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Archive pour le mot-clef ‘Grâces’

« Celui que Dieu a envoyé dit les paroles de Dieu, car Dieu lui donne l’Esprit sans compter. »

jeudi 19 avril 2012

Dieu nous donne ses grâces suivant les besoins que nous en avons. Dieu est une fontaine dans laquelle chacun puise de l’eau suivant les besoins qu’il en a. Comme une personne qui a besoin de six seaux d’eau en puise six ; de trois, trois ; un oiseau qui n’en a besoin que d’une becquetée ne fait que becqueter ; un pèlerin, avec le creux de sa main pour se désaltérer : il en est de même de nous à l’égard de Dieu.

Nous devons avoir grande émotion à nous rendre fidèles à la lecture d’un chapitre du Nouveau Testament et à en produire, au commencement, les actes : d’adoration, adorant la parole de Dieu et sa vérité ; entrer dans les sentiments avec lesquels notre Seigneur les a prononcées et consentir à ces vérités ; se résoudre à la pratique de ces mêmes vérités… Surtout il faut se donner garde de lire par étude, disant : « Ce passage me servira pour telle prédication », mais seulement lire pour notre avancement.

Il ne faut pas se décourager, si, l’ayant lu plusieurs fois, un mois, deux mois, six mois, on n’en est pas touché. Il arrivera qu’une fois nous aurons une petite lumière, un autre jour une plus grande, et encore plus grande lorsque nous en aurons besoin. Une seule parole est capable de nous convertir ; il n’en faut qu’une.

Saint Vincent de Paul (1581-1660), prêtre, fondateur de communautés religieuses
Entretien spirituel du 19/01/1642 (Seuil 1960, p. 50)

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Les bienfaits du chapelet

jeudi 13 octobre 2011

« Le Rosaire récité avec la méditation des mystères :

1) Nous élève insensiblement à la connaissance parfaite de Jésus-Christ.
2) Purifie nos âmes du péché.
3) Nous rend victorieux de tous nos ennemis.
4) Nous rend la pratique des vertus facile.
5) Nous embrase de l’amour de Jésus-Christ.
6) Nous enrichit de grâces et de mérites.
7) Nous fournit de quoi payer toutes nos dettes à Dieu et aux hommes
et enfin nous fait obtenir de Dieu toutes sortes de grâces. »

(Saint Grignion de Montfort dans « Le Secret du Très saint Rosaire »)

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