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Archive pour janvier 2010

Ouvrez la porte

jeudi 28 janvier 2010

la-porte« Mes enfants, aujourd’hui vous arrivez à une porte, cette porte, elle va s’ouvrir. Il y aura une luminosité. Cette luminosité correspond à l’avenir, à l’avenir bleuté, merveilleusement éclairé. Vous verrez des choses que vous n’avez jamais vues, vous entendrez des choses que vous n’avez jamais entendues, vous ressentirez des choses que vous n’avez jamais ressenties. Je suis là, je vous attends à cette porte. Ouvrez-la, ouvrez-la et en peu de temps ma Maison s’ouvrira et des chapelets de fleurs tomberont sur elle. »

Marie Mère des hommes – sept. 2009

bulletin n°19

mercredi 27 janvier 2010
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Semaine de prière pour l’unité des Chrétiens

lundi 18 janvier 2010

unite_2010« Mes enfants, je suis heureuse de vous voir rassemblés, nombreux, croyants, fervents. Alors vous vous donnerez la main et vous avancerez ensemble pour que soit faite la Volonté Divine, pour que soit faite l’Union des hommes, l’osmose des hommes avec leur Père. Soyez ouverts, que votre cœur soit pénétré de cette eau sacrée, celle qui coule dans tous les ruisseaux. Soyez imprégnés de cette eau pure, celle qui permet aux rivières de devenir fleuves, de devenir des mers. Cette eau qui vous permet de vivre et de faire vivre. »

Marie Mère des hommes – mars 2009

Cana

dimanche 17 janvier 2010
Les noces de Cana - Giotto

Les noces de Cana - Giotto

“Femme, qu’y a-t-il, désormais entre Moi et Toi?” Jésus en disant cette phrase sourit encore plus doucement et Marie sourit, comme deux qui savent une vérité qui est leur joyeux secret que tous les autres ignorent. Marie ordonne aux serviteurs: “Faites ce que Lui vous dira.” Marie a lu dans les yeux souriants de son Fils l’assentiment, voilé d’un grand enseignement pour tous les “appelés”. Et Jésus ordonne aux serviteurs: “Emplissez d’eau les cruches.” Je vois les serviteurs emplir les jarres de l’eau apportée du puits. (J’entends le grincement de la poulie qui monte et descend le seau qui déborde). Je vois le majordome qui se verse un peu de ce liquide avec un regard de stupeur, qui l’essaie avec une mimique d’un plus grand étonnement et le goûte. Il parle au maître de maison et à l’époux son voisin. Marie regarde encore son Fils et sourit; puis recevant un sourire de Lui, incline la tête en rougissant légèrement. Elle est heureuse. Dans la salle passe un murmure. Les têtes se tournent vers Jésus et Marie. On se lève pour mieux voir. On va vers les jarres. Un silence, puis un chœur de louanges à Jésus. Mais Lui se lève et dit une seule parole: “Remerciez Marie” et puis, il quitte le repas. Sur le seuil il répète: “La paix à cette maison et la bénédiction de Dieu sur vous” et il ajoute: “Mère, je te salue.”

Jésus m’explique le sens de la phrase. “Ce « désormais », que beaucoup de traducteurs passent sous silence, est la clef de la phrase et l’explique avec son vrai sens. Je fus le Fils soumis à la Mère, jusqu’au moment où la volonté de mon Père m’indiqua que l’heure était venue d’être le Maître. À partir du moment où ma mission commença, je ne fus plus le Fils soumis à sa Mère, mais le Serviteur de Dieu. Les liens qui M’unissaient à Celle qui m’avait engendré étaient rompus. Ils s’étaient transformés en liens de plus haut caractère. Ils s’étaient tous réfugiés dans l’esprit. L’esprit appelait toujours « Maman » Marie, ma Sainte. L’amour ne connut pas d’arrêt, ne s’attiédit pas, au contraire, il ne fut jamais aussi parfait que lorsque, séparé d’Elle pour une seconde naissance, Elle me donna au monde, pour le monde, comme Messie, comme Évangélisateur. Sa troisième, sublime maternité mystique, ce fut quand, dans le déchirement du Golgotha, Elle m’enfanta à la Croix, en faisant de Moi, le Rédempteur du monde.  » Qu’y a-t-il désormais entre Moi et Toi? « . J’étais d’abord tien, uniquement tien. Tu me commandais, Je t’obéissais. Je t’étais soumis « . Maintenant, j’appartiens à ma mission. Ne l’ai-je peut-être pas dit? « Celui qui met la main à la charrue et se retourne pour saluer ceux qui restent, n’est pas apte au Royaume de Dieu ». J’avais mis la main à la charrue pour ouvrir avec le soc, non pas la glèbe mais les cœurs, pour y semer la parole de Dieu. Je ne l’avais enlevée cette main que quand on me l’avait arrachée de là pour la clouer à la Croix et pour ouvrir par la torture de ce clou le Cœur de mon Père en faisant sortir de la plaie le pardon pour l’humanité. Ce « désormais », oublié par plusieurs, voulait dire ceci: « Tu m’as été tout, ô Mère tant que je fus le Jésus de Marie de Nazareth et tu m’es tout en mon esprit mais, depuis que je suis le Messie attendu, j’appartiens à mon Père. Attends encore un peu et ma mission terminée, je serai de nouveau tout à toi. Tu me recevras encore dans tes bras comme quand j’étais petit et personne ne te le disputera plus, ce Fils qui est le tien que l’on regardera comme la honte de l’humanité, dont on te jettera la dépouille pour te couvrir toi aussi de l’opprobre d’être la mère d’un criminel. Et puis tu m’auras de nouveau, triomphant et puis, tu m’auras pour toujours, triomphante toi aussi, au Ciel. Mais maintenant, j’appartiens à tous ces hommes et j’appartiens au Père qui m’a envoyé vers eux ». Voilà ce que veut dire ce petit « désormais », si chargé de signification.” Jésus m’a donné cette instruction: “Quand j’ai dit aux disciples: « Allons faire plaisir à ma Mère » j’avais donné à la phrase un sens plus relevé qu’il ne semblait. Ce n’était pas le plaisir de me voir, mais d’être l’Initiatrice de mon activité miraculeuse et la Première Bienfaitrice de l’humanité. Gardez-en toujours le souvenir. Mon premier miracle est arrivé par Marie. Le premier. Symbole que Marie est la clef du miracle. Je ne refuse rien à ma Mère et, à cause de sa prière, J’avance même le temps de la grâce. Je connais ma Mère, la seconde en Bonté après Dieu. Je sais que vous faire grâce, c’est la faire heureuse puisqu’Elle est la « Toute Amour ». Voilà pourquoi j’ai dit, Moi qui savais: « Allons lui faire plaisir ». En outre, j’ai voulu rendre manifeste au monde sa puissance en même temps que la mienne. Destinée à être unie à Moi dans la chair – car nous fûmes une seule chair: Moi en Elle, et Elle autour de Moi, comme des pétales de lis autour d’un pistil odorant et plein de vie – unie à Moi dans la douleur – car nous fûmes sur la Croix, Moi avec ma chair, Elle avec son esprit, de même que le lis exhale son parfum avec sa corolle et l’essence qu’on en tire – il était juste qu’Elle me fût unie dans la puissance qui se manifeste au monde. Je vous dis à vous ce que Je disais aux invités: « Remerciez Marie. C’est par Elle que vous avez eu le Maître du miracle et que vous avez toutes mes grâces, spécialement celles du pardon ». Repose en paix. Nous sommes avec toi.”
Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro Editoriale Valtortiano, Italie. http://www.mariavaltorta.com/

Intentions de prières pour les haïtiens

mardi 12 janvier 2010

terre1« Il est un moment de silence qui doit être fait et accordé à ceux qui sont partis sans le désir de partir, parce que l’homme couvre la terre de béton, et la terre, de ce béton, n’en veut pas. Que de catastrophes inutiles, inhumaines font souffrir. Mes enfants, Dieu vous demande de participer. Il suffit d’une aide à ces déshérités qui sont partis. Faites-le. Mes enfants, la terre tremble et tremblera encore et les eaux engloutiront, et les montagnes s’effondreront. Le temps est à la prière, au respect, à l’amour et à la paix pour répondre à certaines questions. Il fut différentes périodes : primaire, secondaire, tertiaire, quaternaire, ce n’est pas les gaz, le carbone qui a détruit la terre. La terre bouge, la terre bouge parce que l’homme fait bouger la terre. L’homme se croit puissant, il défie la nature. Il veut contrôler la nature. La nature est nature et se rebelle. Ne cherchez pas des excuses là où il n’y en a pas. Et tous ceux qui jurent, mot qui ne doit pas être prononcé, ces gens là font des promesses qu’ils ne tiendront pas. Tout ce qui est à l’heure actuelle n’est qu’une avalanche de profit. Vous avez, vous, vous ici et beaucoup d’autres ailleurs,  la chance, et la possibilité par la prière de permettre l’évolution de ce monde vers une égalité d’amour et de paix. Rien ne se fait sans l’amour, sans la paix. »

Marie Mère des hommes – janvier 2010

Bonne et Sainte année 2010

vendredi 1 janvier 2010

colombe-heureuse-annee-gif

« A tous ceux qui lisent mes messages, j’accorde mon amour maternel et je demande l’engagement de chacun et de tous, pour apporter l’union sur cette terre. J’ai déjà appelé, j’appellerai encore, ouvrez-moi vos cœurs que je puisse combler votre ignorance. Venez dans la foi de connaître Dieu dans autrui, pour illuminer cette terre d’un amour éternel. »

Marie Mère des hommes – décembre 1993