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Archive pour le mot-clef ‘Berger’

Le vrai Pasteur donne librement Sa vie pour ses brebis.

samedi 5 mai 2012

 

Jésus tourne ses yeux extatiques brillants de pleurs sur les visages tournés vers Lui et un sourire tremble sur ses lèvres, un sourire tellement spiritualisé dans un visage spiritualisé, qu’un frisson secoue la foule qui se rend compte du ravissement du Christ en une vision béatifique et son désir d’amour de la voir accomplie. Il se ressaisit. Il ferme un instant les yeux pour cacher le mystère que voit son esprit et que l’œil pourrait trop trahir. Et il reprend: “C’est pour cela que le Père m’aime, ô mon peuple, ô mon troupeau ! Parce que pour toi, pour ton bien éternel, je donne la vie. Ensuite, je la reprendrai. Mais avant je la donnerai pour que tu aies la vie et ton Sauveur pour ta propre vie. Et je la donnerai de sorte que tu t’en repaisses, me changeant de Pasteur en pâturage et en source qui donneront nourriture et boisson, non pas pour quarante années comme pour les hébreux dans le désert, mais pour tout le temps de l’exil à travers les déserts de la Terre. Personne, en réalité, ne m’enlève la vie. Ni ceux qui en m’aimant de tout eux-mêmes méritent que je m’immole pour eux, ni ceux qui me l’enlèvent à cause d’une haine sans mesure et d’une sotte peur. Personne ne pourrait me l’enlever si de Moi-même, je ne consentais pas à la donner et si le Père ne le permettait pas, pris tous les deux d’un délire d’amour pour l’Humanité coupable. C’est de Moi-même que je la donne, et j’ai le pouvoir de la reprendre quand je veux car il n’est pas convenable que la Mort puisse l’emporter sur la Vie. C’est pour cela que le Père m’a donné ce pouvoir, et même que le Père m’a commandé de le faire. Et par ma vie, offerte et consumée, les peuples deviendront un Peuple unique: le mien, le Peuple céleste des fils de Dieu, pour séparer dans les peuples les brebis des boucs et pour que les brebis suivent leur Pasteur dans le Royaume de la Vie éternelle.”

Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro Editoriale Valtortiano, Italie.

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La porte

jeudi 3 mai 2012

Le temps de la Loi nouvelle est venu. Tout se renouvelle et un monde nouveau, un nouveau peuple, un nouveau royaume se lèvent. Maintenant ceux du temps passé ne connaissent pas tout cela. Eux connaissent leur temps. Ils sont comme des aveugles amenés dans un nouveau pays où se trouve la maison royale du Père, mais de laquelle ils ne connaissent pas l’emplacement. Je suis venu pour les conduire et les y introduire et pour qu’ils voient. Mais je suis Moi-même la Porte par laquelle on accède à la maison paternelle, au Royaume de Dieu, à la Lumière, au Chemin, à la Vérité, à la Vie. Et je suis aussi Celui qui est venu pour rassembler le troupeau resté sans guide et pour le conduire dans un unique bercail: dans celui du Père. Je connais la porte du Bercail car je suis en même temps la Porte et le Berger, et j’y entre et en sors comme et quand je veux, et j’y entre librement, et par la porte, car je suis le vrai Berger. Quand quelqu’un vient donner aux brebis de Dieu d’autres indications, ou cherche à les dévoyer en les amenant à d’autres demeures et d’autres chemins, ce n’est pas le bon Berger, mais un faux berger.

Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro Editoriale Valtortiano, Italie.

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Le bon Pasteur

dimanche 29 avril 2012

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10,11-18.
Jésus disait aux Juifs : « Je suis le bon pasteur, le vrai berger. Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis.
Le berger mercenaire, lui, n’est pas le pasteur, car les brebis ne lui appartiennent pas : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse.
Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui.
Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent,
comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis.
J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur.
Le Père m’aime parce que je donne ma vie pour la reprendre ensuite.
Personne n’a pu me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »

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vendredi 4 novembre 2011

Mes enfants, prenez le temps d’écouter mes paroles diffusées aux quatre coins de ce monde et sachez que Dieu seul autorise cette marque d’amour.

Vivez en chaque jour les prières incessantes transmises par mon Fils et Son Père. Ne soyez point sourds à ces appels, car le temps viendra où vous n’entendrez plus et ne verrez plus ; seule la foi vous sauvera des tribulations de Satan. Lui seul en ces jours s’expose pour être admiré et vénéré, mais son temps touche à sa fin et tous ceux qui l’auront accompagné seront abandonnés dans l’abîme des ténèbres avec lui. Le temps n’est pas aux pleurs et à la peur, mais au renouveau de l’Amour et la Paix.

Mes enfants, que la Bénédiction du Père Eternel repose sur vos têtes afin que vous puissiez aller de l’avant. Mes enfants, tous les Saints sont à vos côtés pour vous faire persévérer dans l’affirmation en Dieu le Père et pour une osmose éternelle avec le Très Haut.

Ne rejetez point la parole de tous ces Saints ; par leurs exemples agencez votre vie afin de vous rapprocher toujours plus de vos frères.

 

Marie Mère des hommes – avril 1998

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