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Archive pour le mot-clef ‘Trinité’

« C’est votre intérêt que je parte ; car si je ne pars pas, le Paraclet ne viendra pas vers vous. »

mardi 7 mai 2013

Qui es-tu, douce lumière qui me combles
et illumines la ténèbre de mon cœur ?…
Es-tu le Maître d’œuvre,
le bâtisseur de la cathédrale éternelle
qui depuis la terre s’élève jusqu’au Ciel ?
Tu donnes vie à ses colonnes, qui se dressent,
hautes et droites, solides et immuables (Ap 3,12).
Marquées du signe du Nom divin et éternel,
elles s’élancent vers la lumière et portent la coupole
qui achève et couronne la sainte cathédrale,
ton œuvre qui embrasse l’univers entier :
Saint Esprit, Main de Dieu créatrice !…

Es-tu le doux cantique de l’amour
et du respect sacré qui retentit sans fin
autour du trône de la Trinité sainte (Ap 4,8),
symphonie où résonne
la note pure donnée par chaque créature ?
Le son harmonieux,
l’accord unanime des membres et de la Tête (Col 2,19),
dans lequel chacun au comble de la joie
découvre le sens mystérieux de son être
et le laisse jaillir en cri de jubilation,
rendu libre
en participant à ton propre jaillissement :
Saint Esprit, jubilation éternelle !

Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix [Édith Stein] (1891-1942), carmélite, martyre, copatronne de l’Europe
Poésie Pentecôte 1937 (trad. Malgré la nuit, Ad solem 2002, p. 125)

 

 

« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur.»

jeudi 7 juin 2012

Aimons tous le Seigneur de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit, de tout notre pouvoir et courage, de toute notre intelligence, de toutes nos forces, de tout notre effort, de toute notre affection, de toutes nos entrailles, de tous nos désirs, de toutes nos volontés. Il nous a donné et nous donne à tous le corps, l’âme et la vie ; il nous a créés et rachetés ; il nous sauvera par sa seule miséricorde. Malgré nos faiblesses et nos misères, notre corruption et notre honte, notre ingratitude et notre méchanceté, il ne nous a fait et ne nous fait que du bien.
N’ayons donc d’autre désir, d’autre volonté, d’autre plaisir et d’autre joie que notre Créateur, Rédempteur et Sauveur : le seul vrai Dieu, qui est le bien plénier, entier, total, vrai et souverain. Lui seul est bon, miséricordieux et aimable, suave et doux ; lui seul est saint, juste, vrai et droit ; lui seul est bienveillant, innocent et pur…

Désormais donc, plus d’obstacle, plus de barrière, plus d’écran ! Partout, en tout lieu, à toute heure et en tout temps, chaque jour et sans discontinuer, tous, croyons d’une foi humble et vraie, gardons dans notre cœur, sachons aimer, honorer, adorer, servir, louer et bénir, glorifier et célébrer, magnifier et remercier le très haut souverain Dieu éternel : Trinité et unité ; Père, Fils et Saint Esprit ; Créateur de toutes choses, Sauveur de tous ceux qui mettent en lui leur foi, leur espérance et leur amour ; lui qui est sans commencement ni fin ; immuable, invisible, inexprimable…, béni, louable, glorieux et célébré…, doux, aimable, délectable, et désirable plus que tout autre bien dans ce monde et dans le monde à venir. Amen.

Saint François d’Assise (1182-1226), fondateur des Frères mineurs
Première règle, § 23 (trad. Desbonnets et Vorreux, Documents, p. 80)

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Saint Sacrement

jeudi 23 juin 2011

La solennité du Saint Sacrement est célébrée en principe le jeudi suivant la fête de la Trinité (soixante jours après Pâques). En France, ce jour n’étant pas férié, elle est reportée au dimanche. Longtemps connue sous le nom de Fête-Dieu, cette solennité veut célébrer le don que fit le Christ de son Corps et de son Sang pour le salut du monde. Elle fut officiellement introduite dans la liturgie par le pape Urbain IV en 1264. Il s’agissait alors d’affirmer de manière solennelle la présence du Christ dans le pain et le vin, contre l’hérésie cathare qui la niait.

 

La charge de la Parole et le souci avec lequel nous vous avons engendrés pour que le Christ soit formé en vous nous poussent à vous dire ce que signifie ce sacrement si grand et si divin, ce remède si célèbre et si noble, ce sacrifice si pur et si facile : ce n’est plus dans une seule cité terrestre, Jérusalem, ni dans le tabernacle qui a été fait par Moïse, ni dans le Temple qui a été construit par Salomon – tout cela n’était que l’ombre des réalités à venir – mais c’est du lever du soleil jusqu’au couchant, comme l’ont prédit les Prophètes, qu’on immole et qu’on offre à Dieu cette victime de louanges selon la grâce du Nouveau Testament.

On ne va plus chercher dans les troupeaux une victime sanglante, on n’approche plus de l’autel de Dieu une brebis ou un bouc, mais, désormais, le sacrifice de notre temps, c’est le corps et le sang du prêtre lui-même. C’est de ce prêtre qu’il a été prédit dans le psaume : « Tu es prêtre à jamais selon l’ordre de Melchisédech. » Or, nous lisons dans la Genèse et nous tenons que Melchisédech, prêtre du Très-Haut, présenta du pain et du vin quand il bénit notre père Abraham. […]

Recevez donc et mangez le corps du Christ, puisque dans le corps du Christ vous êtes devenus maintenant les membres du Christ. Recevez et buvez le sang du Christ. Pour ne pas vous laisser disperser, mangez celui qui est votre lien ; pour ne pas paraître sans valeur à vos yeux, buvez celui qui est le prix dont vous avez été payé.

Quand vous mangez cette nourriture et buvez cette boisson, elles se changent en vous ; ainsi vous aussi vous êtes changés au corps du Christ si vous vivez dans l’obéissance et la ferveur. Si vous avez la vie en lui, vous serez une chair avec lui. Car ce sacrement ne vous présente pas le corps du Christ pour vous séparer de lui. L’Apôtre nous rappelle que ceci a été prédit dans la Sainte Écriture : « Ils seront deux en une seule chair. »

Ailleurs, il dit à propos de l’eucharistie elle-même : « Nous sommes un seul pain, un seul corps, si nombreux que nous soyons. » Vous commencez donc à recevoir ce que vous avez commencé d’être.

Extrait d’un sermon de saint Augustin († 430).

 

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Message de Jésus

lundi 6 juin 2011

« Mes Frères, je viens en deux ou trois paroles vous exprimer que Mon Sacrifice sans regret pour ce monde est la sauvegarde de ceux qui M’aiment, et de ceux qui aiment la Trinité et Ma Mère. Je vous accorde aussi tout Mon Amour de Frère. Je ne vous apporte pas la peur ni l’angoisse, bien au contraire. Je veux qu’au travers de vos prières vous pensiez fortement que Ma Mère aimante comme toutes les mères qui sont autour de vous savent ce qu’est préserver, sauvegarder son enfant. Alors, elle vous sauvegardera au travers des péripéties de la terre. Des visions vous seront données, et déjà ont été données. Elles vous seront données au fur et à mesure. Mes Frères, je vous demande la prière, mais surtout priez Ma Mère. (Vision : A l’heure actuelle, Marie écarte son manteau. Elle est située au dessus de sa Maison, le manteau bleu grand écarté. Elle enveloppe toute la Maison. C’est son lieu, rien ni personne ne lui enlèvera.) Mes Frères Je vous bénis : « Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen. » Retenez de tout ceci qu’il n’y a qu’Amour et Paix et que vous êtes liés à votre Père, à votre Frère, à votre Mère par l’Amour et la Paix. Mes enfants, Je vous accompagne, mes Frères Je vous quitte. »

Jésus de Nazareth – mai 2011

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Dessin de la vierge de Jude Potvin.

http://michaeljournal.org/juvdm/caricatures-cs/page-06.html


Devenir

jeudi 2 décembre 2010

Mes enfants,

Je vous demande en ces jours la plus grande réflexion au travers de la contemplation sur le devenir de votre terre.

Mes enfants, les réactions se font de plus en plus rares pour contrecarrer le malin qui a la main mise sur les gouvernements et la multitude de groupements mafieux. Il faut, mes enfants, prier avec conviction et pleine sérénité avec la Trinité afin de freiner les ravages au travers de ce monde et alimentés par le malin. Il faut prier pour les conversions au travers de ce monde, ceci afin que le mal soit dégagé des esprits de bien des enfants de Dieu le Père.

Marie Mère des hommes – novembre 2010

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Nouvelle Jérusalem

samedi 6 novembre 2010

Vous êtes mes enfants chéris, avec tous ceux qui viendront, avec tous ceux qui vous soutiendront. Vous êtes mes enfants. Je vous donne mon amour au travers de mes mains. Que mes larmes humidifient le chemin pour éviter de blesser vos pieds.

Mes enfants, je donne et je donnerai. Soyez humbles et aimants. Soyez humbles et soyez surtout les protagonistes de la Nouvelle Jérusalem, du nouveau pays d’Amour et de Paix, là où vous serez dans le bonheur et l’intégrité de la vraie vérité. Ne vous occupez pas des débats qui se feront autour de vous. Plus il y aura de débats autour de vous et plus vous avancerez. Soyez dignes d’être humains et proches de la Trinité.

Marie Mère des hommes – septembre 2009

Union

jeudi 8 juillet 2010

Mes enfants, les temps sont à la reconstruction et à l’unification des peuples et, en ce point, votre Seigneur va pourvoir et stigmatiser l’immobilisme des hommes. Mon Fils désire et agit à l’embrasement par l’Amour et la Paix à l’universalisation de l’entente des hommes. Par cet acte vous êtes tous choisis pour œuvrer dans cette direction et apporter votre obole en la réussite finale. Mes enfants, la prière est votre lien étroit avec la Trinité et vous permet de demander les grâces pour que cette union mondiale se réalise et jaillisse aux yeux de tous. Il n’est point de doute, ni de recul à avoir dans l’immensité de l’Amour Divin, seuls votre confiance et le don de vous-même ouvriront les portes de la connaissance du chemin à suivre.

Marie Mère des hommes – août 2006

Domina Magistra Mater

mercredi 24 février 2010

« Comme la fleur a besoin de l’eau et du soleil pour s’épanouir, vous, vous avez besoin de l’enseignement et de l’Amour de mon Fils. Venez vers mon Fils par la contemplation et l’amour. Vous devez apprendre à vous aimer comme fils de Dieu et comme frères de mon Fils.

Votre vie est humaine, soumise au matérialisme et aux tentations du Malin. Ce n’est que dans l’écoute et en vous laissant guider par l’Esprit Saint que vous accomplirez votre osmose avec mon Fils. Parlez à mon Fils en chaque jour, demandez-Lui Sa Miséricorde et Son Aide et Il emplira votre cœur d’amour et de tendresse afin de vous soulager sur le chemin de la Vérité. »

Marie Mère des hommes – mai 2005

La Sainte Trinité

samedi 6 juin 2009

triniteSaint Matthieu 28, 16-20

« Au temps de Pâques, les onze disciples s’en allèrent en Galilée, à la montagne où Jésus leur avait ordonné de se rendre. Quand ils le virent, ils se prosternèrent, mais certains eurent des doutes. Jésus s’approcha d’eux et leur adressa ces paroles : « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc ! De toutes les nations faites des disciples, baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit ; et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. »

Priez, Priez, Priez

lundi 9 mars 2009

oiseau

Le fait que la Sainte Vierge dise « Priez, priez, priez » signifie l’insistance à le vivre.
On peut aussi y associer une tradition écclésiale du chiffre 3
qui représente la Trinité, « Au nom du Père, du Fils et Saint-Esprit. »
La Parole nous dit aussi « Priez sans cesse », ce qui signifie tout faire et
tout dire en partant de Dieu et le regard fixé sur Lui.

En communion de prière fraternelle pour un Saint Carême!