ACCUEIL

Archive pour le mot-clef ‘Amour divin’

« Père, ceux que tu m’as donnés, je veux que là où je suis, eux aussi soient avec moi. »

jeudi 5 juin 2014

jesusgloire

Je voudrais pouvoir vous dire, ô mon Dieu : « Je vous ai glorifié sur la terre ; j’ai accompli l’œuvre que vous m’avez donnée à faire ; j’ai fait connaître votre nom à ceux que vous m’avez donnés… Mon Père, je souhaite qu’où je serai, ceux que vous m’avez donnés y soient avec moi, et que le monde connaisse que vous les avez aimés comme vous m’avez aimée moi-même » (Jn 17,4s). Oui, Seigneur, voilà ce que je voudrais répéter après vous, avant de m’envoler en vos bras. C’est peut-être de la témérité ? Mais non, depuis longtemps vous m’avez permis d’être audacieuse avec vous. Comme le père de l’enfant prodigue parlant à son fils aîné, vous m’avez dit : « Tout ce qui est à moi est à toi » (Lc 15,31). Vos paroles, ô Jésus, sont donc à moi et je puis m’en servir pour attirer sur les âmes qui me sont unies les faveurs du Père Céleste…

Votre amour m’a prévenue dès mon enfance, il a grandi avec moi, et maintenant c’est un abîme dont je ne puis sonder la profondeur. L’amour attire l’amour ; aussi, mon Jésus, le mien s’élance vers vous, il voudrait combler l’abîme qui l’attire, mais hélas, ce n’est pas même une goutte de rosée perdue dans l’océan ! Pour vous aimer comme vous m’aimez, il me faut emprunter votre propre amour, alors seulement je trouve le repos. Ô mon Jésus, c’est peut-être une illusion, mais il me semble que vous ne pouvez combler une âme de plus d’amour que vous n’en avez comblé la mienne ; c’est pour cela que j’ose vous demander d’aimer ceux que vous m’avez donnés comme vous m’avez aimée moi-même. Un jour, au ciel, si je découvre que vous les aimez plus que moi, je m’en réjouirai, reconnaissant dès maintenant que ces âmes méritent votre amour bien plus que la mienne ; mais ici-bas, je ne puis concevoir une plus grande immensité d’amour que celle qu’il vous a plu de me prodiguer gratuitement sans aucun mérite de ma part.

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus (1873-1897), carmélite, docteur de l’Église
Manuscrit autobiographique C, 34-35

 

 

 

« Ses péchés, ses nombreux péchés sont pardonnés »

jeudi 19 septembre 2013

bienheureux-jean-paul-2-227x300Parce que le péché existe dans ce monde que « Dieu a tant aimé qu’il a donné son Fils unique » (Jn 3,16), Dieu qui « est amour » (1Jn 4,8) ne peut se révéler autrement que comme miséricorde. Cela correspond non seulement à la vérité la plus profonde de cet amour qu’est Dieu, mais aussi à la vérité intérieure de l’homme et du monde qui est sa patrie temporaire… C’est pourquoi l’Église annonce la conversion et y appelle. La conversion à Dieu consiste toujours dans la découverte de sa miséricorde, c’est-à-dire de cet amour « patient et doux » (cf 1Co 13,4)…, l’amour auquel « le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ » (2Co 1,3) est fidèle jusqu’à ses conséquences extrêmes dans l’histoire de l’alliance avec l’homme : jusqu’à la croix, la mort et la résurrection de son Fils. La conversion à Dieu est toujours le fruit du retour au Père « riche en miséricorde » (Ep 2,4).

La connaissance authentique du Dieu de la miséricorde, Dieu de l’amour bienveillant, est une force de conversion constante et inépuisable, non seulement comme acte intérieur d’un instant, mais aussi comme disposition permanente, comme état d’âme. Ceux qui arrivent à connaître Dieu ainsi, ceux qui le voient ainsi, ne peuvent pas vivre autrement qu’en se convertissant à lui continuellement. Ils vivent donc « en état de conversion » ; et c’est cet état qui constitue la composante la plus profonde du pèlerinage de tout homme sur la terre « en état de cheminement ».

Il est évident que l’Église professe la miséricorde de Dieu révélée dans le Christ crucifié et ressuscité non seulement par les paroles de son enseignement, mais surtout par la pulsation la plus intense de la vie de tout le peuple de Dieu. Grâce à ce témoignage de vie, l’Église accomplit sa mission propre de Peuple de Dieu, mission qui participe à la mission messianique du Christ lui-même et qui, en un certain sens, la continue.

Bienheureux Jean-Paul II (1920-2005), pape
Encyclique « Dives in Misericordia » § 13 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

 

 

 

 

« Et il aura en héritage la vie éternelle. »

mardi 20 août 2013

lumière divine

Le Christ est notre voie (Jn 14,6). Il nous conduit avec sécurité dans ses préceptes ; dans son corps il nous porte au ciel avec puissance. J’ai vu qu’ayant en lui nous tous qu’il sauvera, avec dévotion il fait don de nous à son Père céleste, don que le Père reçoit avec une grande reconnaissance et qu’il remet courtoisement à son Fils Jésus Christ. Ce don et ce geste sont joie pour le Père, félicité pour le Fils et réjouissance pour le Saint Esprit. Parmi tout ce que nous pouvons faire, il n’est rien qui soit plus agréable à notre Seigneur que de nous voir nous réjouir en cette joie qu’a la Trinité pour notre salut…

Quoi que nous ressentions — joie ou tristesse, fortune ou infortune — Dieu veut que nous comprenions et croyions que nous sommes plus véritablement au ciel que sur terre. Notre foi vient de l’amour naturel que Dieu a déposé dans notre âme, de la claire lumière de notre raison et de l’intelligence inébranlable que nous recevons de Dieu, depuis le premier instant où nous avons été créés. Lorsque notre âme est insufflée dans notre corps rendu sensible, la miséricorde et la grâce commencent leur œuvre en prenant soin de nous et en nous gardant avec pitié et amour. Par cette opération le Saint Esprit forme en notre foi l’espérance de retourner à notre substance supérieure, à la puissance du Christ, développée et amenée à sa plénitude par le Saint Esprit… Car à l’instant même où notre âme est créée sensible, elle devient la cité de Dieu, préparée pour lui de toute éternité (He 11,16; Ap 21,2-3). Dans cette cité il vient ; jamais il ne la quittera, car jamais Dieu n’est hors de l’âme ; il y demeurera dans la béatitude à tout jamais.

Julienne de Norwich (1342-après 1416), recluse anglaise
Révélations de l’amour divin, ch. 55

 

 

Amour Divin

samedi 6 juillet 2013

2551_Calice_HostiaMes enfants, priez en ces temps, pour soulager les blessures de mon Fils, que Son Sang ne se déverse pas sans que vous ne l’ayez bu, pour qu’Il inonde votre cœur de la très grande force d’Amour et de Paix que Jésus répand sur vous. C’est Son Corps et Son Sang qu’il vous tend chaque jour pour vous éveiller et vous attacher à Son Père pour l’éternité.

Soyez heureux et remerciant, mes enfants, qu’autrui bénéficie de votre gratitude et de votre Amour et Paix. Merci, mes enfants, de prier en chaque jour, dans votre attitude, vos gestes, votre parler, car tout votre être et ce qui s’en dégage doit être ressemblance à l’Amour Divin.

Marie Mère des hommes – février 2007

 

 

 

 

Première lettre de saint Jean 4,7-10.

mardi 8 janvier 2013

es bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu. Tous ceux qui aiment sont enfants de Dieu, et ils connaissent Dieu.
Celui qui n’aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est amour.
Voici comment Dieu a manifesté son amour parmi nous : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde pour que nous vivions par lui.
Voici à quoi se reconnaît l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés, et il a envoyé son Fils qui est la victime offerte pour nos péchés.

.

.

Unification

lundi 13 août 2012

 

 

 

Mes enfants, je vous remercie d’être à l’écoute de votre Seigneur et de prendre part à l’évolution du peuple de Dieu le Père.

Mes enfants, les temps sont à la reconstruction et à l’unification des peuples et, en ce point, votre Seigneur va pourvoir et stigmatiser l’immobilisme des hommes. Mon Fils désire et agit à l’embrasement par l’Amour et la Paix à l’universalisation de l’entente des hommes. Par cet acte vous êtes tous choisis pour œuvrer dans cette direction et apporter votre obole en la réussite finale. Mes enfants, la prière est votre lien étroit avec la Trinité et vous permet de demander les grâces pour que cette union mondiale se réalise et jaillisse aux yeux de tous. Il n’est point de doute, ni de recul à avoir dans l’immensité de l’Amour Divin, seuls votre confiance et le don de vous-même ouvriront les portes de la connaissance du chemin à suivre.

Marie Mère des hommes – août 2006

.

.

Enseigner par Marie

vendredi 25 mai 2012
.
.
.
.
Le retour de Jésus en gloire
sera précédé d’un temps de Pentecôte,
d’un temps de l’Esprit-Saint et de Marie.
Comme Dieu s’est fait homme par Marie,
c’est aussi par elle
qu’Il achèvera son oeuvre.
Des apôtres se lèveront,
formés par Marie,
assidus à son enseignement.
Comme un feu brûlant
ils enflammeront le monde
de l’Amour Divin.
.
Saint Louis-Marie de Montfort
1673-1716
.

4ème DIMANCHE DE CAREME

dimanche 18 mars 2012

Le courage de la vérité

Sûrs de l’amour indéfectible de Dieu pour l’humanité et pour chacune et chacun d’entre nous, nous sommes appelés à entrer dans la foi. Nous irons vers la vie et la lumière et nous pourrons faire la vérité.

2 Chroniques 36, 14-16.19-23

Psaume 136 (137)

Éphésien 2, 4-10

Jean 3, 14-21

.

.

.

Enseigner par Marie

jeudi 16 juin 2011
.
.
.
.
Le retour de Jésus en gloire
sera précédé d’un temps de Pentecôte,
d’un temps de l’Esprit-Saint et de Marie.
Comme Dieu s’est fait homme par Marie,
c’est aussi par elle
qu’Il achèvera son oeuvre.
Des apôtres se lèveront,
formés par Marie,
assidus à son enseignement.
Comme un feu brûlant
ils enflammeront le monde
de l’Amour Divin.
.
Saint Louis-Marie de Montfort
1673-1716
.