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Archive pour le mot-clef ‘mal’

D’où viennent les puissance ennemies ?

vendredi 13 octobre 2023

D’où vient une si grande variété et cette diversité de puissances ennemies, dressées contre l’homme, que le bienheureux Apôtre énumère comme il suit : « Nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les chefs de ce monde de ténèbres, contre les esprits de malice répandus dans l’air » (Eph 6,12) (…). D’où ont surgi pour nous ces adversaires jaloux et d’une si grande malice ? Faut-il croire que le Seigneur ait créé ces puissances, à dessein précisément qu’elles fissent la guerre aux hommes, avec cette diversité dans la dignité et le rang ? (…)

Dieu nous garde de professer jamais qu’il ait rien créé de substantiellement mauvais, lorsque l’Écriture nous dit : « Tout ce que Dieu avait fait était très bon ! » (Gn 1,31) (…) Avant qu’il fondât le monde visible, Dieu fit les vertus spirituelles et célestes, afin que, connaissant qu’elles avaient été produites de rien pour une telle gloire et béatitude par un pur bienfait du créateur, elles lui en rendissent de perpétuelles action de grâces et fussent adonnées sans cesse à le louer. Ceci ne fait doute pour personne parmi les chrétiens. (…)

De leur nombre plusieurs tombèrent qui avaient tenu les premiers rangs : (…) « Cependant, vous mourrez comme de hommes, et vous tomberez comme l’un des princes » (Ps 81(82),7). (…) La jalousie du démon, qui le poussa à tromper l’homme par ses artifices, a sa cause dans sa chute : il voyait appelé à la gloire qui avait été la sienne, lorsqu’il il était l’un des princes, et dont il se souvenait d’être déchu, l’homme qui venait d’être formé du limon de la terre. Sa première faute a donc été une faute d’orgueil, et c’est elle qui lui a valu sa déchéance et le nom de serpent.

Saint Jean Cassien (v. 360-435)

« Esprit mauvais, sors de cet homme ! »

lundi 1 février 2021

Le fait du pouvoir du mal dans le cœur humain et dans l’histoire humaine est indéniable. La question est : comment ce mal s’explique-t-il ? (…) La foi nous dit : il existe deux mystères de lumière et un mystère de nuit, lequel est toutefois enveloppé par les mystères de lumière. Le premier mystère de lumière est celui-ci : la foi nous dit qu’il n’y a pas deux principes, un bon et un mauvais, mais un seul principe, le Dieu créateur, et ce principe est bon, seulement bon, sans ombre de mal. C’est pourquoi l’être non plus n’est pas un mélange de bien et de mal : l’être comme tel est bon, et donc il est bon d’être, il est bon de vivre. Telle est l’heureuse annonce de la foi : il n’y a qu’une source, bonne, le Créateur. (…)

S’ensuit un mystère d’obscurité, de nuit. Le mal ne vient pas de la source de l’être lui-même, il n’est pas également originel. Le mal vient d’une liberté créée, d’une liberté dont on a abusé. Comment cela a-t-il été possible ? Comment est-ce arrivé ? Cela demeure obscur. Le mal n’est pas logique. Seul Dieu et le bien sont logiques, sont lumière. Le mal demeure mystérieux. (…) Nous pouvons deviner, pas expliquer ; nous ne pouvons pas même le raconter comme un fait détaché d’un autre, parce qu’il s’agit d’une réalité plus profonde. Cela demeure un mystère d’obscurité, de nuit.

Mais un mystère de lumière vient immédiatement s’y ajouter. Le mal vient d’une source subordonnée. Dieu avec sa lumière est plus fort. Et c’est pourquoi le mal peut-être surmonté. C’est pourquoi, la créature, l’homme, peut être guéri. (…) Et enfin, dernier point, l’homme non seulement peut être guéri, mais il est guéri de fait. Dieu a introduit la guérison. Il est entré en personne dans l’histoire. À la source constante du mal il a opposé une source de bien pur. Le Christ crucifié et ressuscité, nouvel Adam, oppose au fleuve sale du mal un fleuve de lumière. Et ce fleuve est présent dans l’histoire : nous voyons les saints, les grands saints mais aussi les humbles saints, les simples fidèles. Nous voyons que le fleuve de lumière qui vient du Christ est présent, il est fort.

Benoît XVI

 

 

« Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur. »

jeudi 3 septembre 2020

Les anges et les hommes, créatures intelligentes et libres, doivent cheminer vers leur destinée ultime par choix libre et amour de préférence. Ils peuvent donc se dévoyer. En fait, ils ont péché. C’est ainsi que le mal moral est entré dans le monde, sans commune mesure plus grave que le mal physique. Dieu n’est en aucune façon, ni directement ni indirectement, la cause du mal moral. Il le permet cependant, respectant la liberté de sa créature, et mystérieusement il sait en tirer le bien. « Car le Dieu tout-puissant (…) puisqu’il est souverainement bon, ne laisserait jamais un mal quelconque exister dans ses œuvres s’il n’était assez puissant et bon pour faire sortir le bien du mal lui-même » (S. Augustin).

Ainsi, avec le temps, on peut découvrir que Dieu dans sa providence toute-puissante peut tirer un bien des conséquences d’un mal, même moral, causé par ses créatures : « Ce n’est pas vous, dit Joseph à ses frères, qui m’avez envoyé ici, c’est Dieu ; (…) le mal que vous aviez dessein de me faire, le dessein de Dieu l’a tourné en bien afin de (…) sauver la vie d’un peuple nombreux » (Gn 45,8 ; 50,20).

Du mal moral le plus grand qui ait jamais été commis, le rejet et le meurtre du Fils de Dieu, causé par les péchés de tous les hommes, Dieu, par la surabondance de sa grâce (Rm 5,20), a tiré le plus grand des biens : la glorification du Christ et notre rédemption. Le mal n’en devient pas pour autant un bien

Catéchisme de l’Église catholique

 

 

 

« Es-tu venu pour nous perdre ? »

mardi 3 septembre 2019

Les anges et les hommes, créatures intelligentes et libres, doivent cheminer vers leur destinée ultime par choix libre et amour de préférence. Ils peuvent donc se dévoyer. En fait, ils ont péché. C’est ainsi que le mal moral est entré dans le monde, sans commune mesure plus grave que le mal physique. Dieu n’est en aucune façon, ni directement ni indirectement, la cause du mal moral. Il le permet cependant, respectant la liberté de sa créature, et, mystérieusement, il sait en tirer le bien. (…) Du mal moral le plus grand qui ait jamais été commis, le rejet et le meurtre du Fils de Dieu, causé par les péchés de tous les hommes, Dieu, par la surabondance de sa grâce (cf Rm 5,20), a tiré le plus grand des biens : la glorification du Christ et notre rédemption. Le mal n’en devient pas pour autant un bien.

« Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu » (Rm 8, 28). Le témoignage des saints ne cesse de confirmer cette vérité. Ainsi, sainte Catherine de Sienne dit à « ceux qui se scandalisent et se révoltent de ce qui leur arrive » : « Tout procède de l’amour, tout est ordonné au salut de l’homme, Dieu ne fait rien que dans ce but » (…) Et Lady Julian of Norwich : « J’appris donc, par la grâce de Dieu, qu’il fallait m’en tenir fermement à la foi, et croire avec non moins de fermeté que toutes choses seront bonnes… Et tu verras que toutes choses seront bonnes. » «Thou shalt see thyself that all manner of thing shall be well.»

Nous croyons fermement que Dieu est le Maître du monde et de l’histoire. Mais les chemins de sa providence nous sont souvent inconnus. Ce n’est qu’au terme, lorsque prendra fin notre connaissance partielle, lorsque nous verrons Dieu « face à face » (1Co 13,12), que les voies nous seront pleinement connues, par lesquelles, même à travers les drames du mal et du péché, Dieu aura conduit sa création jusqu’au repos de ce sabbat définitif, en vue duquel il a créé le ciel et la terre.

Catéchisme de l’Église catholique

 

 

 

Sur le rivage

jeudi 2 août 2018

Avec la mort, le choix de vie fait par l’homme devient définitif : sa vie est devant le Juge. Son choix, qui a pris forme au cours de toute sa vie, peut avoir diverses caractéristiques. Il peut y avoir des personnes qui ont détruit totalement en elles le désir de la vérité et la disponibilité à l’amour. Des personnes en qui tout est devenu mensonge, des personnes qui ont vécu pour la haine et qui en elles-mêmes ont piétiné l’amour. C’est une perspective terrible, mais certains personnages de notre histoire laissent entrevoir de façon effroyable des profils de ce genre. Dans des individus semblables, il n’y aurait plus rien de remédiable, et la destruction du bien serait irrévocable : c’est cela qu’on indique par le mot « enfer ». D’autre part, il peut y avoir des personnes très pures, qui se sont laissées entièrement pénétrer par Dieu et qui, par conséquent, sont totalement ouvertes au prochain — personnes dont la communion avec Dieu oriente dès maintenant l’être tout entier et dont le fait d’aller vers Dieu conduit seulement à l’accomplissement de ce qu’elles sont désormais. Selon nos expériences, cependant, ni un cas ni l’autre ne sont la normalité dans l’existence humaine. Chez la plupart des hommes, comme nous pouvons le penser, demeure présente au plus profond de leur être une ultime ouverture intérieure pour la vérité, pour l’amour, pour Dieu. Mais, dans les choix concrets de vie, elle est recouverte depuis toujours de nouveaux compromis avec le mal… Qu’advient-il de tels individus lorsqu’ils comparaissent devant le Juge ? Toutes les choses sales qu’ils ont accumulées dans leur vie deviendront-elles d’un coup insignifiantes ? Dans la première lettre aux Corinthiens, saint Paul nous donne une idée de l’impact différent du jugement de Dieu sur l’homme selon son état… : « On peut poursuivre la construction avec de l’or, de l’argent ou de la belle pierre, avec du bois, de l’herbe ou du chaume, mais l’ouvrage de chacun sera mis en pleine lumière au jour du jugement. Car cette révélation se fera par le feu, et c’est le feu qui permettra d’apprécier la qualité de l’ouvrage de chacun. Si l’ouvrage construit par quelqu’un résiste, celui-là recevra un salaire ; s’il est détruit par le feu, il perdra son salaire. Et lui-même sera sauvé, mais comme s’il était passé à travers un feu » (3,12-15).

Benoît XVI, pape de 2005 à 2013

Encyclique « Spe Salvi », 45-46 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)

« Détestés de tous »

mercredi 25 novembre 2015

aveugle

Si le don que Dieu a fait au monde en lui envoyant son Fils est si bon, si digne de Dieu, pourquoi donc a-t-il si longtemps différé son bienfait ? Pourquoi, alors que le mal dans le monde en était encore à ses débuts, Dieu n’a-t-il pas coupé court à son développement ultérieur ? À cette objection, il y a lieu de répondre brièvement que c’est la Sagesse, la prévoyance de Dieu, l’Être bon par nature, qui a fait différer le bienfait. En effet, comme pour les maladies physiques…les médecins attendent que le mal, d’abord caché à l’intérieur du corps, se manifeste au-dehors de manière à lui appliquer le traitement qu’il faut quand il est à découvert, ainsi, une fois que la maladie du péché s’était abattue sur la race humaine, le Médecin de l’univers a attendu que ne reste dissimulée aucune forme de perversité.

Voilà pourquoi ce n’est pas aussitôt après la jalousie de Caïn et le meurtre d’Abel son frère que Dieu a appliqué son traitement au monde… C’est lorsque le vice était arrivé à son comble et qu’il n’y avait plus aucune perversité qui ne pouvait être osée par les hommes, que Dieu s’est mis à soigner la maladie, non plus à son début, mais dans son plein développement. Ainsi le traitement divin a pu s’étendre à toute l’infirmité humaine …

Mais alors pourquoi la grâce de l’Évangile ne s’est-elle pas répandue tout de suite sur tous les hommes ? Certes, l’appel divin s’adresse également à tous, sans distinction de condition, d’âge ni de race… Mais celui qui a la libre disposition de toutes choses entre ses mains a poussé jusqu’à l’extrême le respect de l’homme. Il a permis que nous ayons chacun notre domaine propre dont nous sommes le seul maître : c’est la volonté, la faculté qui ignore l’esclavage, qui reste libre, fondée sur l’autonomie de la raison. La foi est donc à la libre disposition de ceux qui reçoivent l’annonce de l’Évangile.

Saint Grégoire de Nysse (v. 335-395), moine et évêque
Instruction catéchétique, 29-30 (trad. DDB 1978, p. 78 rev. Tournay)

 

 

 

Prière pour envoyer le mal dans l’abime

samedi 24 mai 2014

180px-Pere_Cestac_ParisLe 13 janvier 1864, une âme accoutumée aux bontés de la Très Sainte Vierge, le Père Louis-Edouard Cestac, fondateur de la Congrégation des Servantes de Marie, à Anglet (Pyrénées Atlantique), fut subitement frappé comme d’un rayon de clarté divine. Il vit les démons répandus sur la terre, y causant des ravages inexprimables. En même temps, il eut une vision de la Très Sainte Vierge.

Cette bonne Mère lui dit qu’en effet, les démons étaient déchaînés dans le monde et que l’heure était venue de la prier comme « Reine des Anges » et de Lui demander d’envoyer les Légions Saintes pour combattre et terrasser les puissances de l’enfer.

« Ma Mère, dit le prêtre, vous qui êtes si bonne, ne pourriez-vous pas les envoyer sans que l’on vous le demande ? »
« Non, répondit la Très Sainte Vierge, la prière est une condition posée par Dieu même pour l’obtention des grâces. »
« Eh bien ma Mère, reprit le prêtre, voudriez-vous m’enseigner vous-même comme il faut vous prier ?»

Et il reçut de la Très Sainte Vierge la prière: ‘Auguste Reine des Cieux’.

« Mon premier devoir fut de présenter cette prière à Monseigneur Lacroix, évêque de Bayonne, qui daigna l’approuver. Ce devoir accompli, j’en fis tirer 500.000 exemplaires, j’eus soin de les envoyer partout ». « Nous ne devons pas oublier de dire que lors de la première impression, les presses se brisèrent par deux fois ».

Sous l’impulsion du Vénérable Père Cestac, cette prière s’est répandue dans le monde catholique, accompagnée partout de faveurs extraordinaires. Monseigneur le Cardinal Paul-Emile Léger, ancien Archevêque de Montréal (1904-1991) déclarait : « L’efficacité surnaturelle de cette prière est très grande ».

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PRIÈRE A LA REINE DES ANGES
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Auguste Reine des cieux, souveraine maîtresse des Anges,
Vous qui, dès le commencement, avez reçu de Dieu le pouvoir et la mission d’écraser la tête de Satan, Nous vous le demandons humblement, Envoyez vos légions célestes pour que, sous vos ordres, et par votre puissance, Elles poursuivent les démons, les combattent partout, Répriment leur audace, et les refoulent dans l’abîme.
QUI EST COMME DIEU ! O bonne et tendre mère, Vous serez toujours notre Amour et notre espérance. O Divine Mère, Envoyez les Saints Anges pour nous défendre, Et repoussez loin de nous le cruel ennemi.
Saints Anges et Archanges, Défendez-nous, gardez-nous.

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Prière authentique indulgenciée par Saint Pie X, pour 300 jours d’indulgence, une fois par jour (par int. De SS. Pie X. 8 juillet 1908).
« Âmes dévouées à la Très Sainte Mère de Dieu et à la sainte Eglise, récitez cette prière chaque jour.
Dans les cas difficiles, récitez-la aussi neuf fois de suite, en neuvaine pour les neuf cœurs des Anges, faites reproduire cette humble prière qui est un très puissant exorcisme, et répandez-la à profusion autour de vous et par toute la terre ».
http://www.chretiensmagazine.fr

Paix intérieure

samedi 12 avril 2014
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« Ne pas s’opposer au mal  » signifie préserver sa paix intérieure. Nous savons que le Seigneur, tant qu’Il était dans Son enveloppe charnelle, était attentif à tous et à chacun, y compris ceux qui Le pourchassaient. Lui, le Dieu tout-puissant dont une seule pensée et une seule parole suffisent pour faire tout tomber et tout s’écrouler, nous a montré le chemin qu’il fallait suivre pour nous éloigner du mal. Le Seigneur Lui-même nous dit « de ne pas nous opposer ».
Il nous dit de ne pas nous opposer au mal, car ne pas s’opposer au mal signifie « garder sa paix intérieure ». S’opposer constitue une mauvaise action, cela signifie répliquer de la même manière, ce qui aboutit à un conflit, ce qui revient à alimenter les esprits malins. Quand ces derniers attaquent et qu’ils ne rencontrent aucune opposition, alors leurs armes tombent aussitôt à terre et ils sont défaits.
Aussi faut-il nous efforcer à tout prix, avec l’aide de Dieu, de prier sans cesse le Seigneur : « Seigneur, aide-moi à conserver la paix intérieure et apprends-moi à être une âme paisible, tranquille et douce, à l’image de tes anges et de tes saints.
 C’est pourquoi il faut être tout le temps en pensée avec le Seigneur.
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Starets Thaddée, Paix et joie dans le Saint-Esprit. 
seraphim-marc-elie.fr
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Choisir

mardi 1 mars 2011

La vie est ainsi. Elle s’écoule entre le passé et l’avenir, entre le mal et le bien. Au milieu se trouve l’homme avec sa volonté et son libre arbitre; aux extrémités, d’une part Dieu et son Ciel, d’autre part Satan et son Enfer. L’homme peut choisir. Personne ne le force. Qu’on ne me dise pas: « Mais Satan nous tente » pour s’excuser de descendre par le sentier du bas. Dieu aussi nous tente par son amour et cette tentation est bien forte; par ses paroles, et elles sont bien saintes; par ses promesses, et elles sont bien séduisantes! Pourquoi alors se laisser tenter par un seul des deux et Par celui qui mérite le moins qu’on l’écoute? Les paroles, les promesses, l’amour de Dieu ne suffisent-ils pas à neutraliser le poison de Satan? Attention que cela ne tourne pas mal pour vous. Quand quelqu’un est physiquement très sain, il n’est pas à l’abri des contagions, mais il les surmonte facilement. Si au contraire il est déjà malade et par conséquent affaibli, il périt presque certainement avec une nouvelle infection, et s’il survit il est plus malade que la première fois, car il n’a pas dans le sang la force de détruire complètement les germes infectieux. C’est la même chose pour la partie supérieure. Si quelqu’un est moralement et spirituellement sain et fort, croyez bien qu’il n’est pas exempt de la tentation, mais le mal ne s’enracine pas en lui.

L’Evangile selon Maria Valtorta

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