ACCUEIL

Archive pour la catégorie ‘Groupe Prières’

Prochaine rencontre

mercredi 11 juin 2014

imagesNous nous retrouverons le dimanche 15 juin en Aveyron, à St Thomas (Brusques).

La messe sera à 10h à Saint Affrique.

Nos amies aveyronnaises préparent le repas pour ceux qui le souhaitent (prévoir un siège).

Pour ceux qui ne peuvent venir, vous pouvez, à la demande de la Vierge Marie, nous rejoindre en union de prières pour cette journée et tout particulièrement vers 15h.

.

ermitage-st-thomas

Ermitage St Thomas (Brusques – 12)

Après la messe, nous nous retrouverons à la Chapelle St Thomas : ancien ermitage dédié à Saint-Thomas Becket.

En quittant le village direction La Croix de Mounis, à 5 km de Brusque, on peut visiter la chapelle St Thomas ancien petit ermitage restauré avec des superbes fresques relatant la mort de St Thomas Becket. L’histoire locale relate que St Thomas Becket serait passé par ce lieu et aurait ainsi donné son nom a cette chapelle. Une source coule près de cet ermitage et est sensée soigner les problèmes de peau.

Intentions de prière du pape – juin 2014

dimanche 1 juin 2014

Universelle – Les chômeurs
Pour que les chômeurs obtiennent le soutien et le travail dont ils ont besoin pour vivre avec dignité.

Pour l’évangélisation – La foi en Europe
Pour que l’Europe retrouve ses racines chrétiennes à travers le témoignage de foi des croyants.

 

Bulletin n°71

dimanche 18 mai 2014

bulletin 71

Télécharger le bulletin au format PDF

 

Ecouter le message

Rosaire

dimanche 18 mai 2014
.970x301-ct
.
 » Refuge des pécheurs « , priez pour ceux qui, perdus dans la nuit et la forêt, aperçoivent soudain votre lampe qui rend comme des roses les carreaux de votre chaumière placée sur la bonne route. Ouvrez-leur. Que leurs pieds, fatigués par la course vaine, se purifient dans le chaudron plein d’eau de source ; que leur tête soit lavée aussi et que leurs mains, blessées par tant de ronces qu’elles étreignirent, soient adoucies par le suc des olives du Gethsémani ; que leur corps rompu s’étende entre les draps de l’apaisement et que, la porte fermée à la tempête des tentations, ils ne voient plus, ô Reine ! se dresser devant eux que votre ombre couronnée de lumière !
 » Consolatrice des affligés « , priez, non seulement pour les infirmes de corps, mais pour ces infirmes qui sont comme les pauvres honteux du monde des âmes, qui cachent une humiliation, une tristesse, une sollicitude, un remords. Soutenez-les, vous qui avez reçu entre vos bras, sans trébucher, le lourd corps de Jésus-Christ…
 » Reine des apôtres « , priez pour nous, vous qui avez voyagé plus que tous les missionnaires ensemble et que l’on retrouve aux quatre coins du monde, et jusqu’en cette humble et verte vallée où les eaux vives mêlent leurs murmures… Vierge de Lourdes, couronnée par les neiges de mon pays !
 » Reine des martyrs « , priez pour nous, vous qui avez reçu les rubis de la croix sur le front et qui, davantage que le voile de Véronique, vous êtes imprégnée du supplice de Jésus.
[…]
 » Reine des confesseurs « , priez pour nous, vous qui n’avez qu’à vous taire au pied de la croix pour que nous croyions à votre témoignage.
[…]
 » Reine du très saint rosaire « , priez pour nous, pour que Dieu introduise dans ce rosaire qu’achève son médiocre serviteur ce qu’il y manque. (…) Mon rosaire est dit. J’en tiens la croix grossière en écrivant ces lignes. Je sais quelle force j’ai puisée là depuis ce jour où je me suis cru mort, jusqu’à celui où, plein de vie éternelle, j’écoute, sûr de moi, le vent. J’ai vu les miens se relever de leurs couches funèbres. Je louerai mon Dieu et j’appuierai devant lui mon cœur contre la terre. Cette poignée de grains, ô Vierge ! voici la pauvre gerbe qu’elle a produite. Mais il y avait, au milieu, ce coquelicot qui riait.
 .
Francis Jammes, 1868-1938,écrivain
Le Rosaire du Soleil (extrait)
spiritualite-chretienne.com
.

La gloire de Marie

jeudi 15 mai 2014
len Marie
.
Lorsque Jésus commença ses prédications, sa Mère se tint à l’écart ; elle ne se mêla pas de son œuvre ; et même, quand il fut retourné au ciel, elle n’alla pas prêcher et enseigner ; elle ne s’assit pas dans le siège apostolique ; elle ne prit point part au ministère du prêtre ; elle se borna à chercher humblement son Fils dans la messe dite chaque jour par les Apôtres, qui, bien que ses ministres dans le ciel,  étaient sur la terre ses supérieurs dans l’Eglise. Après sa mort et celle des Apôtres, lorsqu’elle devint Reine, et qu’elle prit place à la droite de son Fils, elle ne s’adressa pas même alors au peuple fidèle pour qu’il publiât son nom jusqu’aux extrémités du monde, ou pour qu’il l’exposât à ses regards ; mais elle attendit tranquillement le temps où sa gloire pourrait contribuer à servir celle de son Fils.
Jésus-Christ avait été dès le commencement proclamé par la sainte Eglise et inauguré dans son temple, car il était Dieu ; il eût été peu convenable de la part de l’oracle vivant de la vérité de dérober aux fidèles l’objet de leur adoration ; mais il en fut autrement de Marie. La qualité de créature lui imposait le devoir de céder le pas à son Fils, de se faire sa servante, et de ne se frayer un chemin dans le cœur des hommes que par la voie de la persuasion et de la douceur. Quand le nom de Jésus fut déshonoré, elle sentit son zèle se ranimer ; quand Emmanuel fut renié, la Mère de Dieu entra en scène ; elle jeta ses bras autour de lui et permit qu’on l’honorât afin de consolider le trône de son Fils. Lorsqu’elle eut rempli cette sainte tâche, son rôle fut fini ; car elle ne combattait pas pour elle-même. L’histoire de sa manifestation ne présente ni controverses animées, ni confesseurs persécutés, ni hérésiarques, ni anathèmes ; de même qu’elle avait grandi de jour en jour en grâce et en mérite, à l’insu du monde, elle s’éleva graduellement au sein de l’Eglise par une influence paisible et un progrès naturel. Elle est semblable à un bel arbre qui étend au loin ses branches fécondes et ses feuilles odorantes, en ombrageant le champ des saints.
(…) Quand des débats se sont élevés entre ses enfants relativement à sa puissance, elle les a apaisés ; quand on a fait des objections contre son culte, elle a patiemment attendu le jour où ses droits ne seraient plus contestés ; oui, elle a attendu jusqu’à ce qu’elle reçoive enfin, de notre temps, si Dieu le permet, et sans aucune opposition, sa plus brillante couronne, et qu’on reconnaisse, au milieu des jubilations de l’Eglise entière, la pureté immaculée de sa conception.
 .
John Henri Newman, dominicain britannique converti au catholicisme
17ème conférence adressée aux protestants et aux catholiques
mariedenazareth.org
http://escapamargue.blogspot.fr

Intentions de prière du pape – mai 2014

jeudi 1 mai 2014

Universelle – Les moyens de communication
Pour que les moyens de communication soient des instruments au service de la vérité et de la paix.

Pour l’évangélisation – Marie, guide pour la mission
Pour que Marie, Etoile de l’évangélisation, guide la mission de l’Eglise dans l’annonce du Christ au monde entier.

Marie guide des nations

Saint Joseph travailleur – Patron des ouvriers, artisans et travailleurs

jeudi 1 mai 2014

San_Giuseppe_G

La fête de saint Joseph, travailleur, a été fixée au 1er mai par le pape Pie XII en 1955. Le monde du travail prend une conscience grandissante de son importance et c’est le rôle de l’Église de lui enseigner toute sa dignité ; la figure de saint Joseph y contribue merveilleusement. Cette fête de saint Joseph est une triple fête patronale : fête de l’Église, fête de la famille et du foyer, fête du travail.

La présence de Jésus dans l’atelier de Nazareth enseigna à saint Joseph le prix des heures pénibles, et le dur labeur accepté comme une réparation pour le mépris de l’homme des lois de Dieu, a acquis grâce au Christ, une valeur rédemptrice. Artisan avec Dieu créateur, frère de travail de Jésus-Ouvrier, associé avec Lui au rachat du monde, saint Joseph n’attirera jamais trop les regards et la prière de notre siècle.

C’est pourquoi l’Église, s’inspirant de la Tradition qui baptisa autrefois quantité de fêtes païennes pour les doter d’un contenu chrétien tout nouveau, plaça la fête civile du travail sous le puissant patronage de saint Joseph. Ouvrier toute sa vie, qui mieux que lui rendit grâces à Dieu le Père en son labeur de chaque jour ? C’est ce modeste artisan que Dieu choisit pour veiller sur l’enfance du Verbe incarné venu sauver le monde par l’humilité de la croix.

« N’est-il pas le fils du charpentier ? » disait-on du Sauveur. Joseph, connu à Nazareth comme l’époux de Marie et le père de Jésus, homme juste, sans autres ressources que son métier, Joseph, ce fugitif de la grandeur, nous apparaît comme le modèle achevé de l’ouvrier selon le cœur de Dieu.

Diligence, application, constance, sérénité, abnégation de soi, telles furent les vertus du saint charpentier de Nazareth. Par ses paroles et par ses exemples, Joseph nous enseigne l’humilité, la pauvreté, la mortification du corps et le travail. Quand nous avons, comme dit l’Apôtre, la nourriture et le vêtement, contentons-nous-en ; tenons-nous-en au nécessaire, sans aspirer au superflu. Apprenons du saint charpentier de Nazareth à envisager le travail, non comme un esclavage, mais comme un privilège de grandeur et de noblesse, car le travail expie le péché et sanctifie l’homme.

Rappelons-nous aussi que c’est l’effort et non le succès qui garantit le mérite et la récompense. Sur la terre, le travail est la suprême fonction de l’homme et toute sa vie dépend de la manière dont il sait l’accomplir. Comme saint Joseph, imprégnons notre travail de foi, d’espérance et de charité afin d’obtenir cette transfiguration divine des besognes ordinaires. Cet esprit surnaturel nous évitera le mécontentement et la mauvaise humeur. À l’exemple du saint Patriarche, que la prière se joigne à notre travail afin que notre travail devienne une prière.

 

 

 

 

Marie

mercredi 30 avril 2014
.la-pieta-by-michelangelo-juan-jose-espinoza
.
Vous avez faim et soif de Dieu, approchez-vous de la source. Elle est abondante, vous ne l’épuiserez pas, elle vous désaltèrera ; comme dit Jésus, elle vous donnera encore soif. Demandez qu’au cours de cette vie il n’y ait pas un instant où vous n’ayez faim et soif de Dieu. Et la Vierge Marie vous donnera, elle vous donnera gratuitement. Ne songez pas à lui rendre. « Venez, achetez sans argent, achetez gratuitement » (Is 55,1). La Vierge Marie a de la joie à donner ainsi à ses enfants. L’enfant n’achète pas le lait maternel, nous n’achetons pas la vie de Dieu, il nous la donne. Il est heureux de la donner.
 (…)
La Vierge a été humaine, plus que nous-mêmes sommes humains. (…) La Vierge est aussi plus mère que toutes les mères : elle est uniquement mère.
Marie est de notre race, elle a vécu près de nous, elle nous comprend, elle nous aime.
(…) La sollicitude de la Vierge s’étend à tous les détails de notre vie. Elle est maternellement penchée sur tous les progrès de notre âme. Donnons-lui toute notre confiance, faisons tout passer par elle.
(…) Nous nous agitons, notre imagination n’est pas pacifiée, notre intelligence est orgueilleuse, nos sens insatisfaits et exigeants, et nous avons beaucoup à faire pour calmer ces activités. Eh bien ! Mettons-nous sous le manteau de la Vierge, demandons-lui un rayon de sa pureté pour assouplir et apaiser nos facultés ; elle fera cela en mère, comme on calme un enfant agité par la fièvre. Demandons-lui de nous garder en paix dans le mystère et l’obscurité de Dieu.
C’est une coïncidence que l’on pourrait juger fortuite, un apaisement subit, une lumière, une rencontre, que sais-je ! un rien insignifiant en apparence mais dans lequel le cœur de l’enfant reconnaît avec certitude l’action, le sourire, le parfum et donc la présence de sa mère. Savoir que sa mère est là et veille sur lui dans la nuit, met son cœur en fête et renouvelle ses forces et son espérance. Sa tâche maternelle terminée, Marie revient en ces profondeurs où un clair-obscur laisse à peine soupçonner sa présence.
(…) Dans l’Église de Dieu, Marie va considérer comme son fief particulier les faibles et les pauvres.
Elle éclaire les nuits les plus sombres
Marie veille dans la nuit car elle est l’astre qui éclaire les nuits les plus sombres. Elle sera tendre pour son enfant jusque et surtout dans les situations les plus angoissantes et dans les détresses les plus méritées.
Lorsqu’il n’y a plus d’espoir apparent ou même réel, c’est l’heure de Marie parce qu’elle est toute mère et uniquement mère.

Père Marie-Eugène  de l’Enfant-Jésus, carme, fondateur de Notre-Dame de Vie  

in « Marie Mère de la Vie »

Grand pèlerinage à Lourdes

mardi 22 avril 2014

9, 10 et 11 mai 2014

Voilà mes enfants, en ces quelques mots, ce message d’aujourd’hui et je tiens à vous rappeler que je serai avec vous dans le sanctuaire de Lourdes et j’apporterai ma parole à deux reprises.

Marie Mère des hommes – avril 2014

Vendredi 9 mai

Départ probable en bus Générac à 6 h ou de Castelnau le Lez à 7 h.

Arrêts prévus à

Bessan – sortie autoroute , Béziers est , Narbonne est,

Carcassonne

Arrivée à Lourdes vers 12h. Repas sorti du sac

Installation à l’hôtel (50 m. Porte St Michel)

Après-midi : chapelet à la grotte, chemin de Croix ou procession possible

Repas à l’hôtel

Procession Mariale

Samedi 10 mai : Petit déjeuner, messe et matinée libre

Repas à 12h à l’hôtel et après-midi libre.

Repas à l’hôtel

Dimanche 11 mai : Petit déjeuner, messe et matinée libre

Repas à 12h à l’hôtel et retour

 

Prix 170 € (Comprenant le trajet en bus, la pension complète des deux jours, base chambre double, du vendredi soir au dimanche midi et l’assurance. Prévoir un supplément pour chambre individuelle.)

 

Réservations obligatoires avant le vendredi 30 avril 2014

(tél. : 04 66 20 92 53 ou 04 66 01 39 74)

Prochaine rencontre

mardi 8 avril 2014

Dimanche 13 avril : en Aveyron (12)

Messe à 10h30 à Camares, repas et rosaire à Brusques

croix