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Archive pour janvier 2011

Possible béatification de Jean-Paul II en 2011

mercredi 12 janvier 2011

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Trois médecins du Vatican ont conclu de la guérison «inexpliquée» d’une religieuse française suite à une prière de l’ancien pape. Un «miracle» nécessaire pour devenir bienheureux.

Deux doutes viennent d’être levés à Rome. Ils portaient sur la béatification de Jean-Paul II. Alors qu’elle avait été quasi annoncée pour 2010, puis ralentie, elle aura très certainement lieu en 2011. Et peut-être même avant l’été. C’est la fin d’un premier doute.

Le «miracle» en effet requis par l’Église catholique pour ouvrir la voie à toute béatification est en passe d’être officiellement reconnu par la congrégation romaine pour la Cause des saints. Et c’est la levée du second doute, car la «guérison par l’intercession de Jean-Paul II» d’une maladie de Parkinson d’une religieuse française, sœur Marie Simon-Pierre, 44 ans, reconnu au niveau diocésain du procès de béatification avait été mis en cause, à l’étape suivante, par l’un des trois médecins spécialistes de la commission médicale internationale du Saint-Siège.

Ce qui a retardé l’ensemble du processus de béatification, car il a fallu vérifier point par point tout le dossier médical de la religieuse et parvenir à un consensus entre les trois spécialistes. Ils ont pu conclure, fin 2010, à une guérison «inexpliquée» par la science. (source : LeFigaro.fr)

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Le Pape s’élève dans le monde pour la reconnaissance de l’Amour et de la Paix, ainsi que pour la reconnaissance du Don du Fils de Dieu. Mais l’homme se fragilise, et Dieu le Père va le rappeler très prochainement auprès de Lui. Le monde lui rendra un immense hommage et l’on parlera d’une demande de sanctification et de canonisation par la suite.

Marie Mère des hommes – septembre 1993

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Signe

lundi 10 janvier 2011

Paroles de Jésus :

« Jean n’avait pas besoin de signe pour lui-même. Son esprit, présanctifié dès le sein de sa mère était en possession de cette vue de l’intelligence surnaturelle qui aurait été le lot de tous les hommes sans la faute d’Adam.

Si l’homme était resté en état de grâce, dans l’innocence et la fidélité à son Créateur, il aurait vu Dieu à travers les apparences extérieures. On dit dans la Genèse que le Seigneur Dieu parlait familièrement avec l’homme innocent et que l’homme ne s’évanouissait pas en entendant cette voix et la discernait sans se tromper. Tel était le sort de l’homme : voir et comprendre Dieu, comme un fils à l’égard de son père. Puis la faute est venue et l’homme n’a plus osé regarder Dieu, n’a pu savoir découvrir et comprendre Dieu. Et il le sait de moins en moins.

Mais Jean, mon cousin Jean, avait été purifié de la faute quand la Pleine de Grâce s’était penchée avec amour pour embrasser celle qui autrefois stérile était devenue féconde, Élisabeth. Le bébé avait sauté de joie dans son sein en sentant les écailles de la faute tomber de son âme comme une croûte qui tombe d’une plaie au moment de la, guérison. L’Esprit Saint qui avait fait de Marie la Mère du Sauveur commença Son œuvre de salut à travers Marie, Ciboire Vivant du Salut Incarné pour cet enfant qui allait naître, destiné à M’être uni, non pas tant par le sang que par la mission qui fit de nous comme les lèvres qui forment la Parole. Jean c’était les lèvres et Moi la Parole. Lui le Précurseur dans l’Évangile et sa destinée de martyr. Moi, Celui qui donne Ma divine perfection à l’Évangile inauguré par Jean et son martyre pour la défense de la Loi de Dieu.

Jean n’avait besoin d’aucun signe, mais pour l’épaisseur de l’esprit des autres, un signe était nécessaire. Sur quoi Jean aurait-il fondé son affirmation sinon sur une preuve irrécusable que les yeux des hommes lents à voir et les oreilles paresseuses auraient perçue ?

Moi, également, je n’avais pas besoin de baptême. Mais la Sagesse du Seigneur avait jugé que ce devait être l’instant et la façon de se rencontrer. En faisant sortir Jean de sa grotte dans le désert et Moi de Ma maison, il nous unit en ce moment pour ouvrir sur Moi le Ciel et en faire descendre Soi-Même, Colombe Divine, sur Celui qui aurait à baptiser les hommes avec cette Colombe et faire descendre du Ciel l’annonce encore plus puissante de cette angélique pensée de Mon Père :  » Voici mon Fils Bien Aimé, en qui je me suis complu « . C’est pour que les hommes n’eussent pas d’excuse ou de doute pour savoir s’ils devraient Me suivre ou non.

Les manifestations du Christ ont été nombreuses. La première, après la naissance fut celle des Mages, la seconde au Temple, la troisième sur les rives du Jourdain. Puis vinrent les autres manifestations innombrables que je te ferai connaître parce que Mes miracles sont des manifestations de Ma nature divine jusqu’aux derniers, de Ma Résurrection et de Mon Ascension au Ciel. Ma patrie fut comblée de Mes manifestations. Comme des semences jetées aux quatre points cardinaux, elles arrivèrent en toute couche et tout endroit de la vie : aux bergers, aux puissants, aux savants, aux incrédules, aux pécheurs, aux prêtres, aux dominateurs, aux enfants, aux soldats, aux Hébreux, aux Gentils.

Maintenant encore, elles se répètent, mais comme alors le monde ne les accepte pas ou plutôt il n’accueille pas les miracles actuels et il oublie ceux du passé. Eh bien, Je ne renonce pas. Je me répète pour vous sauver, pour vous amener à la foi en Moi. »

De l’Evangile selon Maria Valtorta

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« Celui-ci est Mon Fils bien-aimé. »

dimanche 9 janvier 2011

Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 3,13-17.
Jésus, arrivant de Galilée, paraît sur les bords du Jourdain, et il vient à Jean pour se faire baptiser par lui.
Jean voulait l’en empêcher et disait : « C’est moi qui ai besoin de me faire baptiser par toi, et c’est toi qui viens à moi ! »
Mais Jésus lui répondit : « Pour le moment, laisse-moi faire ; c’est de cette façon que nous devons accomplir parfaitement ce qui est juste. » Alors Jean le laisse faire.
Dès que Jésus fut baptisé, il sortit de l’eau ; voici que les cieux s’ouvrirent, et il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui.
Et des cieux, une voix disait : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; en lui j’ai mis tout mon amour. »

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Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris

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Prière

samedi 8 janvier 2011

Calendrier 2011 des neuvaines pour Ardouane

vendredi 7 janvier 2011

Prière (donnée par la Sainte Vierge en 1996)

jeudi 6 janvier 2011
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Seigneur,  Toi le créateur
de toute vie,
Fais que le soleil nous transmette
la chaleur de Ton Amour,
Fais que le vent dégage notre esprit
de toute inquiétude,
Fais que la pluie irrigue le jardin
de nos pensées.
Fais que la neige par sa blancheur
efface l’ignorance de la beauté.
Fais que la fleur éclose soit le reflet
de Ton Sourire.
Fais que l’arbre nous protège de la torridité
de nos excès.
Fais que son ombre nous éveille
à Ta Miséricorde.
Fais que le froid réveille
l’unité des hommes.
Fais que la glace soit le miroir
de Ta Sagesse.
Fais que l’eau désaltère notre soif
de connaissance.
O Seigneur, Toi qui commandes
à tous les éléments,
Fais que l’homme, par le respect de la nature,
vénère toute la création.
Accorde à ton peuple l’ouverture en ta Demeure,
et que, par le tabernacle de la Demeure,
nous partagions Tes Souffrances.
Accorde à Tes enfants d’effeuiller le lys
pour se parer de la Sainteté.
Tu nous as donné la vue, l’ouïe, l’odorat et la parole,
accorde en l’Esprit de nous octroyer
la manière de les employer saintement.
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Merci Seigneur.
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Les yeux du coeur

mercredi 5 janvier 2011

Regardez autour de vous et vous réaliserez l’ampleur de l’Amour de Dieu sur cette terre. Regardez avec les yeux de votre cœur, profitez des éléments de la nature pour vous confondre avec Dieu le Père ; vous comprendrez par une chaleur intense et interne ce qu’est l’Amour que Dieu donne et ne demande en retour que le respect et l’amour d’un fils envers son Père.

Marie Mère des hommes – août 2000

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Plus beau

mardi 4 janvier 2011

C’est comme si tout d’un coup tout devenait plus beau.

C’est comme si tout d’un coup tout devenait plus clair.

Tous les sens en éveil, on redécouvre le monde peu à peu.

C’est un peu comme se réveiller d’une longue nuit et être le témoin d’un spectacle magnifique que l’on a toujours eu devant les yeux mais qu’on ne voyait plus, celui de la vie, de la nature.

C’est un peu comme sortir d’une léthargie profonde ou d’un coma.

Une lumière éclatante, un paysage, une fleur, un être, le bruit de l’eau, la caresse d’une brise, les odeurs de la terre. Tout prend sens, tout prend du relief et la simplicité devient en toute vérité la sophistication suprême.

Et les émotions mêmes, comme révélateur d’une nouvelle réalité, sont exacerbées, transcendées, prolongement des sens et traductrices de ce monde.

Il n’y a plus que des sensations, sans sensiblerie, de l’enthousiasme au sens profond du terme.

Du respect, de l’amour, de la compassion, un regard porté différemment, au delà de toutes les apparences, un sourire du cœur, un battement d’âme et une rencontre d’être à être, d’âme à âme. On peut voir la lumière qui anime cet autre qui est soi, cet autre distinct mais si semblable. L’homme devient un reflet du Créateur, comme l’environnement où il évolue.

Un torrent fort, puissant, emporte tout sur son passage, nettoie en profondeur, purifie, et vous transporte dans son élan, dans son voyage.

Toute la Création dans son immensité, dans sa diversité apparaît belle, simplement belle.

Et l’on redevient humble devant tant de perfection et de beauté.

Et l’on redevient un avec ce tout auquel on appartient.

On voit alors le monde avec les yeux de l’Amour.

On voit alors le monde avec les yeux de Dieu.

Frédéric B.

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Regard nouveau

lundi 3 janvier 2011


« Quand la neige recouvre les monts, votre regard ignore le temps mais admire la beauté. » Il en est ainsi des éléments naturels de votre monde, car tout ceci est création de Dieu le Père, mais il vous faut voir avec les yeux du cœur.
Voici ces quelques mots afin d’édifier en vous-mêmes le regard du cœur aux merveilles de Dieu le Père, à Son Amour sans fin, à Son Pardon et Sa très grande Miséricorde. A vous, mes enfants, l’Eternel offre Sa Bénédiction: «Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit».

Marie Mère des hommes – décembre 2010

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Épiphanie du Seigneur

dimanche 2 janvier 2011

L’or, l’encens et la myrrhe

Guidés par l’étoile, les mages venant d’Orient jusqu’à Bethléem sont entrés dans la maison où la bienheureuse Vierge Marie demeurait avec l’enfant ; ouvrant leurs trésors, ils ont offert trois dons au Seigneur : l’or, l’encens et la myrrhe, par lesquels ils l’ont confessé vrai Dieu, vrai homme et vrai roi.

Ce sont bien les dons que la sainte Eglise ne cesse d’offrir à Dieu son Sauveur. Elle offre l’encens lorsqu’elle le confesse et croit en lui comme étant le véritable Seigneur, créateur de l’univers ; elle offre la myrrhe lorsqu’elle affirme qu’il a pris la substance de notre chair, dans laquelle il a voulu souffrir et mourir pour notre salut ; elle offre l’or quand elle n’hésite pas à proclamer qu’il règne éternellement avec le Père et l’Esprit Saint…