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Archive pour le mot-clef ‘eau’

Jésus marche sur les eaux

mardi 7 août 2012

(MariaValtorta, «l’Évangile tel qu’il m’a été révélé» tome 3)

La soirée est avancée. Il fait presque nuit car on voit à peine sur le sentier qui grimpe sur un coteau où l’on voit ça et là des arbres qui me semblent être des oliviers mais étant donné le peu de lumière, je ne puis l’assurer. En somme, ce sont des arbres de taille moyenne, avec une épaisse frondaison et tordus comme le sont d’ordinaire les oliviers. Jésus est seul, habillé de blanc avec son manteau bleu foncé. Il monte et s’enfonce parmi les arbres. Il chemine d’un pas allongé et tranquille, sans hâte, mais à cause de la longueur de ses foulées il fait, sans se presser, beaucoup de chemin. Il marche jusqu’à ce qu’il rejoigne une sorte de balcon naturel d’où la vue s’étend sur le lac tout à fait paisible sous la lumière des étoiles dont les yeux de lumière fourmillent maintenant dans le ciel. Le silence enveloppe Jésus de son embrassement reposant. Il le détache des foules et de la terre et les Lui fait oublier, en l’unissant au ciel qui semble s’abaisser pour adorer le Verbe de Dieu et le caresser de la lumière de ses astres. Jésus prie dans sa pose habituelle: debout et les bras en croix. Il a derrière Lui un olivier et paraît crucifié sur ce fût obscur. La frondaison le dépasse de peu, grand comme il est, et remplace, par une parole qui convient au Christ, l’inscription de la croix. Là-bas: « Roi des juifs ». Ici: « Prince de la paix ». L’olivier pacifique s’exprime bien pour qui sait entendre. Jésus prie longuement, puis il s’assied sur le balcon qui sert de base à l’olivier, sur une grosse racine qui dépasse et il prend son attitude habituelle: les mains jointes et les coudes sur les genoux. Il médite. Qui sait quelle divine conversation il échange avec le Père et l’Esprit en ce moment où il est seul et peut être tout à Dieu. Dieu avec Dieu! Il me semble que plusieurs heures passent ainsi car je vois les étoiles se déplacer et plusieurs sont déjà descendues à l’occident. Justement pendant qu’un semblant de lumière, ou plutôt de luminosité parce que cela ne peut encore s’appeler lumière, se dessine à l’extrême horizon du côté de l’orient, un frisson de vent secoue l’olivier. Puis, c’est le calme. Puis, il reprend plus fort. Avec des pauses syncopées, il devient de plus en plus violent. La lumière de l’aube qui commençait à peine, est arrêtée dans sa progression par une masse de nuages noirs qui viennent occuper le ciel, poussée par des rafales de vent toujours plus fortes. Le lac aussi a perdu sa tranquillité. Il me semble qu’il va subir une bourrasque comme celle que j’ai déjà vue dans la vision de la tempête. Le bruissement des feuilles et le grondement des flots remplissent maintenant l’espace, il y a un moment si tranquille. Jésus sort de sa méditation. Il se lève. Il regarde le lac. Il y cherche, à la lumière des étoiles qui restent et de l’aube malade, et il voit la barque de Pierre qui avance péniblement vers la rive opposée, mais n’y arrive pas. Jésus s’enveloppe étroitement dans son manteau dont il relève le bord, qui traîne et qui le gênerait dans la descente, sur sa tête, comme si c’était un capuchon, et il descend rapidement, non par la route qu’il avait suivie mais par un sentier rapide qui rejoint directement le lac. Il va si vite qu’il semble voler.

Il parvient à la rive fouettée par les vagues qui font sur la grève une bordure bruyante et écumeuse. Il poursuit rapidement son Chemin comme s’il ne marchait pas sur l’élément liquide tout agité, mais sur un plancher lisse et solide. Maintenant Lui devient lumière. Il semble que le peu de lumière qui arrive encore des rares étoiles qui s’éteignent et de l’aube orageuse se concentre sur Lui et elle forme une sorte de phosphorescence qui éclaire son corps élancé. Il vole sur les flots, sur les crêtes écumeuses, dans les replis obscurs entre les vagues, les bras tendus en avant avec son manteau qui se gonfle autour des joues et qui flotte, comme il peut, serré comme il est autour du corps, avec un battement d’ailes. Les apôtres le voient et poussent un cri d’effroi que le vent apporte à Jésus.
« Ne craignez pas. C’est Moi. »
La voix de Jésus, malgré le vent contraire, se répand sans difficulté sur le lac.
« Est-ce bien Toi, Maître? » demande Pierre. « Si c’est Toi, dis-moi de venir à ta rencontre en marchant comme Toi sur les eaux. »
Jésus sourit: « Viens » dit-il simplement, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde de marcher sur l’eau. Et Pierre, demi-nu comme il est avec une courte tunique sans manches, fait un saut par-dessus bord et va vers Jésus. Mais, quand il est à une cinquantaine de mètres de la barque et à peu près autant de Jésus, il est pris par la peur. Jusque là, il a été soutenu par son élan d’amour. Maintenant l’humanité a raison de lui et… il tremble pour sa vie. Comme quelqu’un qui se trouve sur un sol qui se dérobe ou sur des sables mouvants, il commence à chanceler, à s’agiter, à s’enfoncer. Plus il s’agite et tremble de peur, plus il s’enfonce. Jésus s’est arrêté et le regarde. Sérieux, il attend mais il ne lui tend même pas la main. Il garde ses bras croisés. Il ne fait plus un pas et ne dit plus un mot. Pierre s’enfonce. Disparaissent les chevilles, puis les jambes, puis les genoux. Les eaux arrivent à l’aine, la dépassent, montent vers la ceinture. La terreur se lit sur son visage. Une terreur qui paralyse aussi sa pensée. Ce n’est plus qu’une chair qui a peur de se noyer. Il ne pense même pas à se jeter à l’eau. A rien. Il est hébété par la peur. Finalement, il se décide à regarder Jésus. Et il suffit qu’il le regarde pour que son esprit commence à raisonner, à saisir où se trouve le salut.
« Maître, Seigneur, sauve-moi. »
Jésus desserre ses bras et, comme s’il était porté par le vent et par l’eau, il se précipite vers l’apôtre et lui tend la main en disant:
« Oh! homme de peu de foi. Pourquoi as-tu douté de Moi? Pourquoi as-tu voulu agir tout seul?  »
Pierre, qui s’est agrippé convulsivement à la main de Jésus, ne répond pas. Il le regarde pour voir s’il est en colère, il le regarde avec un reste de peur qui se mêle au repentir qui s’éveille.
Mais Jésus sourit et le tient étroitement par le poignet jusqu’à ce que, après avoir rejoint la barque, ils en franchissent le bord et y entrent. Et Jésus commande:
« Allez à la rive. Lui est tout trempé.  »
Et il sourit en regardant le disciple humilié. Les vagues s’apaisent pour faciliter l’abordage ,et la ville, vue l’autre fois du haut d’une colline, apparaît au-delà de la rive. La vision s’arrête ici.

(Correspondance avec Matthieu 14,22 Marc 6,45 Jean 6,1)

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Cascade

samedi 21 avril 2012

« Mes enfants, aujourd’hui, je vous vois, vous êtes cette rivière, cette cascade, cette eau claire, cette eau emplie de poissons qui se régalent de cette eau. Vous êtes cette eau vive qui permet de nourrir la nature, qui permet aux animaux de vivre, qui permet aux fleurs de s’épanouir, qui permet aux arbres de grandir. Vous êtes cette eau, cette purification de la nature. Ceci, c’est votre symbole. Vous êtes cette eau purificatrice, celle qui doit renouveler toute la nature humaine. Il faut que les arbres grandissent. »

Marie Mère des hommes – mars 2010

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« Celui que Dieu a envoyé dit les paroles de Dieu, car Dieu lui donne l’Esprit sans compter. »

jeudi 19 avril 2012

Dieu nous donne ses grâces suivant les besoins que nous en avons. Dieu est une fontaine dans laquelle chacun puise de l’eau suivant les besoins qu’il en a. Comme une personne qui a besoin de six seaux d’eau en puise six ; de trois, trois ; un oiseau qui n’en a besoin que d’une becquetée ne fait que becqueter ; un pèlerin, avec le creux de sa main pour se désaltérer : il en est de même de nous à l’égard de Dieu.

Nous devons avoir grande émotion à nous rendre fidèles à la lecture d’un chapitre du Nouveau Testament et à en produire, au commencement, les actes : d’adoration, adorant la parole de Dieu et sa vérité ; entrer dans les sentiments avec lesquels notre Seigneur les a prononcées et consentir à ces vérités ; se résoudre à la pratique de ces mêmes vérités… Surtout il faut se donner garde de lire par étude, disant : « Ce passage me servira pour telle prédication », mais seulement lire pour notre avancement.

Il ne faut pas se décourager, si, l’ayant lu plusieurs fois, un mois, deux mois, six mois, on n’en est pas touché. Il arrivera qu’une fois nous aurons une petite lumière, un autre jour une plus grande, et encore plus grande lorsque nous en aurons besoin. Une seule parole est capable de nous convertir ; il n’en faut qu’une.

Saint Vincent de Paul (1581-1660), prêtre, fondateur de communautés religieuses
Entretien spirituel du 19/01/1642 (Seuil 1960, p. 50)

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Intentions de prières du pape Benoît 16

lundi 30 janvier 2012

Universelle – L’accès à l’eau courante
Pour que tous les peuples aient plein accès à l’eau et aux ressources nécessaires à leur subsistance quotidienne.

Missionnaire – Les personnels de santé
Pour que le Seigneur soutienne l’effort des personnels de santé des régions les plus pauvres dans l’assistance aux personnes malades et âgées.

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Mem

vendredi 5 août 2011

Ô ! combien j’aime ta loi ! Tout le jour je la médite.
Tu me rends plus sage que mes ennemis Par tes commandements, Car pour toujours ils sont mon partage.
Je suis plus éclairé que tous ceux qui m’enseignent, Car tes témoignages sont l’objet de ma méditation.
Je suis plus intelligent que les anciens, Parce que j’ai gardé tes commandements.
J’ai détourné mes pas de tout mauvais chemin, Afin de garder ta parole.
Je ne me suis point écarté de tes lois, Car c’est toi qui m’enseignes.
Que tes paroles sont douces à mon palais ! Plus douces que le miel à ma bouche.
Par tes commandements je deviens intelligent, C’est pourquoi je hais toute voie de mensonge.

Psaume 119

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Le mem symbolise le retour vers l’intérieur. Le nom mem vient de maïm, l’eau, mot composé de mi qui regarde son reflet inverse im pour nous enseigner que dans chaque question se trouve le reflet d’une autre question. Cette lettre est celle de l’introspection qui nous pousse à descendre en nous et à nous interroger sur notre existence. Le mem est la lettre de l’eau, symbole de l’écoulement de la vie et de la sagesse divine. La lettre mem suggère simultanément le révélé et le caché, c’est pour cela que cette lettre est l’initiale de Moïse, qui révèle la loi et de Messie, qui demeure caché. Ainsi, le mem ouvert représente la thora révélé et le mem fermé représente la thora cachée.

Sa valeur numérique 40 apparaît systématiquement dans la Bible pour signaler un isolement et une transformation (la traversée du désert).
Cette valeur désigne le temps nécessaire pour accomplir un processus de maturation menant à la fructification par la purification. Le nombre 40 revient souvent dans la Bible pour exprimer la durée correspondant approximativement à une génération humaine, s’il s’agit d’années.
40 correspond à une période de mutation et de transformation pour accéder à un changement radical, on peut citer :
– les 40 jours du Déluge (Gen. 7:4)
– les 40 jours de Moïse sur la Montagne (Ex. 24:18)
– les 40 ans dans le désert (Nomb. 14:33)
– 40 jours d’exploration de Canaan (Nomb. 13:25)
– Elie marche 40 jours à Horeb (Rois 19:8).
L’eau de la vie, Mem, se symbolise également par le lait, dont le nom hébreu « h’alav », possède une valeur numérique..

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Ruisseau d’amour

mardi 29 mars 2011

Je suis votre Mère à tous, celle qui vous apporte les joies d’une mère aimante. Je fais couler devant vous le ruisseau d’amour, cette eau fraîche, cette eau qui vous lave de tous pêchés. Suivez ce ruisseau, allez jusqu’au lac, ce fameux lac où mon Fils sera pour vous recevoir, et vous bénir au travers de cette eau sacrée, l’eau de l’Espérance, celle qui apporte l’Amour et la Paix. Venez à cette cascade de l’Intelligence Divine, celle qui fera couler sur votre corps les gouttelettes de l’Amour, ces gouttes savoureuses de l’Espérance. Tout sera odoriférant, tout autour de vous ne sera qu’Amour et Paix.

Marie Mère des hommes – août 2008

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Fontaine

dimanche 29 août 2010

Mon Fils est comme une fontaine déversant de l’eau limpide. Venez vous abreuver de Ses Paroles et allez sur les chemins du monde rapporter la bonne Parole à tous. Prenez votre bâton de berger et proclamez la Parole Sainte ; que la Bible soit votre livre de chevet et le seul bagage sur le chemin de la connaissance.

Marie Mère des hommes – octobre 1998

Ruisseau d’Amour et de Paix

vendredi 6 août 2010

Je suis votre Mère à tous, celle qui vous apporte les joies d’une mère aimante. Je fais couler devant vous le ruisseau d’amour, cette eau fraîche, cette eau qui vous lave de tous pêchés. Suivez ce ruisseau, allez jusqu’au lac, ce fameux lac où mon Fils sera là pour vous recevoir, et vous bénir au travers de cette eau sacrée, l’eau de l’Espérance, celle qui apporte l’Amour et la Paix. Venez à cette cascade de l’Intelligence Divine, celle qui fera couler sur votre corps les gouttelettes de l’Amour, ces gouttes savoureuses de l’Espérance.

Marie Mère des hommes – août 2008

Coeur

lundi 19 avril 2010

« Je viens à vous, mes enfants, pour vous apprendre à venir demander l’aide à mon Fils pour poursuivre votre chemin et surtout vous accorder avec le Cœur Miséricordieux de mon Fils.

Comme la fleur a besoin de l’eau et du soleil pour s’épanouir, vous, vous avez besoin de l’enseignement et de l’Amour de mon Fils. Venez vers mon Fils par la contemplation et l’amour. Vous devez apprendre à vous aimer comme fils de Dieu et comme frères de mon Fils. »

Marie Mère des hommes – mai 2005

Cascade

lundi 29 mars 2010

« Mes enfants, aujourd’hui, je vous vois, vous êtes cette rivière, cette cascade, cette eau claire, cette eau emplie de poissons qui se régalent de cette eau. Vous êtes cette eau vive qui permet de nourrir la nature, qui permet aux animaux de vivre, qui permet aux fleurs de s’épanouir, qui permet aux arbres de grandir. Vous êtes cette eau, cette purification de la nature. Ceci, c’est votre symbole. Vous êtes cette eau purificatrice, celle qui doit renouveler toute la nature humaine. Il faut que les arbres grandissent. »

Marie Mère des hommes – mars 2010