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Ce saint synode, à l’exemple du Concile Vatican I, enseigne avec lui et déclare que Jésus Christ, Pasteur éternel, a édifié la sainte Église en envoyant les apôtres comme lui-même avait été envoyé par le Père et a voulu que leurs successeurs, c’est-à-dire les évêques, soient dans son Église pasteurs jusqu’à la fin des temps. Et afin que l’épiscopat lui-même soit un et sans fissure, il a mis à la tête des autres apôtres le bienheureux Pierre qu’il a établi comme principe et fondement perpétuel autant que visible de l’unité de la foi et de la communion…
Le Seigneur Jésus, après avoir prié le Père, a appelé à lui ceux qu’il voulait et en a nommé douze qu’il prendrait avec lui et qu’il enverrait prêcher le Royaume de Dieu ; et ces apôtres il les a constitués en collège ou corps stable, à la tête duquel il a mis Pierre, choisi parmi eux. Il les a envoyés d’abord aux enfants d’Israël et puis à toutes les nations afin que, revêtus de son autorité, ils fassent de tous les peuples ses disciples, les sanctifient et les gouvernent. Ainsi ils propagent l’Église et, sous la conduite du Seigneur, ils en sont les ministres et les pasteurs, tous les jours jusqu’à la fin du monde. Ils ont été pleinement confirmés dans cette mission le jour de la Pentecôte selon la promesse du Seigneur : « Vous recevrez une force, celle du Saint-Esprit qui viendra sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre ».
Les apôtres, donc, prêchant partout l’Évangile, qui a été accueilli par les auditeurs sous la motion du Saint-Esprit, ont rassemblé l’Église universelle que le Seigneur avait fondée dans les apôtres et qu’il avait édifiée sur le bienheureux Pierre, leur chef, Jésus Christ étant lui-même la suprême pierre angulaire. La mission divine confiée par le Christ aux apôtres durera jusqu’à la fin des temps, puisque l’Évangile qu’ils doivent prêcher est de tout temps pour l’Église le principe de sa vie entière.
Références bibliques : Jn 20,21 ; Mc 3,13-19 ; Mt 10,1-42 ; Lc 6,13 ; Jn 21,15-17 ; Rm 1,16 ; Mt 28,16-20 ; Mc 16,15 ; Lc 24,45-48 ; Jn 20,21-23 ; Mt 28,20 ; Ac 2,1-36 ; Ac 1,8 ; Mc 16,20 ; Ap 21,14 ; Mt 16,18 ; Ep 2, 20 ; Mt 28,20.
Concile Vatican II
Constitution dogmatique sur l’Église, « Lumen Gentium », § 18-19

En union de prière, tous les vendredis soir, à la demande de Marie Mère des hommes, de 21h30 à 22h00.
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Prenant Pierre avec lui, André conduit au Seigneur son frère selon la nature et le sang pour qu’il devienne disciple comme lui ; c’est le premier exploit d’André. Il fait croître le nombre des disciples ; il y introduit Pierre, en qui le Christ trouvera le chef de ses disciples. C’est si vrai que lorsque, plus tard, Pierre aura une conduite admirable, il la devra à ce qu’André avait semé. La louange adressée à l’un rejaillit également sur l’autre, car les biens de l’un appartiennent à l’autre, et l’un se glorifie des mérites de l’autre.
Quelle joie Pierre a procurée à tous lorsqu’il a répondu tout de suite à la question du Seigneur, rompant le silence embarrassé des disciples ! … Pierre seul a prononcé ces paroles : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant » (Mt 16,16). Il parlait au nom de tous ; en une phrase, il proclamait le Sauveur et son dessein de salut. Comme cette proclamation s’accorde bien avec celle d’André ! Les paroles qu’André avait dites à Pierre lorsqu’il l’avait conduit au Christ –- « Nous avons trouvé le Messie » — le Père céleste les confirme lorsqu’il les inspire lui-même à Pierre (Mt 16,17) : « Tu es le Messie, le Christ, le fils du Dieu vivant. »
Basile de Séleucie (?-v. 468), évêque
Sermon à la louange de saint André, 4 ; PG 28,1105 (trad. Orval rev.)
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Ce paralytique avait foi en Jésus Christ. Ce qui le prouve c’est la manière dont on l’a présenté au Christ. On l’a descendu par le toit de la maison… Vous savez que les malades sont dans un abaissement si grand et de si mauvaise humeur, que souvent les bons offices qu’on leur rend les chagrinent sur leur lit… Mais ce paralytique est content d’être tiré de sa chambre et livré en spectacle au public, en traversant sur son grabat les places et les rues…
Ce paralytique ne souffre pas d’amour-propre. La foule entoure la maison où est le Sauveur, tous les passages sont fermés, l’entrée encombrée. Peu importe ! On l’introduira par le toit, il en est content : l’amour est tellement habile, la charité tellement ingénieuse ! « Celui qui cherche trouve ; à celui qui frappe, on ouvre la porte. » (Mt 7,8) Ce malade ne dira pas à ses amis qui le portent : « Qu’allez-vous faire ? Pourquoi tant de trouble ? Pourquoi cet empressement ? Attendons que la maison soit libre et que tout le monde soit parti. Alors nous pourrons nous présenter à Jésus laissé presque seul… » Non, le paralytique ne pense rien de semblable ; c’est une gloire pour lui que d’avoir un grand nombre de témoins de sa guérison.
Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), prêtre à Antioche puis évêque de Constantinople, docteur de l’Église
Homélies détachées, Sur le paralytique

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Mes enfants, vous devez travailler chaque jour à l’élaboration de l’union de demain et c’est dans une osmose d’Amour et de Paix que l’homme sera fils de Dieu et gardien à travers l’éternité d’un Amour illimité, sans aucune retenue, ni ombre quelconque. Soyez mes fils, les enfants de l’Amour, associez-vous à tous les Saints et vos chers disparus pour concevoir la plus grande chaîne d’Amour et de rayonnement universel.
Marie Mère des hommes – mars 2005
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Il ne sert à rien de dire que notre Seigneur, fils de la Vierge Marie, est vraiment homme, si on ne croit pas qu’il l’est de la manière que proclame l’Évangile. Lorsque Matthieu nous parle de la « généalogie de Jésus Christ, fils de David, fils d’Abraham », il dessine, à partir de l’origine de l’humanité, la lignée des générations jusqu’à Joseph à qui Marie était fiancée. Luc, au contraire, remonte les degrés successifs pour aboutir au commencement du genre humain, et il montre ainsi que le premier et le dernier Adam sont de la même nature (3,23s).
Il était possible, certes, à la Toute-puissance du Fils de Dieu de se manifester pour l’instruction et la justification des hommes de la même manière qu’il était apparu aux patriarches et aux prophètes sous une forme charnelle ; par exemple, lorsqu’il luttait avec Jacob (Gn 32,25) ou qu’il engageait une conversation avec Abraham, acceptant le service de son hospitalité au point de prendre la nourriture qu’il lui présentait (Gn 18). Mais ces apparitions n’étaient que des signes, des images de l’homme dont elles annonçaient la réalité puisée aux racines de ces ancêtres.
Le mystère de notre rédemption, disposé dès avant le temps, depuis l’éternité, aucune image ne pouvait l’accomplir. L’Esprit n’était pas encore descendu en la Vierge, et la puissance du Très-Haut ne l’avait pas encore couverte de son ombre (Lc 1,35). La Sagesse ne s’était pas encore construit une demeure pour que le Verbe s’y incarne et que, la nature de Dieu et celle de l’esclave s’unissant en une seule personne, le Créateur du temps naisse dans le temps, et celui par qui tout a été fait soit engendré parmi toutes les créatures. Si l’homme nouveau ne s’était assimilé à la chair du péché et chargé de notre vieillesse, s’il n’avait daigné, lui, consubstantiel au Père, prendre substance de sa mère et assumer notre nature –- hormis le péché –, l’humanité serait maintenue prisonnière à la merci du démon, et nous ne pourrions jouir de la victoire triomphale du Christ, car elle aurait eu lieu en dehors de notre nature. C’est donc de l’admirable participation du Christ à notre nature que jaillit sur nous la lumière du sacrement de la régénération.
Saint Léon le Grand (?-v. 461), pape et docteur de l’Église
Lettre 31 ; PL 54, 791 (trad. Orval)
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Nous ne devons pas pleurer nos frères que l’appel du Seigneur a retirés de ce monde, puisque nous savons qu’ils ne sont pas perdus mais partis avant nous : ils nous ont quittés comme des voyageurs, des navigateurs, pour nous précéder. Nous devons donc les envier au lieu de les pleurer, et ne pas nous vêtir ici-bas de sombres vêtements alors qu’ils ont revêtu là-haut des robes blanches. Ne donnons pas aux païens l’occasion de nous reprocher avec raison de nous lamenter sur ceux que nous déclarons vivants auprès de Dieu, comme s’ils étaient anéantis et perdus. Nous trahissons notre espérance et notre foi si ce que nous disons paraît feinte et mensonge. Il ne sert à rien d’affirmer son courage en parole et d’en détruire la vérité par les faits…
Lorsque nous mourons, nous passons par la mort à l’immortalité ; et la vie éternelle ne peut être donnée que si nous sortons de ce monde. Ce n’est pas là un point final mais un passage. Au terme de notre voyage dans le temps, c’est notre passage dans l’éternité. Qui ne se hâterait vers un plus grand bien ? Qui ne désirerait être changé et transformé à l’image du Christ ?…
Notre patrie, c’est le ciel… Là un grand nombre d’êtres chers nous attend, une immense foule de parents, de frères et de fils nous désire ; assurés désormais de leur salut, ils pensent au nôtre… Hâtons-nous d’arriver à eux, souhaitons ardemment d’être vite auprès d’eux et d’être vite auprès du Christ.
Saint Cyprien (v. 200-258), évêque de Carthage et martyr
Sur la mort § 20 ; PL 4, 596s (trad. Orval)
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