Marie permet aujourd’hui que je vous parle.
J’étais prêtre dans un petit village, dans une campagne. Je travaillais autant la nuit que le jour ; je confessais, je priais, j’allais de campagne en campagne, j’allais bénir, j’allais donner l’extrême onction. On m’appelait « le petit curé d’Ars ».
Je viens ici pour vous dire que tout ce qui se passe correspond à la volonté Divine et non à la volonté de Satan. J’ai connu Satan, je me suis battu avec lui des nuits entières. Vous n’êtes point sous l’emprise de Satan et quiconque le dira devra en apporter les preuves, comme quiconque dira que vous êtes du côté de Dieu en apportera les preuves. Sachez donc écouter la parole Divine, restez près du Père Eternel en toute occasion et surtout ne vous défiez jamais d’autrui.
Restez toujours unis à l’Eglise de quelque manière que l’on puisse vous traiter ; vous serez reconnus dans cette Eglise, car vous aimerez cette Eglise et l’Eglise vous aimera.
Je prie chaque jour pour tous les êtres du monde entier, pour tous ceux qui souffrent, pour tous les plus petits, les plus miséreux, les plus incroyants. Et tous les jours, la foi augmente dans ce monde afin qu’elle devienne universelle. Je vous rends à votre Mère et je continuerai à prier sans cesse pour vous.
Saint Jean-Marie Vianney – Curé d’Ars
Message du 15 août 1997

« Mes enfants, dans l’union de tous les Saints qui prient, qui essaient de soulager cette terre, même si l’homme dans son erreur continue et persévère vers l’anti-foi, sachez que la foi finira grandie et plus puissante qu’elle ne l’a jamais été et pour le respect de Dieu le Père et l’amour de tous les hommes. N’ayez crainte, n’ayez crainte ! »
« A tous ceux qui lisent mes messages, j’accorde mon amour maternel et je demande l’engagement de chacun et de tous, pour apporter l’union sur cette terre. J’ai déjà appelé, j’appellerai encore, ouvrez-moi vos cœurs que je puisse combler votre ignorance. Venez dans la foi de connaître Dieu dans autrui, pour illuminer cette terre d’un amour éternel. »