ACCUEIL

Archive pour le mot-clef ‘étoile’

Nativité du Seigneur Jésus-Christ (messe de la nuit)

vendredi 24 décembre 2021

J’ai vu briller l’étoile lumineuse

J’ai vu briller l’étoile lumineuse
Qui m’indiquait le berceau de mon Roi
Et dans la nuit calme et mystérieuse
Elle semblait s’orienter vers moi.
Puis j’entendis, pleine de charme,
La voix de l’Ange qui me dit :
« Recueille-toi, c’est en ton âme
Que le mystère est accompli.
Jésus, Splendeur du Père,
En toi s’est incarné.
Avec la Vierge Mère
Étreins ton Bien Aimé,
Il est à toi. »

Sainte Élisabeth de la Trinité (1880-1906)

 

 

 

 

Neuvaine des 9 étoiles de Marie à l’Esprit Saint

jeudi 5 mai 2016

Capture d’écran 2015-12-24 à 10.39.09A partir de demain, en jusqu’à la Pentecôte, nous offrons cette neuvaine, en union de prière, au grand projet d’Ardouane mais surtout pour que l’homme s’affranchisse à la Parole Divine.

Afin de préparer nos cœurs, chaque don est associé aux missions de La Maison de Marie, chacune des neuf étoiles de la couronne de Marie Mère des hommes.

La première représente l’Alpha,

La seconde, l’Amour,

La troisième, l’Humilité,

La quatrième, la Grâce,

La cinquième, la Tolérance,

La sixième, la Compréhension,

La septième, la Foi,

La huitième, la Paix,

La neuvième, l’Oméga.

 

Comme les apôtres autour de Marie, prions chaque jour cette neuvaine.
C’est la neuvaine des neuvaines !

 

 

 

 

 

« Le peuple qui habitait dans les ténèbres a vu paraître une grande lumière. »

lundi 6 janvier 2014

etoile-noelLa lumière de la foi en Jésus éclaire aussi le chemin de tous ceux qui cherchent Dieu, et offre la contribution spécifique du christianisme dans le dialogue avec les adeptes des diverses religions… L’image de cette recherche se trouve dans les mages, guidés par l’étoile jusqu’à Bethléem (Mt 2,1s). Pour eux, la lumière de Dieu s’est montrée comme chemin, comme étoile qui guide le long d’une route de découvertes. L’étoile évoque ainsi la patience de Dieu envers nos yeux, qui doivent s’habituer à sa splendeur.

L’homme religieux est en chemin et doit être prêt à se laisser guider, à sortir de soi pour trouver le Dieu qui surprend toujours. Ce respect de Dieu pour les yeux de l’homme nous montre que, quand l’homme s’approche de lui, la lumière humaine ne se dissout pas dans l’immensité lumineuse de Dieu, comme si elle était une étoile engloutie par l’aube, mais elle devient plus brillante d’autant plus qu’elle est plus proche du feu des origines, comme le miroir qui reflète la splendeur

La confession chrétienne de Jésus, unique sauveur, affirme que toute la lumière de Dieu s’est concentrée en lui, dans sa « vie lumineuse », où se révèlent l’origine et la consommation de l’histoire (Décl. Dominus Jesus). Il n’y a aucune expérience humaine, aucun itinéraire de l’homme vers Dieu, qui ne puisse être accueilli, éclairé et purifié par cette lumière. Plus le chrétien s’immerge dans le cercle ouvert par la lumière du Christ, plus il est capable de comprendre et d’accompagner la route de tout homme vers Dieu.

Pape François
Encyclique « Lumen fidei / La Lumière de la foi », §35 (trad. © Libreria Editrice Vaticana)

 

 

 

Fête de la Présentation de N.D.

lundi 21 novembre 2011

L’évangile ne nous apprend rien de l’enfance de Marie ; son titre de Mère de Dieu efface tout le reste. Mais la tradition est plus explicite ; elle nous apprend que la Sainte Vierge, dans son enfance, fut solennellement offerte à Dieu dans son temple. Cette présentation est le sujet de la fête qu’on célèbre aujourd’hui. Où mieux que loin du monde, dans l’enceinte du temple, Marie se fût-elle préparée à sa mission ? Douze années de recueillement, de prière, de contemplation, telle fut la préparation de l’élue de Dieu.

.

La terre possédait, elle ne le savait pas encore, sa Fleur. La vraie, la Fleur unique dont l’épanouissement est éternel : lys et rose, violette et jasmin, hélianthe, et cyclamen fondus ensemble, et avec eux toutes les fleurs de la terre, fondues en une seule Fleur, Marie, en qui s’unissent toutes les vertus et toutes les grâces. En avril, la terre de Palestine paraissait un immense jardin où parfums et couleurs étaient au cœur des hommes un don délicieux. Mais elle était encore ignorée, la Rose la plus belle. Déjà elle fleurissait pour Dieu dans le secret du sein maternel, car ma Mère aima dès le premier instant de sa conception. C’est seulement le moment où la vigne donne son sang pour en faire du vin, quand le moût sucré et fort emplit l’air et les narines qu’Elle avait souri, d’abord à Dieu puis au monde, disant en cet ineffable sourire : « La voilà ! La vigne qui donnera la Grappe destinée à être foulée au pressoir pour devenir à votre mal une Médecine éternelle, voilà, Elle est au milieu de vous. »

…./….

Dieu a voulu donner un roi à l’univers qu’Il avait créé du néant. Un roi qui fût le premier de nature matérielle parmi toutes les créatures sorties de la matière et elles-mêmes matérielles. Un roi qui fût un peu moins que divin par sa nature spirituelle, uni à a Grâce comme il l’était dans l’innocence de sa première journée. Mais l’Intelligence suprême, qui connaît tous les évènements les plus lointains dans les profondeurs des siècles, qui découvre incessamment tout ce qui était, est et sera – et pendant qu’Elle contemple le passé et observe le présent, voilà qu’Elle plonge son regard dans l’avenir le plus lointain et n’ignore pas comme sera la mort du dernier homme, tout cela sans confusion ni discontinuité – Elle n’a jamais ignoré que le roi qu’Elle avait prévu, créé pour être semi-divin à ses côtés dans le Ciel, héritier du Père, arrivé adulte dans son royaume après avoir vécu dans la maison de sa mère – la terre dont il a été formé – durant son enfance de fils de l’Éternel pendant son séjour terrestre, Elle n’a pas ignoré qu’il aurait commis contre lui-même le crime de tuer en lui la Grâce, et le vol de se dérober du Ciel.

Extraits de « L’Evangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta

.

.