a sauvée. Va en paix ! »

dimanche 16 juin 2013

« Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades » (Mt 9,12). Montre donc au médecin ta blessure, de façon à pouvoir être guéri. Même si tu ne la montres pas, il la connaît, mais il exige de toi que tu lui fasses entendre ta voix. Nettoie tes plaies avec tes larmes. C’est ainsi que cette femme dont parle l’Évangile s’est débarrassée de son péché et de la mauvaise odeur de son égarement ; c’est ainsi qu’elle s’est purifiée de sa faute, en lavant les pieds de Jésus avec ses larmes.

Puisses-tu me réserver à moi aussi, Jésus, le soin de laver tes pieds, que tu as salis tandis que tu marchais en moi !… Mais où trouverai-je l’eau vive avec laquelle je pourrai laver tes pieds ? Si je n’ai pas d’eau, j’ai mes larmes. Fais qu’en lavant tes pieds avec elles, je puisse me purifier moi-même ! Comment faire en sorte que tu dises de moi : « Ses nombreux péchés lui sont remis, parce qu’il a beaucoup aimé » ? J’avoue que ma dette est considérable et qu’il m’a été « remis davantage », à moi qui ai été arraché au bruit des querelles de la place publique et aux responsabilités du gouvernement pour être appelé au sacerdoce. Je crains, par conséquent, d’être considéré comme un ingrat si j’aime moins, alors qu’il m’a été remis davantage.

Je ne peux pas comparer à n’importe qui cette femme qui, à juste titre, a été préférée au pharisien Simon qui recevait le Seigneur à déjeuner. Cependant, à tous ceux qui veulent mériter le pardon, elle dispense un enseignement en baisant les pieds du Christ, en les lavant avec ses larmes, en les essuyant avec ses cheveux, en les oignant avec du parfum… Si nous ne pouvons pas l’égaler, le Seigneur Jésus sait venir en aide aux faibles. Là où il n’y a personne qui sache préparer un repas, amener du parfum, apporter avec soi une fontaine d’eau vive (Jn 4,10), il vient lui-même.

Saint Ambroise (v. 340-397), évêque de Milan et docteur de l’Église
La Pénitence, II, 8 ; SC 179 (trad. SC p. 175)

 

 

 

Nouvelle Jérusalem

samedi 6 novembre 2010

Vous êtes mes enfants chéris, avec tous ceux qui viendront, avec tous ceux qui vous soutiendront. Vous êtes mes enfants. Je vous donne mon amour au travers de mes mains. Que mes larmes humidifient le chemin pour éviter de blesser vos pieds.

Mes enfants, je donne et je donnerai. Soyez humbles et aimants. Soyez humbles et soyez surtout les protagonistes de la Nouvelle Jérusalem, du nouveau pays d’Amour et de Paix, là où vous serez dans le bonheur et l’intégrité de la vraie vérité. Ne vous occupez pas des débats qui se feront autour de vous. Plus il y aura de débats autour de vous et plus vous avancerez. Soyez dignes d’être humains et proches de la Trinité.

Marie Mère des hommes – septembre 2009

à vos côtés

vendredi 16 avril 2010

« Je suis à vos côtés dans l’amertume de votre évolution, mais je suis surtout à vos côtés dans l’Amour d’autrui. Mon cœur est en vous et je répands sur cette terre un flot toujours plus ardent  de larmes afin de sauvegarder le Sacrifice de mon Fils, donc celui des hommes. Vous êtes aussi mes fils, et par cela, j’accède à la Volonté Divine afin de consacrer l’éternité à l’élaboration de l’homme empli d’Amour et de Paix, tout ceci dans le tabernacle du Père Céleste. »

Marie Mère des hommes – octobre 1994