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Archive pour le mot-clef ‘St Jean Baptiste’

Révélations

vendredi 17 décembre 2010

« A partir du Baptiste le Royaume des Cieux appartient à ceux qui savent le conquérir par la force opposée au Mal et ce sont les violents qui le conquièrent. Car maintenant, on connaît ce qu’il faut faire et tout est donné pour cette conquête. Ce n’est plus le temps où ne parlaient que la Loi et les Prophètes. Eux ont parlé jusqu’à Jean. Maintenant c’est la Parole de Dieu qui parle et elle ne cache pas un iota de ce qu’il faut savoir pour cette conquête. Si vous croyez en Moi, vous devez donc voir Jean comme l’Élie qui doit venir. Qu’entende qui a des oreilles pour entendre. »

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Et Jésus, levant les yeux vers le ciel qui s’assombrit vers le soir, s’écrie :  » Je te remercie, ô Père, Seigneur du Ciel et de la Terre, d’avoir caché ces choses aux sages et aux savants et de les avoir révélées aux petits. C’est ainsi, Père, parce que c’est ainsi qu’il t’a plu de le faire. Tout m’a été remis par mon Père, et personne ne le connaît en dehors du Fils et de ceux auxquels le Fils aura voulu le révéler. Et Moi, je l’ai révélé aux petits, aux humbles, aux purs, car Dieu se communique à eux, et la vérité descend comme une semence sur les terres libres, et sur elle le Père fait pleuvoir ses lumières pour qu’elle s’enracine et produise une plante. En vérité le Père prépare ces esprits de ceux qui sont petits par l’âge ou par leur volonté pour qu’ils connaissent la vérité et que j’aie la joie de leur foi. »

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Extrait de la Traduction de “L’évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta ©Centro

Troisième dimanche de l’Avent

dimanche 12 décembre 2010

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 11,2-11.

La Vierge au chardonneret (avec l'Enfant-Jésus et saint Jean Baptiste enfant), par Raphaël (1507).

Jean le Baptiste, dans sa prison, avait appris ce que faisait le Christ. Il lui envoya demander par ses disciples :
« Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? »
Jésus leur répondit : « Allez rapporter à Jean ce que vous entendez et voyez :
Les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres.
Heureux celui qui ne tombera pas à cause de moi ! »
Tandis que les envoyés de Jean se retiraient, Jésus se mit à dire aux foules à propos de Jean : « Qu’êtes-vous allés voir au désert ? un roseau agité par le vent ?. . .
Alors, qu’êtes-vous donc allés voir ? un homme aux vêtements luxueux ? Mais ceux qui portent de tels vêtements vivent dans les palais des rois.
Qu’êtes-vous donc allés voir ? un prophète ? Oui, je vous le dis, et bien plus qu’un prophète.
C’est de lui qu’il est écrit : Voici que j’envoie mon messager en avant de toi, pour qu’il prépare le chemin devant toi.
Amen, je vous le dis : Parmi les hommes, il n’en a pas existé de plus grand que Jean Baptiste ; et cependant le plus petit dans le Royaume des cieux est plus grand que lui.

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris

Deuxième dimanche de l’Avent

dimanche 5 décembre 2010

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 3,1-12.
En ces jours-là, paraît Jean le Baptiste, qui proclame dans le désert de Judée :
« Convertissez-vous, car le Royaume des cieux est tout proche. »
Jean est celui que désignait la parole transmise par le prophète Isaïe : A travers le désert, une voix crie : Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route.
Jean portait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins ; il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.
Alors Jérusalem, toute la Judée et toute la région du Jourdain venaient à lui,
et ils se faisaient baptiser par lui dans le Jourdain en reconnaissant leurs péchés.
Voyant des pharisiens et des sadducéens venir en grand nombre à ce baptême, il leur dit : « Engeance de vipères ! Qui vous a appris à fuir la colère qui vient ?
Produisez donc un fruit qui exprime votre conversion,
et n’allez pas dire en vous-mêmes : ‘Nous avons Abraham pour père’ ; car, je vous le dis : avec les pierres que voici, Dieu peut faire surgir des enfants à Abraham.
Déjà la cognée se trouve à la racine des arbres : tout arbre qui ne produit pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu.
Moi, je vous baptise dans l’eau, pour vous amener à la conversion. Mais celui qui vient derrière moi est plus fort que moi, et je ne suis pas digne de lui retirer ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et dans le feu ;
il tient la pelle à vanner dans sa main, il va nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier. Quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s’éteint pas. »