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Archive pour le mot-clef ‘Sacré Coeur de Jésus’

Carême 2016 – jour 28

samedi 12 mars 2016

Marie

Mes enfants, je suis là pour que votre chemin soit soulagé des embûches des hommes, confiez-vous à moi et je vous guiderai toujours plus profondément dans le Tabernacle de l’Amour Divin. Ne soyez plus sourds et aveugles à côté de vos frères, mais venez au contraire les soulager et les guider vers mon Eglise où je les présenterai à mon Fils pour l’éternité. Mes enfants, le temps manque, mais les signes arrivent, sachez les percevoir et en rendre grâce au Père Eternel. Mes enfants, priez, priez, priez, les temps sont comptés où beaucoup disparaîtront sans connaître l’Amour du Père. Suivez l’enseignement de mon Fils et faites-en profiter tous ceux qui attendent de connaître.
Mes enfants, je suis Marie Mère des hommes et je vous demande de soutenir mon Fils en ces temps par la prière et le recueillement.
Les plaies de mon Fils se sont réouvertes, Son Cœur saigne et mes larmes sont de sang. Dieu le Père en ce message vous accorde Sa Bénédiction : « Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. »

Je vous remercie de me lire et de venir me connaître pour aider les hommes.

Mars 1997

 

 

Sainte Bernadette

jeudi 18 février 2016

 

 

Santa_Bernardetta_Soubirous_LQue mon âme était heureuse, ô bonne Mère,

quand j’avais le bonheur de vous contempler !
Que j’aime à me rappeler ces doux moments
passés sous vos yeux pleins de bonté et de miséricorde pour nous.
Oui, tendre Mère, vous vous êtes abaissée jusqu’à terre
pour apparaître à une faible enfant et lui communiquer certaines choses,
malgré sa grande indignité.
Aussi, quel sujet d’humilité n’a-t-elle pas.
Vous, la Reine du Ciel et de la terre,
avez bien voulu vous servir de ce qu’il y avait. de plus faible selon le monde.
Ô Marie, donnez à celle qui ose se dire votre enfant cette précieuse vertu d’humilité.
Faites, ô tendre Mère, que votre enfant vous imite en tout et pour tout,
en un mot que je sois une enfant selon votre Cœur et Celui de votre cher Fils.

 

Sainte Bernadette Soubirous
Cette prière, dont le début rappelle le Magnificat, a été composée par Bernadette, en mai 1866,
alors qu’elle se préparait à entrer au couvent de Nevers.

 

 

 

Prière pour la France

lundi 16 novembre 2015

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Ste Marguerite-Marie Alacoque, confidente du Sacré-Cœur

vendredi 16 octobre 2015

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Marguerite-Marie Alacoque, cinquième enfant de Claude Alacoque et Philiberte Lamyn, naît dans un village du charolais, à Verosvres (Vroules en patois charolais), le 22 juillet 1647. Son père, notaire royal, décède quand elle a huit ans.
À 10 ans elle est très malade et elle fait vœu de devenir religieuse si Notre Dame la guérit. Ayant retrouvée la santé, elle oublie sa promesse, mais un peu plus tard la maladie de sa mère la lui rappelle. C’est pourquoi, bien que sa famille soit contre, le 25 mai 1671, elle entre au monastère de la Visitation de Paray-le-Monial où elle prend l’habit des visitandines le 25 août 1671.

Marguerite-Marie fait profession le 6 novembre 1672. Elle épouse dès ce moment-là le Christ souffrant, le Christ en agonie. Jusque là, elle a bien souvent entendu la voix du Seigneur au fond d’elle.

Mais le 27 décembre 1673, le Christ lui apparaît physiquement, lui révélant son divin Cœur rayonnant comme un soleil, portant la trace du coup de lance, la couronne d’épines. Une croix le domine. Il lui adresse alors ce premier message : « Mon divin Cœur est si passionné d’amour pour les hommes, et pour toi en particulier, que ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu’il les répande par ton moyen. » Le Christ alors unit le cœur de Marguerite-Marie au Sien, et dès cet instant Marguerite-Marie gardera toujours une douleur au côté. La mission laissée à la sainte n’est pas petite : faire connaître aux hommes l’Amour débordant de Dieu… C’est la première des trois grandes apparitions.

La deuxième grande apparition a lieu l’année suivante, un premier vendredi du mois. Le Christ lui apparaît de nouveau manifestant son divin Cœur, “tout rayonnant de gloire avec ses cinq plaies brillantes comme cinq soleils”. Le Christ alors se plaint que les hommes soient si loin de son Amour, et le lui rendent si peu. Il lui dit alors : « Tu communieras […] tous les premiers vendredis de chaque mois. Et, toutes les nuits du jeudi au vendredi je te ferai participer à cette mortelle tristesse que j’ai bien voulu sentir au jardin des Olives […] Et, pour m’accompagner […] tu te lèveras entre onze heures et minuit pour te prosterner pendant une heure avec moi ». De plus, le Christ lui rappelle alors l’importance de l’obéissance, car Satan « n’a point de pouvoir sur les obéissants ».

Durant l’octave du Saint Sacrement, en 1675, c’est la troisième grande apparition, et sans nul doute la plus connue. De nouveau, le Christ lui révèle son divin Cœur, et lui laisse ces paroles : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu’il n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consommer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance, je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et les mépris […] Mais ce qui m’est encore le plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. » Il lui demande alors que soit instaurée la fête du Sacré Cœur, un culte public ! Marguerite-Marie, petite visitandine dans une petite ville, voit alors évidemment mal par quel moyen elle pourrait y répondre ! Plusieurs suivront jusqu’en 1677.

Au début elle passe pour possédée, mais, heureusement, elle est soutenu par son confesseur, le père Claude La Colombière (canonisé le 31 mai 1992) qui, quand Marguerite-Marie lui ouvre sa conscience, voit en elle l’œuvre de Dieu, la rassure et l’encourage. Peu à peu la communauté accepte et vénère le Sacré Cœur (cœur souffrant entouré de flammes et d’une couronne d’épines).

La « dévotion au Sacré-Cœur » va se répandre dans toute la chrétienté et, en 1899, le pape Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903) instituera la fête du Sacré-Cœur (3e vendredi après la Pentecôte).

En 1689, Marguerite-Marie reçoit un dernier message du Seigneur : elle doit faire savoir au roi, Louis XIV, qu’il doit se consacrer au Sacré Cœur, ainsi que tous les grands du royaume, et Lui construire un lieu de culte. Le message arriva-t-il au destinataire ? Nul ne sait, mais toujours est-il qu’il n’y eut point de suites.

En octobre 1690, elle annonce à ses sœurs, incrédules, que le Seigneur veut la rappeler à Lui, et en effet, sœur Marguerite-Marie rend saintement son âme à Dieu le 17 octobre. Depuis son corps repose à la basilique de Paray le monial.

Déclarée vénérable en 1824 et bienheureuse en 1864, Marguerite-Marie à été canonisée le 13 mai 1920 par le pape Benoît XV (Giacomo della Chiesa, 1914-1922).

Pour un approfondissement biographique :
>>> Sainte Marguerite-Marie Alacoque

Sources principales : livres-Mystiques.com ; wikipédia (« Rév. x gpm »).

 

Coeur Sacre de Jesus

Les douze promesses de Jésus

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Notre Seigneur a fait les douze promesses suivantes à sainte Marguerite-Marie afin d’encourager la vraie dévotion au Sacré Cœur de Jésus qui est également la dévotion au Saint-Sacrement. Ces promesses sont octroyées aux dévots du Sacré Cœur.

1. Je leur donnerai toutes les grâces nécessaires dans leur état.
2. Je mettrai la paix dans leur famille.
3. Je les consolerai dans toutes leurs peines.
4. Je serai leur refuge assuré pendant la vie et surtout à la mort.
5. Je répandrai d’abondantes bénédictions sur toutes leurs entreprises.
6. Les pécheurs trouveront dans mon Cœur la source et l’océan infini de la miséricorde.
7. Les âmes tièdes deviendront ferventes.
8. Les âmes ferventes s’élèveront à une grande perfection.
9. Je bénirai même les maisons où l’image de mon Cœur sera exposée et honorée.
10. Je donnerai aux prêtres le talent de toucher les cœurs les plus endurcis.
11. Les personnes qui propageront cette dévotion auront leur nom écrit dans mon Cœur, et il n’en sera jamais effacé.
12. Je te promets, dans l’excès de la miséricorde de mon Cœur, que mon amour tout puissant accordera à tous ceux qui communieront les premiers vendredis, neuf fois de suite, la grâce de la pénitence finale, qu’ils ne mourront point dans ma disgrâce, ni sans recevoir les sacrements, et que mon Cœur se rendra leur asile assuré à cette heure dernière.

 

 

 

 

« Apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur. » (Mt 11,29)

mercredi 14 octobre 2015

Jesus

Mon enfant, fuis tout ce qui est mal ou ressemble au mal. Ne sois pas emporté : la colère pousse au crime. Ni jaloux, ni querelleur, ni brutal : ces passions sont la cause des meurtres. Mon enfant, ne sois pas sensuel : la sensualité est le chemin de l’adultère. Que ton langage ne soit pas grivois, ni hardi ton regard : cela aussi engendre l’adultère… Garde-toi des incantations, de l’astrologie, des purifications magiques ; refuse et de les voir et de les entendre : ce serait… sombrer dans l’idolâtrie. Mon enfant, ne sois pas menteur, car le mensonge entraîne au vol. Ne te laisse séduire ni par l’argent ni par la vanité, qui eux aussi incitent à voler. Mon enfant, ne grommelle pas : tu en viendrais au blasphème. Ne sois ni insolent ni malveillant, cela aussi porte au blasphème.

Aie de la douceur : « les doux hériteront la terre » (Mt 5,5). Sois patient, miséricordieux, sans malice, empli de paix et de bonté. Tremble sans cesse devant les paroles que tu as entendues (Is 66,2). Tu ne t’élèveras pas toi-même, tu ne livreras pas ton cœur à l’orgueil. Tu ne t’allieras pas avec les superbes, mais tu fréquenteras les justes et les humbles. Tu recevras les événements de la vie comme des bienfaits, sachant que rien ne survient en dehors de Dieu.

La Didachè (entre 60-120), catéchèse judéo-chrétienne
§3 (trad. Quéré, Pères apostoliques, Seuil 1980, p. 94)

 

 

St Maksymilian Maria Kolbe, prêtre o.f.m. conv. et martyr

vendredi 14 août 2015

San_Massimiliano_Maria_Kolbe_WMaximilien Kolbe (de son prénom de baptême: Rajmund) naît le 8 janvier 1894 à Zdunska Wola, pas très loin de Lodz, en Pologne. Il était le fils de Jules et Marie Dabrowska.
Adolescent, il se sentit fasciné par l’idéal de saint François d’Assise et entra au petit séminaire des Franciscains conventuels (dits Cordeliers) de Léopoli.

Après le noviciat, il fut envoyé à Rome, au Collège International de l’ordre, pour y faire ses études ecclésiastiques. En 1915, il fut diplômé en philosophie puis, en 1919, en théologie.

Alors que l’Europe est déchirée par la Première Guerre Mondiale, Maximilien songe à une grande œuvre au service de l’Immaculée pour l’avènement du Royaume du Christ.

Le soir du 16 octobre 1917, il fonde avec quelques compagnons la « Mission de l’Immaculée », qui a pour but la conversion et la sanctification de tous les hommes par l’offrande inconditionnelle à la Vierge Marie.

Il est ordonné prêtre en 1918 et, en 1919, une fois ses études ecclésiastiques terminées, il rentre en Pologne pour commencer à Cracovie un travail d’organisation et d’animation du mouvement de la « Mission de l’Immaculée ».

Comme moyen de liaison entre les adhérents du mouvement, il fonde la revue « Le Chevalier de l’Immaculée ».

En 1927, encouragé par la progression importante du nombre de collaborateurs consacrés et de membres de la M.I., il transfère le centre d’édition à Niepokalanow, ou « Cité de l’Immaculée », près de Varsovie, qui accueillera plus de 700 religieux. Ceux-ci se consacreront à évangéliser le monde grâce à l’utilisation des moyens de communication sociale.

En 1930, il part avec quatre autres frères pour le Japon, où il fonde « Mugenzai No Sono », ou « Jardin de l’Immaculée », dans la banlieue de Nagasaki et y imprime une revue mariale. Cette « cité » restera intacte après l’explosion, en 1945, de la bombe atomique sur Nagasaki.

maximilien-kolbeEn 1936, il rentre en Pologne, appelé par la croissance de la communauté religieuse et l’expansion de l’activité éditoriale : onze publications, parmi lesquelles un quotidien de grande audience dans les classes populaires : il tire à 228.560 exemplaires, et le « Le Chevalier de l’Immaculée » à un million d’exemplaires.

Le 1er septembre 1939, la Seconde Guerre Mondiale éclate. Niepokalanow est bombardée et saccagée. Les religieux doivent l’abandonner. Les bâtiments sont utilisés comme lieu de premier accueil pour les réfugiés et les militaires

Le 17 février 1941, le Père Kolbe est arrêté par la Gestapo et incarcéré dans la prison Pawiak de Varsovie. Le 28 mai de la même année, il est déporté au camp d’extermination d’Auschwitz, où on lui assigna le numéro 16670.

Fin juillet, un prisonnier s’échappa. En guise de représailles, le commandant Fritsch décide de choisir dix compagnons du même bloc et les condamne injustement à mourir de faim et de soif dans le « souterrain de la mort ».

A la stupeur de tous les prisonniers et des nazis eux-mêmes, le père Maximilien sort des rangs et s’offre pour remplacer l’un des condamnés, le jeune sergent polonais François Gajowniczek. De cette manière inattendue et héroïque, le Père Maximilien descend avec les neuf autres prisonniers dans le « souterrain de la mort » où, les uns après les autres, les prisonniers meurent, consolés, assistés et bénis par un saint.

Le 14 août 1941, le Père Kolbe quitte sa demeure terrestre, pour la rencontre avec Dieu, suite à une injection d’acide phénique. Le jour suivant, son corps fut brûlé dans le four crématoire et ses cendres dispersées au vent.

Maximilien-Marie Kolbe a été élevé à la gloire des autels, le 17 octobre 1971, par le Bx Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) et canonisé, le 10 octobre 1982, par Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojty?a, 1978-2005).

Pour un approfondissement biographique :
>>> Biographie

Source principale : kolbemission.org ; missel.free.fr (« Rév. x gpm »).

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Acte de consécration à l’immaculée

 

Daignez recevoir ma louange, ô Vierge bénie ! Immaculée Conception, Reine du ciel et de la terre, Refuge des pécheurs et Mère très-aimante, à qui Dieu a voulu confier tout l’ordre de la miséricorde, me voici à vos pieds, moi, pauvre pécheur. Je vous en supplie, acceptez mon être tout entier comme votre bien et votre propriété. Agissez en moi selon votre volonté, en mon âme et mon corps, en ma vie et ma mort et mon éternité. Disposez avant tout de moi comme vous le désirez, pour que se réalise enfin ce qui est dit de vous : La Femme écrasera la tête du serpent et aussi : Vous seule vaincrez les hérésies dans le monde entier. Qu’en vos mains immaculées, si riches de miséricorde, je devienne un instrument de votre amour, capable de ranimer et d’épanouir pleinement tant d’âmes tièdes ou égarées. Ainsi s’étendra sans fin le règne du Cœur divin de Jésus. Vraiment, votre seule présence attire les grâces qui convertissent et sanctifient les âmes, puisque la grâce jaillit du Cœur divin de Jésus sur nous tous, en passant par vos mains maternelles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La nouvelle Loi « écrite non sur des tables de pierre, mais sur les cœurs » ( 2 Co 3,3)

vendredi 17 juillet 2015

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Considérez, mes frères, le grand mystère de l’harmonie et de la différence des deux Lois et des deux peuples. Le peuple ancien célébrait la Pâque non dans la pleine lumière, mais dans l’ombre de ce qui devait venir (Col 2,17), et cinquante jours après la célébration de la Pâque…, Dieu lui a donné la Loi écrite de sa main sur le mont Sinaï… Dieu est descendu sur le mont Sinaï au milieu du feu, frappant d’épouvante le peuple qui se tenait au loin et il a écrit la Loi, de son doigt, sur la pierre et non dans le cœur (Ex 31,18). Au contraire, lorsque l’Esprit Saint est descendu sur la terre, les disciples étaient tous ensemble en un même lieu, et au lieu de les effrayer du haut de la montagne, il est entré dans la maison où ils étaient réunis (Ac 2,1s). Il se fit bien du haut du ciel un bruit pareil à celui d’un vent violent qui s’approche, mais ce bruit n’a effrayé personne.

Vous avez entendu le bruit, voyez aussi le feu ; car, sur la montagne, on distinguait aussi ces deux phénomènes : le bruit et le feu. Sur le mont Sinaï, le feu était environné de fumée ; ici, au contraire, il est d’une clarté brillante : « Ils virent apparaître, dit l’Écriture, comme un sorte de feu qui se partageait en langues ». Était-ce un feu qui provoquait la peur ? Pas du tout : « Ces langues se posèrent sur chacun d’eux »… Écoutez cette langue qui parle, et comprenez que c’est l’Esprit qui écrit, non sur la pierre, mais dans le cœur. Ainsi donc « la Loi de l’Esprit de vie », écrite dans le cœur et non sur la pierre, cette Loi de l’Esprit de vie qui est en Jésus Christ en qui la Pâque a été célébrée en toute vérité (1Co 5,7), « vous a délivrés de la Loi du péché et de la mort » (Rm 8,2).

Saint Augustin (354-430), évêque d’Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l’Église
Sermon 155, 6

 

 

 

 

Sacré-Coeur de Jésus, solennité

vendredi 27 juin 2014
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Le Christ révèle à sainte Marguerite-Marie Alacoque, le 27 décembre 1673, que « Mon divin Cœur est si passionné d’amour pour les hommes, et pour toi en particulier que, ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu’il les répande par ton moyen, et qu’il se manifeste à eux pour les enrichir de ses précieux trésors que je te découvre… »
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En juin 1675, Il s’adresse à elle en ces termes : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu’il n’a rien épargné, jusqu’à s’épuiser et se consommer, pour leur témoigner son amour.
Je te demande que le premier vendredi d’après l’octave du Saint-Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon Cœur, en communiant ce jour là, et en lui faisant réparation d’honneur par une amende honorable, pour réparer les indignités qu’il a reçues pendant le temps qu’il a été exposé sur les autels.
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Je te promets aussi que mon Cœur se dilatera, pour répandre avec abondance les influences de son divin amour sur ceux qui lui rendront cet honneur, et qui procureront qu’il lui soit rendu…
Fais savoir au fils ainé de mon Sacré-Cœur (le roi Louis XIV) que, comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma sainte enfance, de même il obtiendra sa naissance de gloire éternelle par sa consécration à mon Cœur adorable. Mon Cœur veut régner dans son palais, être peint sur ses étendards et gravé dans ses armes pour les rendre victorieuses de tous ses ennemis et de tous ceux de la sainte Église.
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Mon Père veut se servir du roi pour l’exécution de son dessein, qui est la construction d’un édifice public où serait placé le tableau de mon Cœur pour y recevoir les hommages de toute la France »
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Il faudra attendre 1870 : la guerre éclate entre la France et l’Allemagne ; la défaite militaire française ne tarde pas, suivie de l’occupation d’une partie du pays par les troupes allemandes. Alexandre Legentil, député sous Louis-Philippe, et son beau-frère, Hubert Rohault de Fleury, font vœu de construire une église consacrée au Cœur du Christ, en réparation et pénitence pour les fautes commises par les Français : « Pour faire amende honorable de nos péchés et obtenir de l’infinie miséricorde du Sacré-Cœur de Notre Seigneur Jésus-Christ le pardon de nos fautes, ainsi que les secours extraordinaires qui peuvent seuls délivrer le Souverain Pontife de sa captivité et faire cesser les malheurs de la France, nous promettons de contribuer à l’érection, à Paris, d’un sanctuaire dédié au Sacré-Cœur de Jésus. » Pendant la première guerre mondiale, en réponse à la demande adressée par sainte Marguerite Marie, en 1675, plus de douze millions de drapeaux et fanions français ornés du Sacré Cœur de Jésus furent portés par les soldats, les régiments, etc. En 1917, la République a interdit la consécration individuelle des soldats au Sacré Cœur et le port du Sacré Cœur. Dans une lettre aux pèlerins de Paray, en 1999, Jean Paul II « invite tous les fidèles à poursuivre avec piété leur dévotion au culte du Sacré-Cœur de Jésus, en l’adaptant à notre temps, pour qu’ils ne cessent d’accueillir ses insondables richesses, qu’ils y répondent avec joie en aimant Dieu et leurs frères, trouvant ainsi la paix, entrant dans une démarche de réconciliation et affermissant leur espérance de vivre un jour en plénitude auprès de Dieu, dans la compagnie de tous les saints. »
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Pour un approfondissement :
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Marie Reine

samedi 31 mai 2014

Marie Reine

Que votre chemin à tous soit sauvegardé dans la miséricorde de mon Fils. Le Cœur Sacré de mon Fils a offert Son Sang pour que vous puissiez vivre dans l’Amour et la Paix. Alors, surtout, en toute occasion, en toute souffrance à l’intérieur de votre cœur, de votre physique, transmettez la à mon Fils, Il vous rendra la Paix, la Paix du cœur et la sérénité et vous permettra de guérir. Appelez-le, Il n’attend que ça. Parlez, car mon Fils demande que Sa parole soit distribuée dans le monde entier.

Mon Fils vous demande une chose, c’est qu’on ait la reconnaissance de Son Père, qu’on ait la reconnaissance de la Trinité. Mais surtout, Il veut que Sa mère chérie bien aimée soit l’Impératrice de ce monde, la Reine de ce monde, car elle œuvre comme servante. Vous le savez, que les derniers seront les premiers et que les premiers seront les derniers. Et de servante, je deviendrai par mon Fils et le Père Eternel, je deviendrai Reine céleste. Si je le suis à l’heure actuelle, je le deviendrai amplifiée dans l’avenir. Je siégerai au côté de mon Fils pour l’amour des hommes. C’est vous qui serez ma reconnaissance. C’est par le fruit de votre amour, de votre bonté, par le fruit de vos sacrifices, par le fruit de votre compréhension, de vos prières. N’oubliez pas le Rosaire, la bougie, la Bible. Au travers de vous, vous avez tout en main pour cette réussite.

Maie Mère des hommes – mars 2010

 

 

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Samedi Saint

samedi 19 avril 2014

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« Mes enfants,

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Je viens vous rappeler que vous êtes dans un temps de jeûne et un temps où vous devez offrir à autrui tous les excès que vous réalisez régulièrement.
Vous devez vous ouvrir dans l’humilité et avec ténacité pour apporter votre soutien au nom de mon Fils. Mais ces actes, vous devrez les réaliser ensuite tout au long de votre vie. Car l’Amour apporté à autrui doit être le but de votre vie de chaque jour jusqu’au retour auprès du Père Eternel.
Vous devez réaliser, au travers des souffrances de mon Fils, l’avancée pour le nouveau monde de Dieu le Père. Ses souffrances vous délient des vôtres et en ce point vous permettent en toute sérénité de préparer l’osmose des enfants de Dieu le Père avec leur Père Créateur.
Mes enfants, vous devez accompagner mon Fils dans Son chemin de réunification des enfants du Père Eternel.
Je suis présente pour vous servir dans votre évolution et vous guider sur ce chemin de rassemblement ; c’est par votre Amour et votre soutien envers autrui que vous rassemblerez les hommes dans la Maison de mon Fils.
Votre attitude doit être permanente et constante dans sa force de vivacité afin que la foi soit répandue au travers de tous.
Mes enfants, venez consacrer un peu de temps à l’adoration du Cœur sanglant de mon Fils.
Mes enfants, approchez et contemplez l’Amour dans les souffrances de mon Fils.
Je veux que vous soyez présents et témoins de cette souffrance afin d’informer les ignorants.
Mes enfants, je veux que vous preniez conscience et réfléchissiez profondément au sacrifice de mon Fils pour votre sauvegarde éternelle.
Mes enfants, ce message est de courte durée afin de vous faire toucher du doigt la sensibilité du sacrifice de mon Fils
Je suis Marie Mère des hommes afin de faire expier les péchés des hommes dans le sacrifice de mon Fils. Selon la volonté du Père Eternel et pour le renouveau de ce monde, je suis votre guide en chaque jour. »

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Marie Mère des hommes – mars 2001