Saint Thomas est l’un des douze apôtres accompagnant Jésus. Son nom signifie jumeau en araméen, tout comme son surnom Didyme, qui en est la traduction grecque.
Thomas symbolise le doute. Évangélisateur des Indes, c’est pour avoir construit un palais pour un roi que Thomas est représenté avec une équerre d’architecte. Il est parfois également représenté avec la lance qui fut l’instrument de sa mise à mort.
Dans l’Evangile selon St Jean, Thomas ne crut pas à la Résurrection, avant d’avoir vu les marques de la Crucifixion. « Thomas, appelé Didyme, l’un des douze, n’était pas avec eux lorsque Jésus vint. Les autres disciples lui dirent donc : Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point. Huit jours après, les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d’eux, et dit : La paix soit avec vous ! Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. Thomas lui répondit : Mon Seigneur et mon Dieu ! Jésus lui dit : Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! » (Jn 20, 24-29).
« Mes enfants, dans l’union de tous les Saints qui prient, qui essaient de soulager cette terre, même si l’homme dans son erreur continue et persévère vers l’anti-foi, sachez que la foi finira grandie et plus puissante qu’elle ne l’a jamais été et pour le respect de Dieu le Père et l’amour de tous les hommes. N’ayez crainte, n’ayez crainte ! »
« La discrétion extrême avec laquelle Joseph accomplit le rôle que Dieu lui avait confié met encore davantage en évidence sa foi, qui consista à se placer toujours à l’écoute du Seigneur, en cherchant à comprendre sa volonté, afin d’obéir à celle-ci de tout son cœur et de toutes ses forces. C’est pourquoi l’Evangile le définit comme un homme « juste » (Mt 1, 19). En effet, le juste est une personne qui prie, qui vit de la foi et qui cherche à accomplir le bien en chaque circonstance concrète de la vie. »
Jeudi 11 février 1858, Bernadette Soubirous se rend le long du Gave de Pau pour ramasser des os et du bois mort. Du fait de sa santé précaire, elle hésite à traverser le Gave, glacial, comme sa sœur et son amie. « Fais comme nous ! » lancent les filles à Bernadette. Elle est alors surprise par un bruit et lève la tête vers la grotte de Massabielle : J’aperçus une dame vêtue de blanc : elle portait une robe blanche, un voile blanc également, une ceinture bleue et une rose jaune sur chaque pied » L’anniversaire de cette première apparition fut l’occasion du grand Jubilé en 2008.