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Archive pour octobre 2011

Naturel

mardi 11 octobre 2011

Touchez du doigt la sensibilité de la nature humaine et végétale afin que les hommes se réunissent au travers et avec le milieu matériel qui les entoure. Vous vivez par la nature de toute sorte et celle-ci vit ou meurt par votre manque d’attention et d’écoute. La nature pleure, elle gémit et vous n’entendez pas les supplices que vous lui faites endurer ; mais elle vous fera ressentir son agonie au travers de la vôtre. Son état ne dépend que de ce monde et ce monde préfère se faire plaisir que de respecter la création Divine en toute chose.

Marie Mère des hommes – avril 1996

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Prochaine rencontre

lundi 10 octobre 2011

Dimanche 16 octobre au Mas Dieu à Montarnaud.

 

Pour ceux qui le veulent et le peuvent, la messe est dite à 11h en l’église de Montarnaud.

Pique nique, chapelet et lecture du message au Mas.

 

Psaume 6

dimanche 9 octobre 2011

Au maitre de chant. Sur les instruments à cordes. A l’octave. Psaume de David.
Yahweh, ne me punis pas dans ta colère, et ne me châtie pas dans ta fureur.
Aie pitié de moi, Yahweh, car je suis sans force; guéris-moi, Yahweh, car mes os sont tremblants.
Mon âme est dans un trouble extrême; et toi, Yahweh, jusques à quand?
Reviens, Yahweh, délivre mon âme; sauve-moi à cause de ta miséricorde.
Car celui qui meurt n’a plus souvenir de toi; qui te louera dans le schéol?
Je suis épuisé à force de gémir; chaque nuit ma couche est baignée de mes larmes, mon lit est arrosé de mes pleurs.
mon œil est consumé par le chagrin; il a vieilli à cause de tous ceux qui me persécutent.
Eloignez-vous de moi, vous tous qui faites le mal! Car Yahweh a entendu la voix de mes larmes.
Yahweh a entendu ma supplication, Yahweh accueille ma prière.
Tous mes ennemis seront confondus et saisis d’épouvante; ils reculeront, soudain couverts de honte.

« Heureuse la mère qui t’a porté dans ses entrailles. »

samedi 8 octobre 2011

Faites attention à ce que dit le Christ Seigneur, étendant la main vers ses disciples : « Voici ma mère et mes frères ». Et ensuite : « Celui qui fait la volonté de mon Père, qui m’a envoyé, c’est lui mon frère, ma sœur, ma mère » (Mt 12,49-50). Est-ce que la Vierge Marie n’a pas fait la volonté du Père, elle qui a cru par la foi, qui a conçu par la foi ?… Sainte Marie a fait, oui, elle a fait la volonté du Père, et par conséquent…Marie était bienheureuse, parce que, avant même d’enfanter le Maître, elle l’a porté dans son sein.

Voyez si ce que je dis n’est pas vrai. Comme le Seigneur passait, suivi par les foules et accomplissant des miracles divins, une femme se mit à dire : « Heureux, bienheureux, le sein qui t’a porté ! » Et qu’est-ce que le Seigneur a répliqué, pour éviter qu’on ne place le bonheur dans la chair ? « Heureux plutôt ceux qui entendent la parole de Dieu et la gardent ! » Donc, Marie est bienheureuse aussi parce qu’elle a entendu la parole de Dieu et l’a gardée : son âme a gardé la vérité plus que son sein n’a gardé la chair. La Vérité, c’est le Christ ; la chair, c’est le Christ. La vérité, c’est le Christ dans l’âme de Marie ; la chair, c’est le Christ dans le sein de Marie. Ce qui est dans l’âme est davantage que ce qui est dans le sein. Sainte Marie, heureuse Marie !…

Mais vous, mes très chers, regardez vous-mêmes : vous êtes les membres du Christ, et vous êtes le corps du Christ (1Co 12,27)… « Celui qui entend, celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est mon frère, ma sœur, ma mère »… Car il n’y a qu’un seul héritage. C’est pourquoi le Christ, alors qu’il était le Fils unique, n’a pas voulu être seul ; dans sa miséricorde, il a voulu que nous soyons héritiers du Père, que nous soyons héritiers avec lui (Rm 8,17).

Saint Augustin (354-430), évêque d’Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l’Église
Sermon sur l’évangile de Matthieu, n° 25, 7-8 ; PL 46, 937 (trad. bréviaire 21/11)

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Notre-Dame du Rosaire

vendredi 7 octobre 2011

En action de grâces de la décisive victoire remportée à Lépante par la flotte chrétienne sur la flotte turque, le premier dimanche d’octobre 1571, le saint pape Pie V institua une fête annuelle sous le titre de Sainte Marie de la Victoire ; mais peu après, le pape Grégoire XIII changea le nom de cette fête en celui de Notre-Dame-du-Rosaire.

Le Rosaire avait été institué par saint Dominique au commencement du XIIIe siècle. Par le zèle des papes, et aussi par les fruits abondants qu’il produisait dans l’Église, il devenait de plus en plus populaire. Au XVe siècle, le bienheureux Alain de La Roche, Dominicain, fut suscité par Marie pour raviver cette dévotion si excellente.

Plus tard, dans les premières années du XVIIIe siècle, parut un homme extraordinaire appelé à bon droit le Dominique des temps modernes, et qui fut le grand propagateur, l’apôtre de la dévotion au saint Rosaire ; c’est saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Depuis saint Dominique, il n’y a pas eu d’homme plus zélé que ce grand missionnaire pour l’établissement de la confrérie du Rosaire : il l’érigeait dans tous les lieux où elle ne l’était pas ; c’est le moyen qu’il jugeait le plus puissant pour établir le règne de Dieu dans les âmes. Il composa lui-même une méthode de réciter le Rosaire, facile à retenir, instructive et pieuse. L’Apôtre de l’Ouest récitait tous les jours son Rosaire en entier, suivant sa méthode, et le faisait de même réciter publiquement tous les jours dans ses missions, et il a fait un point de règle à ses disciples de suivre son exemple.

Par son Rosaire quotidien, Montfort convertissait les plus grands pécheurs et les faisait persévérer dans la grâce et la ferveur de leur conversion ; il pouvait dire : « Personne ne m’a résisté une fois que j’ai pu lui mettre la main au collet avec mon Rosaire ! » Il avait mille industries pour propager et faire aimer le Rosaire : là, c’étaient des bannières représentant les mystères du Rosaire ; ailleurs, d’immenses Rosaires qu’on récitait en marchant, dans les églises ou autour des églises, à la manière du chemin de la Croix. Il exaltait le Rosaire dans ses cantiques ; un tonnerre de voix répondait à la sienne, et tous les échos répétaient, de colline en colline, les gloires de cette dévotion bénie.

©Evangelizo.org

 

Cris

jeudi 6 octobre 2011

Mes enfants,

Merci d’entendre le cri des âmes de ce monde pour que Paix et Amour se réalise au travers des enfants de Dieu. Vos prières sont entendues et apportent des bienfaits à vos frères. Il faut poursuivre vos prières et vos sacrifices afin que la gloire du Père et du Fils soit reconnue sur cette terre et permette l’avènement d’un monde nouveau. …/…
Les cris des hommes retentissent aux quatre coins de la terre et par surdité et ignorance ils ne sont entendus que par une minorité silencieuse et en union avec le Père. Dans l’avenir, ces cris seront plus forts, plus aigus et les portes des cœurs s’ouvriront pour étouffer ceux-ci dans l’Amour et la Paix. Les temps viennent de la construction de l’unité et du rassemblement au nom de la Sainte Trinité. L’Esprit Saint insufflera en des temps proches la bonne Parole pour rassembler dans l’Amour et la Paix.

Marie Mère des hommes – octobre 2001
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mercredi 5 octobre 2011

http://youtu.be/ciJUPOWgnyY

SAINT FRANÇOIS D’ASSISE Fondateur (1182-1226)

mardi 4 octobre 2011

La vie de saint François d’Assise est la condamnation des sages du monde, qui regardent comme un scandale et une folie l’humilité de la croix. Il naquit à Assise, en Ombrie. Comme ses parents, qui étaient marchands, faisaient beaucoup de commerce avec les Français, ils lui firent apprendre la langue française et il parvint à la parler si parfaitement, qu’on lui donna le nom de François, quoiqu’il eût reçu celui de Jean au baptême.

Sa naissance avait été marquée par une merveille : d’après un avis du Ciel, sa mère le mit au monde sur la paille d’une étable. Dieu voulait qu’il fût, dès le premier moment, l’imitateur de Celui qui eut pour berceau une crèche et est mort sur une croix. Les premières années de François se passèrent pourtant dans la dissipation ; il aimait la beauté des vêtements, recherchait l’éclat des fêtes, traitait comme un prince ses compagnons, avait la passion de la grandeur ; au milieu de ce mouvement frivole, il conserva toujours sa chasteté.

Il avait une grande compassion pour les pauvres. Ayant refusé un jour l’aumône à un malheureux, il s’en repentit aussitôt et jura de ne plus refuser à quiconque lui demanderait au nom de Dieu. Après des hésitations, François finit par comprendre la volonté de Dieu sur lui et se voua à la pratique de cette parole qu’il a réalisée plus que tout autre saint : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il se renonce lui-même, qu’il porte sa croix et qu’il me suive ! »

Sa conversion fut accompagnée de plus d’un prodige : un crucifix lui adressa la parole ; un peu plus tard, il guérit plusieurs lépreux en baisant leurs plaies. Son père fit une guerre acharnée à cette vocation extraordinaire, qui avait fait de son fils, si plein d’espérance, un mendiant jugé fou par le monde. François se dépouilla de tous ses vêtements, ne gardant qu’un cilice, et les remit à son père en disant : « Désormais je pourrai dire avec plus de vérité : Notre Père, qui êtes aux cieux. »

Un jour, il entendit, à l’évangile de la messe, ces paroles du sauveur : « Ne portez ni or ni argent, ni aucune monnaie dans votre bourse, ni sac, ni deux vêtements, ni souliers, ni bâtons. » Dès lors, il commença cette vie tout angélique et tout apostolique dont il devait lever l’étendard sur le monde. On vit, à sa parole, des foules se convertir ; bientôt les disciples affluèrent sous sa conduite ; il fonda un ordre de religieux qui porta son nom, et un ordre de religieuses qui porte le nom de sainte Claire, la digne imitatrice de François. Ces deux frêles tiges devinrent des arbres immenses.

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Chants et louanges

lundi 3 octobre 2011

Il n’y a qu’Amour et Paix qui règne dans le monde du Seigneur Tout Puissant, et bien des imposteurs parlent en Son nom en bafouant Ses enseignements. Sa miséricorde est telle qu’Il sauvera les repentants d’une vie dissolue et dans la pratique de la tragédie envers autrui. Tout être est amené à être sauvé et pardonné, à lui de faire la démarche du pardon.

Vous devez vous recueillir devant le St Sacrement et demander pardon de vos fautes. Il faut que les églises se remplissent à nouveau avec des chants d’allégresse et de louanges. Les portes de la maison de mon Fils ouvertes, le son mélodieux de vos chants feront frissonner les oreilles des incroyants, ils viendront et comprendront. Alors, ils se joindront à vous dans la prière et la louange. Dieu seul peut si vous lui demandez en union, rétablir la balance de la justice Divine car le fléau est bien bas et la tristesse emplit Son Cœur et ceux de tous les saints.

Soyez forts et tenaces dans l’adversité uniquement avec la bible, votre chapelet et la lumière du cierge béni.

Marie Mère des hommes – septembre 2011

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Les Sts Anges gardiens-Mémoire

dimanche 2 octobre 2011

C’est une vérité de foi que les anges, tout bienheureux qu’ils sont, reçoivent une mission de Dieu auprès des hommes ; les paroles de Notre-Seigneur, l’enseignement des Docteurs et des saints, l’autorité de l’Église, ne nous permettent pas d’en douter. Si les démons, en légions innombrables, rôdent autour de nous comme des lions prêts à nous dévorer, selon la parole de saint Pierre, il est consolant pour nous de songer que Dieu nous a donné des défenseurs plus nombreux et plus puissants que les démons.

C’est au plus tard dès sa naissance que tout homme venant au monde est confié à la garde d’un esprit céleste ; les païens, les hérétiques, les pécheurs eux-mêmes, ne sont pas privés de ce bienfait de Dieu. Il est même certain que divers personnages, en raison de leur situation, comme les rois, les pontifes, ou en raison des vues spéciales de Dieu sur eux, comme nombre de saints, ont parfois plusieurs anges gardiens. Il semble indubitable que non seulement les individus, mais les sociétés et les institutions, sont confiées aussi spécialement à la garde des anges ; l’Église, les royaumes, les provinces, les diocèses, les paroisses, les familles, les ordres religieux, les communautés, ont leurs angéliques protecteurs.

Les anges nous préservent d’une foule de maux et de dangers, ils éloignent de nous les occasions du péché ; ils nous inspirent de saintes pensées et nous portent à la vertu, nous soutiennent dans les tentations, nous fortifient dans nos faiblesses, nous animent dans nos découragements, nous consolent dans nos afflictions. Ils combattent avec nous contre le démon et nous prémunissent contre ses pièges ; si nous tombons, par fragilité ou par malice, ils nous relève par le remords, par les pensées de la foi, par la crainte des jugements de Dieu, et nous procurent divers moyens de conversion : ils portent nos bonnes œuvres et nos prières à Dieu, réparent nos fautes, intercèdent pour nous auprès de la divine miséricorde, suspendent la vengeance céleste au-dessus de nos têtes ; enfin ils nous éclairent et nous soutiennent dans la maladie et à l’heure de la mort, nous assistent au jugement de Dieu, visitent les âmes du purgatoire.

Saint Bernard résume nos devoirs en trois mots : « Quel respect, quel amour, quelle confiance de notre part ne méritent pas les anges ! Respect pour leur présence, amour à cause de leur bienveillance, confiance en leur protection. » Ajoutons un quatrième devoir, la docilité à leurs bonnes inspirations.

©Evangelizo.org