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Archive pour le mot-clef ‘Dieu le Père’

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 17,1-11a.

mardi 10 mai 2016

letter-en ce temps-là, Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, l’heure est venue. Glorifie ton Fils afin que le Fils te glorifie.
Ainsi, comme tu lui as donné pouvoir sur tout être de chair, il donnera la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés.
Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ.
Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire.
Et maintenant, glorifie-moi auprès de toi, Père, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde existe.
J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu as pris dans le monde pour me les donner. Ils étaient à toi, tu me les as donnés, et ils ont gardé ta parole.
Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi,
car je leur ai donné les paroles que tu m’avais données : ils les ont reçues, ils ont vraiment reconnu que je suis sorti de toi, et ils ont cru que tu m’as envoyé.
Moi, je prie pour eux ; ce n’est pas pour le monde que je prie, mais pour ceux que tu m’as donnés, car ils sont à toi.
Tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi ; et je suis glorifié en eux.
Désormais, je ne suis plus dans le monde ; eux, ils sont dans le monde, et moi, je viens vers toi.»

 

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Le Seigneur a prononcé cette prière la veille de sa Passion. Mais il n’est pas hors de propos de l’appliquer au jour de l’Ascension, au moment où il allait quitter définitivement ses « petits enfants » (Jn 13,33), qu’il confiait à son Père. Lui, qui au ciel enseigne et dirige la multitude des anges qu’il a créés, s’était attaché sur la terre un « petit troupeau » (Lc 12,32) de disciples pour les instruire tandis qu’il était présent dans la chair, jusqu’au moment où, leur cœur s’étant élargi, ils pourraient être conduits par l’Esprit. Il aimait ces tout-petits d’un amour digne de sa grandeur. Il les avait détachés de l’amour de ce monde ; il les voyait renoncer à tout espoir d’ici-bas et ne dépendre que de lui seul. Cependant tant qu’il vivait avec eux dans son corps, il ne leur a pas prodigué à la légère les marques de son affection : il s’est montré avec eux plus ferme que tendre, comme il convient à un maître et à un père.

Mais lorsque le moment est venu de les quitter, il semble vaincu par la tendre affection qu’il leur portait, et il ne peut plus leur dissimuler l’immensité de sa douce bonté… D’où ces mots : « Comme il avait aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu’au bout » (Jn 13,1). Car il a répandu alors en quelque sorte toute la force de son amour pour ses amis avant de se répandre lui-même comme de l’eau pour ses ennemis (Ps 21,15). Il leur a livré le sacrement de son corps et de son sang et leur a prescrit de le célébrer. Je ne sais pas ce qu’il faut admirer le plus : sa puissance ou sa charité, lorsqu’il a inventé cette nouvelle manière de demeurer avec eux pour les consoler de son départ.

Bienheureux Guerric d’Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
Sermon pour l’Ascension, 1-2 : PL 185, 153-155 (trad. Orval rev. ; cf SC 202, p. 273).

 

 

Carême 2016 – jour 34

samedi 19 mars 2016

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Mes enfants, Dieu le Père par Sa Miséricorde sauve les hommes, mais en ces temps le monde tourne le dos à la Vérité. L’homme se sélectionne par lui-même en oubliant l’élément essentiel de sa vie ; celle-ci est donnée par Dieu le Père et au travers de Lui, tout est osmose dans l’Amour et la Paix.
La liberté accordée à l’homme est une forme de sagesse d’évolution et de compréhension ; mais l’homme n’en a gré et suit « ses voix intérieures », celles de la cupidité, du désintéressement d’autrui et ne désire au contraire que s’accorder ce qui ne lui appartient pas.
L’homme n’est point en ces temps l’image du Père Eternel, mais uniquement le reflet de son ignorance et de sa cécité volontaire. Dieu le Père est présent, mais chacun en son for intérieur Lui attribue des mérites qui ne sont que le reflet de l’égoïsme humain. L’évolution se fait au travers des hommes et ce tournant prochain de son attitude ne servira que désappointements et larmes de sang.

Marie Mère des hommes – février 2003

 

 

 

 

Carême 2016 – jour 18

mardi 1 mars 2016

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Mes enfants, priez, priez, priez ; le temps passe et il faut accentuer vos prières et vos dons de jeûne et d’aide à autrui pour ralentir le bras de Dieu le Père ; son épée frappera de sa justice la terre, et en séparera la lie du vrai jus de raisin. Soyez prêts dans la prière et la contemplation afin de surmonter les épreuves de l’équité.

Marie Mère des hommes – avril 1996

 

 

 

 

Carême 2016 – jour 16

samedi 27 février 2016

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Mes enfants, il faut que vous accordiez votre temps à mon appel ; pensez à moi au travers de votre journée, et ainsi je pourrai soulager vos peines et vous libérer pour prier. Laissez-moi vous prendre par la main tout au long de votre vie pour vous amener aux pieds de mon Fils qui vous accordera Sa Bénédiction et Son Pardon. Mon Fils attend votre venue, et pourtant vous tardez tant à vous présenter. Venez, mes enfants, mon Fils vous habillera d’un blanc étincelant afin que vous soulagiez ceux qui en ont grand besoin. Je pleure de votre monde d’indifférence et de violence, venez faire le don de vous-même pour accorder votre amour à autrui et à son évolution vers le chemin de Dieu le Père.

Marie Mère des hommes – mars 1996

 

 

 

Carême 2016 – jour 12

mardi 23 février 2016

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Mes enfants, il faut que votre chapelet, apposé au-devant de vous, serve à l’ouverture de toutes les portes et au nivellement de toutes vos embûches. C’est le signe de votre foi envers Dieu le Père, c’est le signe de votre union envers mon Fils, c’est le signe de reconnaissance de mes enfants chéris. Mais à vous particulièrement, je demanderai l’effort d’aller chercher vos autres frères absents pour les unir à l’évolution du plan Divin.
Ma parole se tarit et mes larmes ne sont que flot incessant, et pourtant vous faites en chacun un petit effort d’union, mais il faut intensifier auprès de mon Fils la prière d’unification. Au travers de la crucifixion, mon Fils vous a délivrés et libérés, et au travers de cette croix vous aurez l’union des hommes pour le seul peuple Divin.
Mes enfants, chantez la parole de mon Fils ; mes enfants, louez et acclamez mon Fils dans l’avenir afin que règne la stabilité et la très grande miséricorde du jugement Divin de l’Eternel.

Marie Mère des hommes – février 1996

 

 

 

Carême 2016 – jour 9

vendredi 19 février 2016

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Mes enfants, il faut secourir la vie en tout être et commencer par sa propre vie. Celle-ci est à l’image de Dieu et par cet acte de sa propre responsabilité et acceptation en Dieu le Père, il vous faut secourir toutes les autres vies.
La vie est acte d’amour, et au travers de ce sentiment l’unité de deux êtres forme l’être dans son consentement mental. Il faut aider, pardonner, mais surtout soutenir la vie de Dieu le Père et celle qui est procréée sur cette terre.

Marie Mère des hommes – février 1996

 

 

 

Carême 2016 – jour 5

lundi 15 février 2016

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Mes enfants, il faut que le monde connaisse la volonté divine et la volonté de mon Fils, il faut que le monde reconnaisse son erreur et implore le pardon. La reconnaissance en Dieu le Père est le début du pardon et l’entrée sur le chemin de la connaissance. Suivez l’exemple de mon Fils ; grandissez dans l’enseignement, relisez les messages, ils contiennent les réponses de l’avenir. Le monde peut échapper au courroux du Père Céleste par un engagement envers autrui dans l’Amour et la Paix et pour l’union totale.
Mes enfants, le chemin est long, mes prières et mes conseils vous guideront comme vous le désirerez et avec votre acceptation. Je vous ferai rencontrer mon Fils dans le tabernacle de Son temple. Je vous ferai ressentir sa chaleur intense d’Amour et de Paix et vous ferai toucher les blessures que le monde lui a infligées et lui inflige encore.

Marie Mère des hommes – janvier 1996

 

 

 

 

Carême 2016 – jour 1

mercredi 10 février 2016

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La Pâque de mon Fils n’est pas comprise par le monde ; l’homme ne comprend pas qu’Il a donné Sa chair, Son sang pour sauver l’humanité, pour sauver le péché de l’humanité. Il a pris sur Lui la faiblesse humaine, pour que l’homme renoue avec Son Père, pour que l’homme renoue avec un monde d’Amour et de Paix. Hélas, l’homme s’exclut lui-même du royaume Divin, car son ego prend la place initiale du Père Très Saint.
Venez à moi mes enfants, car le Seigneur a besoin de notre réunion et d’être soulagé. Mes enfants, il faut prier, prier, prier, car le monde ne sait où il va, et Dieu le Père n’arrêtera pas Sa justice tant que l’homme ne sera pas conscient de son erreur.

Marie Mère des hommes – avril 1993

 

 

 

« Alors le ciel s’ouvrit. L’Esprit Saint descendit sur Jésus. »

dimanche 10 janvier 2016

theophanieSi l’on dit que le Christ a reçu le Saint Esprit, c’est en tant qu’il s’est fait homme et en tant qu’il convenait à l’homme de le recevoir. Sans doute, il est le Fils de Dieu le Père et engendré de sa substance, et cela avant l’Incarnation et même avant tous les siècles. Malgré cela, il n’éprouve aucune tristesse à entendre le Père lui dire, maintenant qu’il s’est fait homme : « Tu es mon Fils ; moi, aujourd’hui, je t’ai engendré ».

Celui qui était Dieu, engendré par lui avant les siècles, le Père dit qu’il est engendré aujourd’hui ; cela signifie qu’il nous accueille en lui comme des fils adoptifs, car toute l’humanité était contenue dans le Christ en tant qu’il était homme. En ce sens on dit que le Père, alors que son Fils possédait déjà son Esprit, le lui donne de nouveau, de telle sorte que nous recevions le don de l’Esprit en lui. Le Christ n’a pas reçu l’Esprit Saint pour lui-même, mais plutôt pour nous, qui étions en lui. Car c’est par lui que nous parviennent tous les biens.

Saint Cyrille d’Alexandrie (380-444), évêque et docteur de l’Église
Commentaire sur l’évangile de Jean 5,2 (trad. Pusey I, 691-693)

 

 

 

Première lettre de saint Jean 2,22-28.

samedi 2 janvier 2016

Bien-aimés, le menteur n’est-il pas celui qui refuse que Jésus soit le Christ ? Celui-là est l’anti-Christ : il refuse à la fois le Père et le Fils ;
quiconque refuse le Fils n’a pas non plus le Père ; celui qui reconnaît le Fils a aussi le Père.
Quant à vous, que demeure en vous ce que vous avez entendu depuis le commencement. Si ce que vous avez entendu depuis le commencement demeure en vous, vous aussi, vous demeurerez dans le Fils et dans le Père.
Et telle est la promesse que lui-même nous a faite : la vie éternelle.
Je vous ai écrit cela à propos de ceux qui vous égarent.
Quant à vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin d’enseignement. Cette onction vous enseigne toutes choses, elle qui est vérité et non pas mensonge ; et, selon ce qu’elle vous a enseigné, vous demeurez en lui.
Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui ; ainsi, quand il se manifestera, nous aurons de l’assurance, et non pas la honte d’être loin de lui à son avènement.

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