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Archive pour mars 2010

Neuvaine à St Padre Pio

mercredi 31 mars 2010

Toi, qui a touché la sensibilité et la réflexion humaines par ton chemin de croix terrestre, adresse à notre Père Céleste les suppliques de ses serviteurs aveuglés et sourds à la passion du Fils Notre Seigneur.

Que le sang qui fut versé par ton corps serve à notre éducation et notre évolution pour la gloire de Marie Mère des hommes et pour que sa Demeure soit le dôme de la nouvelle chrétienté. Par ton intercession, permets que nous soyons emplis d’Amour et de Paix, et que soit libéré de nos cœurs l’ostracisme séculier. Fais que dans tout notre être circule la douce chaleur de la compréhension pascale.

Que notre cause soit entendue et sanctifiée par votre intercession et permette l’affranchissement de ce monde au saint enseignement de la Parole Divine ; qu’elle soit entendue et vécue par les serviteurs de Dieu pour la réalisation de la Maison Mariale.

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Rejoignez notre groupe pour prier nos neuvaines sur le site internet :

www.associationdemarie.org (rubrique prières)

Fraternité

mardi 30 mars 2010

« Je vous demande, mes enfants, aujourd’hui, avant que soit fait le châtiment humain auprès de mon Fils, de lui accorder tout votre amour de frères, d’amis. Je vous demande cette fraternité avec Lui, et cette fraternité avec Lui, il faut qu’elle soit correspondante avec tous les gens qui sont autour de vous. Je vous demande, mes enfants, d’être aimants avec tous les gens qui sont autour de vous, tous ceux avec qui vous avez des griefs. Oui, c’est aujourd’hui que je vous demande de donner le pardon, de pardonner comme mon Fils a pardonné en donnant Son sang. Car par ce sang, Il a éclairci votre vie. Donc, vous par votre pardon auprès de ceux que vous appelez vos ennemis, vous allez pouvoir vivre plus sereinement et eux aussi. Il faut pardonner, pardonner. Que vous apporte la culpabilité ? Que vous apporte la haine ? Que vous apporte la trahison ? Ce ne sont que des mots, des agissements qui ne viennent pas de Dieu. Dieu le Père ne demande que deux choses : la première, c’est l’Amour et la Paix, et la deuxième, c’est l’osmose des peuples, de tous Ses enfants, c’est le rassemblement de tous Ses fils auprès de Lui. »

Marie Mère des hommes – mars 2010

Cascade

lundi 29 mars 2010

« Mes enfants, aujourd’hui, je vous vois, vous êtes cette rivière, cette cascade, cette eau claire, cette eau emplie de poissons qui se régalent de cette eau. Vous êtes cette eau vive qui permet de nourrir la nature, qui permet aux animaux de vivre, qui permet aux fleurs de s’épanouir, qui permet aux arbres de grandir. Vous êtes cette eau, cette purification de la nature. Ceci, c’est votre symbole. Vous êtes cette eau purificatrice, celle qui doit renouveler toute la nature humaine. Il faut que les arbres grandissent. »

Marie Mère des hommes – mars 2010

Semaine Sainte

dimanche 28 mars 2010

Cette semaine s’ouvre par le Dimanche des Rameaux, considéré comme l’une des 12 grandes fêtes de l’année liturgique. C’est un dimanche festif, car il célèbre l’entrée du Christ à Jérusalem, où il est accueilli triomphalement par le peuple tenant des rameaux. Les fidèles apportent ce jour des rameaux et le prêtre les bénit. Cependant, la venue du Christ à Jérusalem marque le début de la Passion du Christ, vers laquelle Il s’avance volontairement. Ce dimanche ouvre donc la Semaine Sainte.
« Nous tenons à la main ces rameaux pour acclamer le triomphe du Christ. Pour que nous portions en Lui des fruits qui Te rendent gloire, donne-nous de vivre comme Lui en faisant le bien. » (prière de la bénédiction des rameaux)

Grand pèlerinage à Lourdes

samedi 27 mars 2010

17 et 18 avril 2010

Samedi 17 avril

Départ en bus de St Gilles à 5 h.

Arrêts prévus à Nîmes – sortie autoroute Caissargues – (5h30),

Lunel – sortie autoroute – (6h), Montpellier sud – Géant Casino – (6h30),

Bessan – sortie autoroute – (7h15), Béziers est (7h45), Narbonne est (8h30),

Carcassonne (9h15)

Arrivée à Lourdes vers 12h. Repas sorti du sac

Installation à l’hôtel (50 m. Porte St Michel)

Après-midi : chapelet à la grotte, chemin de Croix ou procession possible

Repas à l’hôtel

Procession Mariale

Dimanche 18 avril : Petit déjeuner, messe et matinée libre

Repas à 12h à l’hôtel et retour en bus

Prix 90 € (Comprenant le trajet en bus, la pension complète, base chambre double, du samedi soir au dimanche midi et l’assurance. Prévoir un supplément pour chambre individuelle.).

Réservations obligatoires avant le vendredi 9 avril 2010

(tél. : 04 66 20 92 53 ou 04 66 01 39 74)

Bulletin n°21

vendredi 26 mars 2010

Télécharger le bulletin n°21

Annonciation

mercredi 24 mars 2010

Botticelli - L'annonciation

« Salut, Marie, pleine de Grâce, salut !  »

La voix est un doux accord, comme des perles qui tombent sur un métal précieux. Marie tressaille et baisse les yeux. Et elle tressaille davantage quand elle voit cette créature de lumière agenouillée à un mètre environ de distance d’elle, les mains croisées sur la poitrine la regardant avec un infini respect. Marie se dresse debout et se serre contre le mur. Elle devient pâle, puis rouge. Son visage exprime étonnement, effarement. Elle serre inconsciemment les mains sur son sein, en les cachant sous ses longues manches. Elle se courbe presque pour cacher le plus possible son corps. Une attitude de suave pudeur…

« Non. Ne crains pas. Le Seigneur est avec Toi ! Tu es bénie entre toutes les femmes.  »

Mais Marie continue à craindre. D’où est venu cet être extraordinaire ? Est-ce un envoyé de Dieu ou du Trompeur ?

« Ne crains pas, Marie ! » répète l’Archange.

« Je suis Gabriel, l’Ange de Dieu. Le Seigneur m’a envoyé vers Toi. Ne crains pas parce que tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Et maintenant, tu vas concevoir dans ton sein et enfanteras un Fils et tu Lui donneras comme nom Jésus. »

Extrait de l’Evangile selon Maria Valtorta

Croix

lundi 22 mars 2010

flamme« Mon Fils est là, mon Fils vous observe, mon Fils vous aime, mon Fils vous accorde Sa Bénédiction ; mais l’homme dresse à nouveau la croix pour Son corps. Vous allez rentrer dans un temps de prières, de sacrifices, il faut que vous partagiez les souffrances du Christ, il faut que vous apportiez votre obole afin que Dieu ne soit pas crucifié une deuxième fois, car l’homme, par son attitude et son désaveu de la foi, ramène Dieu à Son supplice. Mon Fils souffre de l’incompréhension, mon Fils souffre de tous ces cœurs fermés à l’Amour et à la Paix. Mais Il est heureux, Il est heureux aussi de constater que nombre d’hommes viennent prier, viennent le rencontrer dans Sa Demeure. Sa Demeure va grandir dans la foi, vous aurez l’espérance en vos cœurs, vous aurez le soutien de mon Fils, vous aurez mon amour de mère, vous aurez le soutien de tous les Saints au travers des démarches qui vont venir. »
Marie Mère des hommes – juillet 1996

5e dimanche de Carême

samedi 20 mars 2010

Gustave Doré - Jésus et la femme adultère

La femme adultère – Jean 8; 1-11

Dès le point du jour, selon son habitude quand il venait à Jérusalem, Jésus, assis au parvis du Temple, se met à enseigner ceux qui se pressent autour de lui. Brusquement, il est interrompu par un groupe de scribes et de Pharisiens. Ils poussent devant eux, sans ménagement, une femme apeurée. Riche ou pauvre ? on ne sait pas, ce qui est sûr, c’est qu’on l’a surprise en adultère. « Maître, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes?là. Et toi, qu’en dis?tu ? »

Le piège est bien monté : si Jésus répond :« Laissez?la aller ! », on lui rétorquera :« Tu contredis la Loi de Moïse ! » ; si Jésus la laisse mettre à mort, il va contre l’autorité romaine qui se réserve, à l’époque, toutes les exécutions capitales. « Toi, qu’en dis?tu ? » … la réponse ne vient pas.

Jésus s’est baissé et trace des traits sur le sol, sans regarder personne, comme absorbé dans ses pensées. Autour de lui les Pharisiens commencent à s’énerver ; Jésus alors se redresse : « Que celui d’entre vous qui n’a jamais péché lui jette la première pierre ! » Réponse merveilleuse !

D’une part Jésus prend les scribes à contre?pied, en citant à son tour un précepte de la Loi. En effet, d’après le Deutéronome, quand une sentence de mort a été prononcée, la Loi ordonne :« La main des témoins sera la première sur l’accusé pour le faire mourir, et la main de tout le peuple ensuite » (Dt 17,5?7). Mais en même temps, comme dans la parabole de la paille et de la poutre, Jésus remet les scribes et les Pharisiens devant leur propre condition de pécheurs : … vous n’avez le droit de la punir que si vous?mêmes n’êtes pas condamnables !

Jésus de nouveau se baisse pour écrire sur le sol. Et voilà que tous les accusateurs, l’un après l’autre, s’éloignent, en commençant par les plus vieux, probablement les moins innocents, ou les plus lucides sur le cœur de l’homme.

On se demande parfois ce que Jésus traçait ainsi sur le sol. Certains imaginent que Jésus inscrivait des péchés, mais les Pharisiens savaient lire, et dans ce cas ils n’auraient pas « persisté » à lui poser des questions ! De plus ce qui a décidé les accusateurs à partir, ce n’est pas ce qu’ils ont vu ou lu par terre, mais ce qu’ils ont entendu de la bouche de Jésus, concernant la première pierre : « Après avoir entendu ces paroles, ils se retirèrent l’un après l’autre. »

L’important est donc non pas ce que Jésus traçait sur le sol ? et que l’Évangéliste ne nous rapporte pas ? mais le fait qu’il écrivait ; et l’on peut le comprendre de deux façons :

  • ou bien Jésus, ostensiblement, traçait des signes avec son doigt comme certains griffonnent machinalement sur leur page quand une conférence ou une réunion les ennuie. Jésus dirait par là aux Pharisiens : votre affaire ne me concerne pas ; tout cela m’ennuie profondément, et je n’entrerai pas dans votre piège sordide.
  • ou bien, rien que par son geste d’écrire sur le sol, Jésus renverrait les Pharisiens à un texte sévère du prophète Jérémie : « Seigneur, espoir Israël, tous ceux qui t’abandonnent seront confondus, ceux qui se détournent de toi seront inscrits sur la terre, car ils t’ont abandonné, toi, la source des eaux vives ! » (Jr 17,13)

Être inscrit sur la terre, c’est disparaitre avec le premier souffle de vent, et, par son geste symbolique, Jésus semble répondre aux Pharisiens, à la manière des Prophètes : « Vous condamnez cette femme ? À ce compte?là vous seriez tous inscrits par Dieu pour la condamnation ! »

Tous les accusateurs se sont éloignés. Ils restent à deux au milieu du cercle : la femme et Jésus, la misère et la miséricorde. Jésus se redresse : « Femme, où sont?ils ? Personne ne t’a condamnée ? » Jésus dit : « Femme » ; et dans Sa bouche, c’est toujours un terme de respect. C’est celui qu’Il emploie pour la Samaritaine, et même pour Sa Mère Marie, à Cana et à la Croix.

St Joseph

jeudi 18 mars 2010

A toi, l’habile charpentier de la Demeure Divine, intercède pour que soit relevée la maison Mariale, afin que règne la tendresse de cette Mère attachante. Toi, le régisseur de la famille Divine, enseigne-nous la sagesse pour nous rendre comptables des enfants de Dieu, et que, par cet acte, nous puissions ramener à Dieu, sous la tutelle de Marie, Mère des hommes, toutes les brebis égarées.

Fais l’équilibre en nous de nos tâches terrestres et célestes ; sois le trait d’union qui réalisera en nous la splendeur de l’éternelle Demeure dans un souffle d’Amour et de Paix.

Diversifie les serviteurs de Dieu, afin que la Demeure de Marie soit l’exemple de la quiétude dans le cœur des insoumis, des incompris et des révoltés.

Que cette cause soit entendue et sanctifiée par votre intercession et permette l’affranchissement de ce monde au saint enseignement de la Parole Divine ; qu’elle soit entendue et vécue par les serviteurs de Dieu pour la réalisation de la Maison Mariale.