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Archive pour mai 2011

Deuxième jour de la neuvaine

mardi 24 mai 2011

Mes enfants, votre mission suivra le cours de l’évolution mondiale et réciproquement. N’oubliez jamais les Paroles de Notre Seigneur Tout Puissant : « Je vous ai choisis pour faire connaître mon Amour et ma Paix à mon peuple. » Laissez-vous chacun, au plus profond de votre être, laissez-vous guider par Ma Puissance Salvatrice, accordée Divinement, pour l’accomplissement du Plan de Dieu. Vos douleurs physiques disparaîtront en temps voulu.

Je me penche comme une mère sur le berceau de son fils, mais étrangement vous ne vous êtes encore point éveillés totalement. Laissez agir Dieu le Père pour sauvegarder ma maison, agissez en tant qu’enfants obéissants et priants pour le salut des hommes. Souriez à la vie, chantez à la vie, dansez à la vie, et vous éveillerez les cœurs endormis, les amours latents des enfants de Dieu. Sur cette terre il est beaucoup d’enfants de Dieu qui par leur foi et leur amour intercèdent pour que le monde cesse sa cruauté physique et morale. Ils veulent la disparition de l’abîme creusé entre les hommes et les peuples. Ils sont si peu et tant de chaque peuple, race, pays, qui se réjouissent dans la prière pour sauvegarder l’enseignement Divin et la paternité de ce monde à Dieu le Père.

Mes enfants, aujourd’hui sont bénis tous spécialement mes enfants qui portent mon nom, ceci est la Volonté de Mon Père et de Mon Fils. Je vous accorde ma tendresse et ma consolation.

Mes enfants, je vous entends chaque jour et j’exaucerai vos vœux dans l’ordre d’Amour et de Paix envers votre prochain.

Je suis Marie, Mère des hommes, pour votre enseignement et votre évolution. Priez, Priez, Priez, car le Seigneur ne sera jamais las de votre bonté envers autrui.

Extrait du message d’août 1993

(Vous pouvez retrouver l’intégralité du message sur notre site internet www.associationdemarie.org)

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Premier jour de la neuvaine

lundi 23 mai 2011

SAINT ALPHONSE de LIGUORI

Docteur de l’Église
(1696-1787)

Saint Alphonse de Liguori, que l’on fête début août, naquit près de Naples. Après de fort brillantes études, docteur en droit civil et canonique à seize ans, il embrassa la carrière d’avocat. Pendant les dix années qu’il remplit cette charge, il fut le modèle du parfait chrétien. Il commençait à se relâcher, quand il échoua dans un plaidoyer superbe où il avait déployé tous ses talents; « O monde! s’écria-t-il, désormais je te connais; tu ne m’auras plus. »

Peu après, il entendit une voix lui dire: « Laisse le monde de côté, livre-toi à Moi tout entier… » Aussitôt il répondit, fondant en larmes: « O Dieu! Me voici, faites de moi ce qu’il Vous plaira. » Aussitôt Alphonse va déposer à l’église de la Sainte Vierge son épée de gentilhomme, prend bientôt l’habit ecclésiastique, fait ses études de théologie, et au bout de trois ans reçoit le sacerdoce. Désormais le voilà embrasé du zèle des âmes; il se mêle au peuple des campagnes et s’éprend d’un amour spécial pour lui.

C’est alors que l’idée lui vint de fonder, pour exercer l’apostolat parmi cette classe si intéressante de la société, la Congrégation des Rédemptoristes. Traité d’insensé par son père, ses proches et ses amis, persécuté et abandonné bientôt par plusieurs de ses premiers collaborateurs, délaissé et méprisé par son directeur lui-même, Alphonse endura toutes les souffrances morales qui peuvent tomber sur un homme: rien ne put l’abattre ni le décourager.

Il eut plusieurs visions de la très Sainte Vierge; une fois, pendant un sermon sur les gloires de Marie, il fut ravi, et environné d’une éblouissante lumière.

Un jour, son pauvre accoutrement le fit prendre pour le cocher des autres missionnaires, et, à son premier sermon, son éloquence fit dire au peuple: « Si le cocher prêche si bien, que sera-t-il des autres! » Aux travaux apostoliques, Alphonse joignait les travaux intellectuels, et il composa un grand nombre d’ouvrages de piété et de morale qui l’ont fait élever au rang des docteurs.

Sacré évêque, Alphonse égala par ses vertus les plus saints pontifes. On lui doit la neuvaine des trois Ave Maria. Il mourut à l’âge de quatre-vingt-onze ans.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l’année, Tours, Mame, 1950.

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Neuvaine efficace des 3 Ave Maria

dimanche 22 mai 2011

Nous la débutons demain en préparation de la Visitation.


Indulgence plénière pour tous les fidèles faisant cette Neuvaine en préparation de l’Immaculée Conception, de la Nativité de Marie, de la Présentation, de l’Annonciation, de la Visitation, de la Purification, des Sept Douleurs, de l’Assomption, du Saint Cœur de Marie et de son Patronage, et du Saint Rosaire. Plus 300 jours d’indulgence chacun des jours de ces Neuvaines.
En outre, Sa Sainteté Pie X (4 mai 1910) et Sa Sainteté Benoît XV (24 mars 1916) ont daigné accorder à ceux qui feraient cette Neuvaine la Bénédiction Apostolique, demandant au Seigneur, par l’intercession de la Bienheureuse Vierge, toutes sortes de bien en leur faveur.

1. – O Marie VIERGE PUISSANTE, Virgo potens, Vous à qui rien n’est impossible… par cette Puissance même dont vous a gratifiée le Père Tout Puissant, je vous en conjure, assistez-moi dans la nécessité où je me trouve. Puis donc que vous pouvez me secourir, ne m’abandonnez pas, ô vous qui êtes l’Avocate des causes les plus désespérées !
Il me semble que pour la gloire de Dieu, votre honneur et le bien de mon âme, sont attachés à la concession de cette faveur.
Si donc, comme je le pense, elle est conforme à la très aimable et très sainte Volonté de Dieu ; je vous en prie, ô TOUTE PUISSANCE SUPPLIANTE, Omnipotentia supplex, intercédez pour moi auprès de votre Fils, qui ne peut rien vous refuser.
Je vous le demande de nouveau, au nom de la Puissance sans bornes, que le Père céleste vous a communiquée, et en l’honneur de laquelle je vous dis, en union avec sainte Mechtilde, à qui vous avez révélé la salutaire pratique des Trois Ave Maria :
AVE MARIA…
2. – Divine Vierge, qui êtes appelée le TRONE DE LA SAGESSE, Sedes sapientiae, parce que la Sagesse incréée, le Verbe de Dieu, a résidé en vous… Vous à qui cet adorable Fils a communiqué toute l’étendue de sa science divine, dans la mesure où la créature la plus parfaite pouvait la recevoir… Vous connaissez la grandeur de ma misère et quel besoin j’ai de votre assistance.
Confiant dans votre divine Sagesse, je m’abandonne entièrement entre vos mains, afin que vous disposiez tout avec force et douceur, pour la plus grande gloire de Dieu et le plus grand bien de mon âme.
Daignez donc me venir en aide, par les moyens que vous savez être les plus propres à atteindre cette fin.
O Marie, Mère de la divine Sagesse, daignez, je vous en supplie, m’obtenir la grâce précieuse que je sollicite ; je vous la demande au nom même de cette Sagesse incomparable dont le Verbe, votre Fils, vous a illuminée, et en l’honneur de laquelle je vous dis, en union avec saint Antoine de Padoue et saint Léonard de Port-Maurice, les plus zélés prédicateurs de vos Trois Ave Maria :
AVE MARIA…
3. – O bonne et tendre Mère, vraie MERE DE MISERICORDE, Mater Misericordiae, qui, dans ces derniers temps, vous êtes appelée vous-même « Mère toute Miséricordieuse », je viens vous supplier d’user envers moi de votre bonté compatissante.
Plus ma misère est grande, plus elle doit exciter votre compassion.
Je le sais, je ne mérite aucunement la grâce précieuse que je désire, moi qui vous ai si souvent contristée en offensant votre divin Fils. Mais, si j’ai été coupable, très coupable, je me repens sincèrement d’avoir blessé le Cœur si tendre de Jésus et le vôtre.
D’ailleurs, n’êtes-vous pas, comme vous l’avez révélé à l’une de vos servantes, sainte Brigitte, « la Mère des pécheurs repentants » ? Pardonnez-moi donc mes ingratitudes passées, et, considérant uniquement votre Bonté miséricordieuse, ainsi que la gloire qui en reviendra à Dieu et à vous, obtenez-moi de la miséricorde divine la grâce que j’implore par votre intercession.
O vous qu’on n’a jamais invoquée en vain, « ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge Marie : o clemens, o pia, o dulcis Virgo Maria ! » daignez, daignez me secourir, je vous en conjure, par cette miséricordieuse bonté dont le Saint-Esprit vous a remplie pour nous, et en l’honneur de laquelle je vous dis, avec saint Alphonse de Liguori, l’apôtre de votre miséricorde et le docteur des Trois Ave Maria :
AVE MARIA…

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Message de Dieu le Père

samedi 21 mai 2011

Mes Fils, Je ne suis guère présent à côté de vous par la parole, mais tellement présent par le soutien. Vous qui associez mon Fils aux prières, alors aujourd’hui associez sa Mère, associez la Trinité, car l’ouvrage qui fut Ma Volonté, est ouvrage négligé par l’homme lui-même. Vous êtes tous chair de Ma chair. Pour qu’une plage soit, il faut les grains de sable et Je Suis car vous êtes particules de Moi-Même. Soyez-en dignes. Faites allégeance à l’Amour et à la Paix, car Mon bras ne bouge plus et ne bougera plus. L’homme fait sa destruction, il doit faire sa reconstruction. Mes enfants, mes fils je vous bénis : « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. »

Message du 15 mai 2011

Mai

vendredi 20 mai 2011

LA VIERGE MARIE

Le mois de mai est consacré à une dévotion particulière envers la Vierge Marie, selon une tradition catholique, on l’appelle le « mois de Marie », et il se termine, le 31, par la fête de la Visitation de Marie à Elisabeth. De même que le mois d’octobre, marqué (le 7) par la fête de Notre-Dame du Rosaire, est aussi appelé « mois du Rosaire », avec par exemple un grand pèlerinage du Rosaire qui clôture la saison des pèlerinages à Lourdes. C’est la raison de cette catéchèse, ce mois-ci sur Marie.
La façon de parler de Marie dans la théologie et la prière catholiques est parfois source d’incompréhensions avec la tradition protestante ; mais il serait bien exagéré de penser que c’est ce qui marque la différence entre catholiques et protestants : un groupe œcuménique, appelé « le groupe des Dombes » qui réunit depuis 1937 des théologiens catholiques et protestants a même publié, il y a une dizaine d’années, le résultat de ses belles recherches. Je me contente de signaler ce fait, et je m’attache seulement ici à détailler et faire comprendre quatre titres donnés à Marie que nous reconnaissons comme la mère du Sauveur.

Marie, mère de Jésus
« Ton père et moi te cherchons tout angoissés » Luc 2,48

La mère de Jésus, ce n’est pas un titre d’honneur, c’est simplement ce que l’Evangile nous présente de façon incontestable à son sujet. Les évangiles de Matthieu et de Luc nous livrent des épisodes concernant la naissance et l’enfance de Jésus. Ils nous disent combien la vie de Jésus fut une vie réellement humaine, commencée dans une famille. C’est une famille juive qui vit dans la foi, qui pratique le pèlerinage à Jérusalem comme les autres et avec les autres ; c’est une famille dans laquelle on n’est pas à l’abri des soucis quotidiens, ni des inquiétudes liées à l’éducation des enfants et des jeunes. Marie est la vraie mère d’un vrai homme, de cet homme Jésus.
On peut méditer à loisir sur cette condition humaine vécue dans l’ordinaire des jours. Lorsqu’il est allé en pèlerinage en Palestine en 1964, le Pape Paul VI a proposé une très belle méditation sur Nazareth où Jésus a grandi : « ici, on apprend à pénétrer la signification, si profonde et si mystérieuse, de cette très simple, très humble et très belle manifestation du Fils de Dieu. (…) Une leçon de silence d’abord, …dans notre vie moderne si bruyante et hypersensibilisée (…) Une leçon de vie familiale, communion d’amour… primordiale sur le plan social (…) Une leçon de travail, …la conscience de la noblesse du travail (…).

Marie, mère de Dieu
« Lorsque les temps furent accomplis, Dieu a envoyé son Fils, il est né d’une femme, il a été sous la domination de la loi de Moïse » Galates 4,4

Dans cette lettre de Saint Paul, la mère de Jésus n’est pas nommée; et c’est la seule fois que l’apôtre parle d’elle, de façon impersonnelle. On peut s’en étonner. C’est à l’évidence que l’humanité de Jésus ne fait pas de doute à Paul. Lui, il n’a pas approché Jésus dans sa vie terrestre, avant Pâques, mais il sait bien que Jésus de Nazareth a existé, les témoignages lui en ont été donnés. Ce qui l’a saisi, c’est que cet homme s’inscrive d’une façon unique dans le projet de Dieu : Il est l’aboutissement, Il est la Révélation définitive, Il est l’achèvement de ce que Dieu a voulu. Il est le Fils parfait : cet homme « né d’une femme », et sujet de la loi de Moïse, c’est-à-dire véritable juif, est Fils de Dieu et grâce à Lui les hommes sont appelés à devenir aussi des fils.
De cette façon, on comprend que c’est ici que commence la méditation de l’Eglise chrétienne qui aboutira à dire, en 431, au Concile d’Ephèse (ville de l’actuelle Turquie, en Asie) : Marie est « Mère de Dieu ». Cela paraît bien extraordinaire de dire d’une femme de notre race humaine qu’elle Mère de Dieu. Cela signifie que c’est par elle que Dieu, qui surpasse et domine le monde puisqu’Il l’a créé et voulu, est devenu l’un de ces hommes qui y vivent. Elle a engendré Dieu dans notre monde, parce qu’elle a accepté d’être la mère de Jésus. Peut-être pouvons-nous dire comme elle : « comment cela est-il possible ? » Si nous ne savons pas dire comment cela se fait, nous pouvons quand même comprendre que cela éclaire étonnamment notre situation d’hommes. Dieu aime et respecte tellement notre humanité qu’il emprunte les voies humaines pour se faire connaître, et pour nous entraîner jusqu’auprès de Lui.

Marie, mère de l’Eglise
« Femme, voici ton fils » Jean 19,26

Ce que Marie a vécu en accueillant Dieu fait homme, voici que de la croix Jésus lui demande de le vivre à nouveau avec ses disciples, et donc avec l’Eglise entière. Elle va permettre aux apôtres d’accueillir, d’accepter et de comprendre ce qui arrive. Jésus qui était mort, il leur faut à tous l’accueillir dans sa nouvelle présence après la Résurrection. Là encore, il faut bien se dire : comment cela est-il possible ? C’est à nouveau un acte de foi qui est demandé et rendu possible par Dieu même. Marie franchit cette étape avec l’Eglise naissante, et en quelque sorte, elle engendre l’Eglise qui devient Corps du Christ au milieu de l’humanité.
Si nous regardons ainsi Marie, nous pouvons bien la reconnaître comme celle qui, dans son humanité si proche de la nôtre, montre le chemin de l’expérience croyante, celle par laquelle Dieu en Jésus-Christ se révèle présent, vivant et actif dans le monde.

Marie, mère des hommes
« Faites tout ce qu’il vous dira » Jean 2,5

Je reviens aux débuts de l’évangile de S.Jean. C’est à Cana. Marie perçoit, et elle seule semble-t-il, qu’il manque à cette humanité, pourtant en fête de mariage, le vin de la joie. Elle presse Jésus de l’apporter, et lui il sait que cette joie ne viendra que du don parfait de sa vie qui sera réalisé sur la croix. Voilà pourquoi il dit : « mon heure n’est pas encore venue ! » Mais elle invite les serviteurs, ceux qui ne sont pas encore dans le cercle des disciples, de faire ce qu’il dira. C’est dire qu’elle compte bien que ce que fait Jésus n’est pas seulement pour ses disciples, pour ses apôtres, ses amis, l’Eglise.
Elle-même donc peut indiquer à d’autres hommes, qui ne sont pas dans l’Eglise, que Jésus sera pour eux un chemin, qu’il leur dira une parole bonne et vraie pour eux. Elle est un modèle d’humanité, elle peut faire que soit engendrée en eux , et rendue visible, la vie même de Dieu, et sa joie.
Méditer avec Marie, et avec l’exemple de sa vie, c’est méditer sur la foi qui survient en l’homme comme le don le plus merveilleux.

Mgr Laurent Ulrich est Archevêque de Chambéry, Evêque de Maurienne et Tarentaise

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« Recevoir celui que J’envoie, c’est Me recevoir Moi-même. »

jeudi 19 mai 2011

Après l’amour de notre Seigneur, je te recommande celui de l’Église, son Épouse. Elle est en quelque sorte la colombe qui couve et fait naître les petits de l’Époux. Rends toujours grâce à Dieu d’être fille de l’Église, à l’exemple d’un si grand nombre d’âmes qui nous ont précédés dans cette voie bienheureuse. Aie beaucoup de compassion pour tous les pasteurs, prédicateurs et guides spirituels ; on en trouve sur toute la surface de la terre… Prie Dieu pour eux, afin qu’en se sauvant eux-mêmes, ils soient féconds et procurent aux âmes le salut.

Priez pour les personnes perfides comme pour les ferventes, priez pour le Saint Père, pour toutes les nécessités spirituelles et temporelles de l’Église ; car c’est elle notre mère. Faites aussi une prière spéciale pour tous ceux qui œuvrent au salut des âmes pour la gloire du Père.

Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
Ep 3,707 ; 2,70 (trad. Une pensée, Médiaspaul 1991, p.30)

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Bulletin n°35

mercredi 18 mai 2011

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Vous pouvez écouter les messages reçus ce 15 mai.

Message du 15 mai 2011 au matin

Message original du 15 mai 2011 – l’après-midi

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Le câprier

mardi 17 mai 2011

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En Israël, entre Tel-Aviv et Jérusalem, il existe un parc de paysages bibliques qui présente tout le cadre écologique de la flore et de la faune de la Bible un  jardin :  Neot Kedumim –  JARDINS D’ISRAEL.

En Israël, entre Tel-Aviv et Jérusalem, il existe un parc de paysages bibliques qui présente tout le cadre écologique de la flore et de la faune de la Bible un  jardin :  Neot Kedumim –  JARDINS D’ISRAEL.

L’emblème de NEOT KEDUMIM est le caprier, arbrisseau très robuste qui se développe dans les climats les plus arides et les plus rudes. Il pousse sur les murettes, s’enfonce entre les roches. Il pousse même entre les immenses blocs de pierre du Mur occidental à Jérusalem, mur de soutènement du Temple que les romains pensaient avoir détruit entièrement.Par ses racines profondes et son tronc résistant il peut continuer à pousser même après avoir été coupé un certain nombre de fois. Aussi cet arbrisseau symbolise la survie et la continuité du Peuple d’Israël.

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Humble servante

lundi 16 mai 2011

Aujourd’hui vous avez le choix ; vous pouvez changer le monde, car vous avez la foi, l’amour et en tout cela Dieu le Père vous apportera la paix. Il faut qu’en chaque instant de votre vie, vous ayez souvenir en votre âme, en votre for intérieur que Dieu est Dieu, que Jésus est votre frère, que je suis votre humble servante et comme telle, je suis là pour vous guider, pour permettre à votre démarche d’être beaucoup plus sûre.

Vous êtes sur le chemin de l’enfance, le chemin qui mène au Père. Je suis là pour vous soutenir et vous guider, et en ce point je vous soutiens et je vous guide ; mais m’avez-vous reconnue, m’avez-vous vue ?

Marie Mère des hommes – février 1998

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Je suis la Porte

dimanche 15 mai 2011

Mes frères, Mon Père a rappelé le chef de votre Eglise. Ma Mère personnellement est venue l’accueillir pour rendre hommage à sa sainteté terrestre. Ce grand prélat vous a apporté sa croix pour vous ouvrir les yeux sur la Sainte Mère des hommes, Marie ; il était bouleversé par sa présence et lui a confié sa vie pour les hommes et l’union des hommes. Il a cru en l’homme et beaucoup l’ont suivi, d’autres se sont détournés de lui dans la haine et la violence.

Aujourd’hui, il est un Saint parmi les Saints, sa sanctification sera éclair dans les temps. Maintenant que mon frère vous a ouvert les portes à Mon appel, rejoignez-le dans la prière et la contemplation pour que l’homme se convertisse et rejoigne la table de Dieu le Père ; Mon Père invite tout homme à Son Festin final pour réunir tous Ses Enfants et renouveler Sa terre dans l’Amour et la Paix.

Jésus de Nazareth – message d’avril 2005